Question:
La loi sur l'euthanasie doit-elle être révisée pour les cas "extrêmes" ? Comment définir un cas "extrême" ?
Yahoo! France
2008-03-20 03:20:48 UTC
cf. http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20080319/thl-france-euthanasie-loi-b2e59e8_3.html
559 réponses:
filou
2008-03-20 03:45:03 UTC
Comme un grand nombre de français je suis pour.

Ce qui est le plus scandaleux c'est que des personnes comme Mme Boutin qui au nom de ses croyances religieuses,se permet de porter un jugement sur des personnes qui ne partagent pas ses idées et qui voudraient pouvoir mettre fin à leurs jours quand elles le décideraient,dans la dignité,sans souffrir et en ayant eu le temps de dire au revoir à leurs proches,le tout assisté médicalement.

La loi devrait donc permettre à tous ceux qui le souhaitent d'avoir tout simplement le choix,ce qui n'empêchera pas les croyants de ne pas y avoir recours.
2008-03-20 03:33:06 UTC
quand tu sais qu'il n'y a plus rien a faire et que la douleur est la,pourquoi faire durer.dans le cas de cette brave dame qui s'appelle chantal sebire,je suis d'accord avec elle.tous ces politiques,non mais,il fo arreter la.imaginez avoir un parent qui souffre comme cette dame,je pense que vous feriez ce qu'il fauf.vous n'etes que des faux c.......arretez de vous regarder le nombri!!!non mais dreyfuss tu te rends compte
kassburnes
2008-03-20 03:26:45 UTC
ta vie t'appartient, tu en fait ce que tu veux

cette loi ne sert a rien
dahutahes
2008-03-20 04:18:35 UTC
Dans les pays praticant l'euthanasie active, ils reviennent tout doucement sur le principe...



Apres cette breve remarque, je veux juste dire qu'à titre personnel dans mon metier de medecin, je considere que mon travail est de soulager les souffrances, d'etre a l'ecoute des familles et du malade, au plus proche d'eux. Je n'ai pas vocation à "tuer" les gens, meme dans un but honorable. Et je pense que "probablement" (rien n'est sur en la matiere) je ne le ferrais jamais.

¨

Pour en discuter avec mes collegues plus ages que moi, certains l'ont pratiquée dans des cas extremes comme tu dis, mais c'est absoluement rarissime, et je dois te dire qu'ils n'ont pas eu besoin de loi pour celà. De plus il s'agissait plus de "pousser un peu plus la pompe d'hypnovel et de morphine" et non pas d'une vrai euthanasie active (sauf un cas).



Je ne suis pas pour revoir la loi.
Dido
2008-03-20 04:10:24 UTC
Je suis d'accord ! Chacun fait ce qu'il veut de sa vie. J'aimerais bien voir tous ces gens qui sont contre l'euthanasie dans la même situation que ces gens qui souffrent atrocement et à qui on refuse le droit de mourir dignement ! Quelle hypocrisie !
Azebine
2008-03-20 04:11:40 UTC
En tout cas, je ne pense pas que la meilleure solution soit de laisser les gens mettre eux-même fin à leur jour, le résultat sera le même mais y'aurait moins de risque de loupé ou de souffrir avec l'euthanasie!

;-)
fabrice G
2008-03-20 04:15:58 UTC
Bien sur qu'il est GRAND temps de faire évoluer cette loi !!

Personne et surtout pas l'Etat ne veulent prendre leur responsabilité..

Je pense que ce cas va se représenter ( malheureusement ).

Comme d'habitude la France est en retard et a du mal à évoluer alors que ses voisins l'ont déjà fait..
la cane
2008-03-20 04:19:58 UTC
Non, Chacun peut choisir de continuer ou pas lors d'une maladie, mais une loi ne doit pas autoriser ces "suicides" par un médecin.C'est un choix personnel.

les médecins sont là pour soigner, préserver la santé et la vie.c'est leur métier ,leur vie .Et puis ils sont là aussi pour aider ,acompagner la souffrance lorsque le maladie est cruelle et l'issue irréversible.je crois qu'ils le font déjà.

Si une telle loi existait, ce serait une pression sur les malades, les personnes agées ,qui ne le souhaiteraient pas forcément ,elles, directement mais dont l'entourage souffre de la situation.les malades pourraient se sentir "de trop" .
Val
2008-03-20 04:15:27 UTC
Comment effectivement déterminer un cas extrême? Une loi autorisant l'euthanasie active ne risquerait-elle pas de générer des dérives? Un membre de la famille devenu encombrant, par exemple?

Il existe une loi, la loi Leonetti, qui permet de répondre à bon nombres de cas.

D'un point de vue moral (et non religieux, je le précise), je pense qu'on n'a pas le droit de faire porter la responsabilité de la mort d'une personne à quelqu'un. La loi Leonetti permet déjà de lutter contre l'acharnement thérapeutique; c'est déjà beaucoup...
Roger O
2008-03-20 04:12:12 UTC
Une vie m'a été donnée ...

D'autres peuvent me la prendre comme la vie d'un soldat appelé malgré lui à se soumettre pour une cause qui n'est pas la sienne.

Dans un cas exrême qui ne peut pas se définir avec des textes de loi, cette vie peut être abrégée avec l'aide des autres pour des raisons de souffrances tant physiques que morales ...
Ivan
2008-03-20 04:27:39 UTC
Salut,



Moi je suis d'accord pour dire qu'on ne fait pas une loi générale pour que des situations uniques.

c'est vrai que c'est affreux comme souffrance (physique et psy).

Mais qui définira un cas extrême: le patient? ou le médecin qui dira: "bon là c'est un cas extrême, je vous conseille l'euthanasie, car dans 3 mois vous souffrirez trop".

ce n'est pas une science exacte...

Par contre financer la recherche pour déja faire baisser les souffrances à défaut de guérir: ça c'est l'avenir!
sic
2008-03-20 04:15:11 UTC
je ne pense pas qu'il faille changer la loi mais Chantal Sébire aurait du avoir le droit de défendre ce qu'elle voulait devant le tribunal. Je pense que chaque cas doit être examiné par un collège d'experts et "jugé" afin d'éviter la banalisation de la mort. De plus pour certaines religions le suicide est considéré comme un crime, par respect pour ces cultures je ne pense pas qu'il faille autoriser l'euthanasie dans une loi mais il doit être possible de faire examiner son cas. Il faut à tout prix éviter les abus. Un cas extrême devrait être défini par des professionnels de santé qui estimeraient que la maladie restera incurable et douloureuse jusqu'à la mort de la personne, qu'aucun progrès ne pourra être réalisés avant de nombreuses années.
michel d
2008-03-20 04:29:29 UTC
Non , car cela ouvrirait la porte à des dérives comme l'eugénisme. Il faut développer les soins palliatif pour accompagner la soufrance et voir la soulager.
Ryuko
2008-03-20 04:23:03 UTC
Nous sommes juste des esclaves de la politique.

On essaye de parler «morale», mais est-ce «morale» de ne pas aider ceux qui veulent vivre, et d'aider à vivre ceux qui ne le veulent plus ?
2008-03-20 04:22:56 UTC
Pour avoir une opinion sur cette loi, il faut l'avoir lue dans son intégralité.



Je ne pense pas que beaucoup de personnes qui donneront leur avis le feront réellement en toutes connaissances de cette loi.



Personnellement, je n'ai pas lu cette loi. Je ne pourrai donner mon opinion qu'une fois que j'aurai pris le temps de la lire.
faridoll
2008-03-20 04:20:48 UTC
Oui j'y suis favorable si le patient l'est.



Si la maladie conduit forcémment au décès de la personne, si le "reste de vie" ne sera que souffrance sans aucune possibilité de vivre autrement qu'assisté médicalement, et si les souffrances rendent la vie insupportable...



Enfin, si le principal interessé le décide...
pierre b
2008-03-20 04:18:56 UTC
Il ne devrait pas y avoir de loi sur le sujet afin d'éviter tout jugement sur l'acte en lui-même. Je crois que la décision est si compliquée qu'il faut laisser à la discrétion du malade ou de sa famille et du médecin le choix d'agir comme ils le désirent.
Jean - Luc J
2008-03-20 04:18:43 UTC
ce n' est pas à des politiques à décider si tu dois vivre ou mourir , qu' ils s' occupent plutôt du pouvoir d' achat des français qui désirent vivre , et de l' emploi qui est au plus bas

comme tout le reste.

mais ce n' est surtout pas a ces clowns là à décider si tu as envie de vivre ou de mourir .Nous on ne va pas décider de leur vie pour eux (voir bérégovoy )

salut bonne journée
2008-03-20 05:51:06 UTC
Je suis contre, simplement parce qu'un remede ou une solution peut etre trouvee au dernier moment; imaginez qu'on decide de mourir demain alors que de maniere soudaine, un mois apres, un traitement de derniere minute est trouve; pour s'epargner 3 a 5 annees de souffrances, on a sacrifie 20 a 30 annees de vie...



L'argument de la dignite dans la mort, ceci n'est pas un argument. On meurt malheureusement toujours seul, comme un chien.



On est digne quand on decide de se battre jusqu'au bout, decider de mourir, c'est baisser les bras, c'est etre resigne, c'est perdre sa dignite, ne plus etre respectable qu'a cause des souffrances que l'on endure, et non plus pour le courage que l'on a de se battre.



LE probleme de l'Euthanasie n'est qu'un cas particulier de notre societe, ou il est devenu plus facile d'etre une victime que de se lever pour etre un homme libre. Nous nous plaignons du racisme, et on se contente de la perfusion su RMI, nous nous plaignons de la maladie, et on veut mourir.

Le boxeur Mohamed Ali a ete victime du racisme, et s'est battu courageusement et a contribue a l'amelioration des droits des noirs aux USA. Il souffre desormais de la Maladie de Parlkinson, il lutte contre la maladie, participe a des actions pour trouver un remede contre cette maladie, et trouve le temps de liberer des otages en Irak, on de faire de sa fille une championne de boxe...Ca c'est de la dignite, et son combat a recolte des fruits qui beneficient a beaucoup de personnes maintenant.



Il n'y a pas de cas extremes, il y a juste des gens qui abandonnent le combat.

La loi sur l'euthanasie doit elle etre revisee? Je ne sais pas, tout ce que je sais, c'est que c'est difficile de forcer une personne a reprendre un combat qu'elle a abandonne.

Enfin, on ne parle pas de suicide ici, on demande a une personne de prendre la responsabilite de la mort d'une tierce personne; il peut s'agir d'une tache moralement tres difficile a supporter pour le corps medical.
2008-03-20 04:42:03 UTC
Il est grand temps de permettre aux personnes victimes de maladie incurables, qui souffrent, de partir dans la dignité.

Ce qui n'a pas été le cas pour Mme SEBIRE, elle a surrement (même si cela reste à confirmer) décidé de partir de la manière qu'elle voulait justement éviter.

Une chose est sure c'est que maintenant elle ne souffre plus et que sa "mort" permettra surrement de relancer encore plus le débat et pourquoi pas permettre a ce qu'une loi naisse.
2008-03-20 04:41:35 UTC
en cas extrême comme cette femme qui a souffert le martyr avec la maladie là je dis OUI, faut il être inhumain pour laisser souffrir comme cela un être, à se demander si la France n'est pas arriérée car d'autres pays le font...
knelle
2008-03-20 04:41:27 UTC
Qu'attendons nous de la vie? Des traitements, des souffrances quotidiennes ? Mettons nous à la place de Mme Sebire, Vincent Imbert (et plein d'autres) leurs familles. Lorsque votre vie n'est rythmée que par les médicaments, la dépendance, la souffrance, l'impossibilité de prévoir pour demain, est-ce la vie dont vous avez rêvé?? Alors à quoi bon ne pas respecter leur dernière volonté. Je pense qu'une commission d'experts médicaux pourrait juger les "cas extrêmes", les aider à ne plus subir. Est-il humain de donner la mort? Non, certes, mais est-il humain de souffrir atrocement toute sa vie?de faire "subir" à sa famille le quotidien de sa souffrance, d'une attente vers la paix? Nous parlerons alors plutôt de délivrance et non plus de meurtre, car c'est ce mot qui fait peur. Je ne veux pas encourager ce genre de geste fait dans l'ombre mais quel courage de l'accomplir. Si le travail de la commission est bien fait, bien légiféré il n'y aura pas d'abus. Évoluons, pour eux...
letopascal
2008-03-20 04:39:59 UTC
oui, quand un malade est atteint d'une maladie incurable et que le mort est certaine, surtout si le malade souffre.
Lulu74
2008-03-20 04:39:48 UTC
Je pense que l'euthanasie devrait être un droit. Des personnes sont en pleine souffrance physique, morale... et ne peuvent pas avoir le droit de mourir. Je trouve ça inhumain. C'est peut-être cru ce que je vais dire, mais pour un animal qui souffre, on ne se pose aucune question; on trouve même ça logique! Pourquoi se poser le question pour UN ÊTRE HUMAIN qui SOUFFRE et qui peut choisir entre vivre dans la douleur et partir en paix???
bubbledom
2008-03-20 04:24:26 UTC
à mon humble avis c'est l'acharnement thérapeutique qui est en cause, pas autre chose.



Le fait de prolonger indéfiniment la vie de personnes qui de par leur incurabilité ET pour causes de grandes souffrances ne veulent pas persévérer à se faire allaiter, opérer encore et encore, subir des médications de plus en plus lourdes.



Dans certains cas oui, on pourrait bien se dire que donner de la morphine pour supprimer les douleurs suffit.
Kevin
2008-03-20 04:20:59 UTC
Bonjour,

Comme la grande majorité des français je suis plutôt pour un accompagnement des grands malades et contre le suicide assisté.

Je crois qu'il est dangereux de faire une Loi générale sur des cas qui sont toujours particuliers...

ce n'est pas un débat de société, trop délicat.

Je pense qu'il faut vraiment mettre nos efforts du côté de la vie et pas de la mort, enfin je crois.
thierry b
2008-03-20 05:40:18 UTC
tout simplement oui !

pour avoir connu l agonie de ma mere , malade depuis l age de 29 ans dans les annees 60 70 , a cause d une sclerose en plaque ! et decedee en 83 apres des souffrances physique et moral !!!!

quel bonheur d apprendre le deces de sa propre mere , pouvez vous l imaginer , un enfant age de 15 ans souhaitant la mort de sa mere ! a l heure ou j ecrie ca , je pense au soulagement et au bonheur de ma mere disparue , et malgre ma souffrance de ne pas avoir eu des souvenirs de ma maman bien portante , je suis heureux qu elle soit partie !!!

pour finir , la seule phrase que je garde de ma maman ( thierry tue moi j en peux plus ) imaginez vous que j ai entendu cette phrase pendant des annees , alors comment voulez vous que je ne sois pas pour l euthanasie !

reflechissez un peu ! juste a ce modeste temoignage !

merci de m avoir lu !
JAZZY
2008-03-20 04:54:25 UTC
Oui, pour moi cette loi doit être révisée.



Que veut dire les "cas extrêmes" ?

je ne pense pas qu'on demande la mort si notre état n'est pas assez grave !



les malades en fin de vie et que l'on maintient en vie de toutes façons alors qu'on sait qu'ils vont mourrir, ont droit à un traitement digne de ce nom, cad de mourrir dans de meilleures conditions, qui est quand même beaucoup lus respectable qu'une longue agonie



Enfin, pourquoi définir un cas extrême ???

s' il n'y a aucune chance de guérir, je ne vois pas à quoi il sert de laisser souffrir quelqu'un qui va en baver en attendant que des gens bien pensants vont réfléchir si oui ou non il faut abréger ses souffrances !!!
Etienne M
2008-03-20 04:48:32 UTC
Je crois qu'il faut la revoir, parce que nous recevons la vie un jour, un jour nous la laisserons partir comme elle est venue. Tout comme on ne demande pas pour naitre, tout comme on ne peut pas decider de sa mort. Sinon les gens se tueraient pour n'importe quoi, meme pour des problemes qui auront des solutions plutard. En plus qu'est ce qui prouve qu'en mourant on ne va plus soufrir, surtout qu'on ne sait d'ou on vient et ou on part quand on meurt.
jean z
2008-03-20 04:47:06 UTC
Suis favorable à l'idée. Ma réponse est OUI.

Pour la définition voir avec l'académie française ou Robert/LAROUSSE/LABLONDE/A.QUILLET/ou autres...
mlp
2008-03-20 06:58:12 UTC
Non.

Cette loi en sa forme actuelle permet de diminuer les souffrances et d'accompagner les malades.

Légiférer sur un cas isolé sans recul n'est pas rationnel - d'autant que Mme Sébire n'a souhaité avoir l'accompagnement proposé. D'après ce que j'ai lu - mais c'est peut-être faux - elle était contre le suicide.

Transformer les médecins en bourreaux - alors que la peine de mort est interdite en France - et les obliger à tuer, eux qui sont là pour soigner, me paraît très dangereux.

Et qui va définir les cas extrêmes ? Qui va décider du prix de la vie des personnes souffrantes ? De vieux parents encombrants, et hop, on leur suggère l'euthanasie.

C'est la société qu'il faut changer et en particulier le regard qu'elle porte sur tous ceux qui ne sont pas grands, blonds, jeunes, minces, aux yeux bleus. Et c'est aussi à la société de donner les moyens matériels, médicaux et humains d'aider ces personnes et leurs proches.

Faire des médecins des tueurs n'est pas la solution et le législateur n'est pas "dieu" ou un être suprême quelconque.
Pipintuh
2008-03-20 05:42:20 UTC
Il faut avoir assisté à l'agonie d'un proche pour comprendre toute la douleur, l'angoisse... d'une mort qui va être lente et qui va prendre son temps.

Il faut avoir entendu geindre un être que l'on aime pour savoir que les anti-douleurs ont des limites et que lorsque ces limites sont dépassés, le cauchemard débute vraiment.

Il faut avoir croisé son regard empli de terreur à l'idée d'être manipulé, lavé, embrassé... pour savoir que des être bienveillants peuvent vous soumètre au plus infâmes tortures.

Il faut comprendre que l'on peut être dépossédé de son corps par la maladie et de ce fait en perdre totalement le contrôle, pour envisager que l'on puisse demandé à d'autres de mettre un terme à sa propre existance...



Le coma est loin d'être la solution révée. On fait mourrir la personne par manque de soin. Le palais qui n'est plus suffisament humidifié et se "décolle", des escares apparaissent ...

La morphine tue par étouffement. La personne que j'ai vu mourrir ainsi est partie noyée dans ses sécrétions bronchiques et sa mort n'avait rien de calme, ni d'agréable.

Pour se donner bonne conscience, on prétend que le malade ne sent rien puisqu'il est dans le coma, mais nombreux sont ceux qui ont connu cet état et sont revenus avec des souvenirs. Que sait-on de la souffrance des derniers jours dans le coma.

Pensez-vous que faire trainer les derniers instants d'un mourant soit moins affreux qu'une piqûre qui ôte la vie en quelques minutes ?

C'est pour se déculpabiliser qu'on laisse un corps se battre une dernière fois contre ce qui arrivera forcément.



La seule réflexion que je suis aujourd'hui capable de faire est que mon chien est mort plus dignement et avec bien moins de souffrances que mon grand-père. Il a été conscient presque jusqu'au bout. Ces derniers mois n'ont été que douleur et il s'est vu partir. Il a agonisé, chacune de ses dernières respirations ont été un combat, chacun de ses derniers instants une torture. Il m'avait demandé si ça valait le coup de vivre tout ça. Que répondre ?



Chacun devrait pouvoir mourrir sans souffrances. Comment peut-on laisser des personnes connaître ça ?
FANOU
2008-03-20 05:36:36 UTC
La loi sur l'euthanasie doit être révisée :

Un cas extrême est un cas qui relève de l'acharnement thérapeutique sans aboutissement positif. Lorsque le malade demande l'euthanasie, après des souffrances interminables, sans solution, le corps médical, judiciaire, civil, devrait respecter cette décision. C'est aussi, vis à vis du malade une marque de respect et de considération, d'amour également, face à une maladie incurable.
vignes p
2008-03-20 05:04:32 UTC
la médecine, dans les cas extrêmes, ne permet plus au patient de décider de son devenir.

je suis contre les "légumes" branchés.

le choix de donner fin à sa vie appartient a chacun.
hermine
2008-03-20 04:52:36 UTC
Moi j'envie mon chien et mon chat !!!

Eux n'auront jamais à connaitre les affres d'une longue agonie dans la souffrance.

Ne me dites pas qu'il y a les soins palliatifs.. Pour avoir subi deux très graves opérations, je sais que la douleur peut parfois être impossible à soulager, que la morphine ça fait dégueuler et que ça donne de mauvais trips ! Et qu'en plus on devient un vrai zombie...
do
2008-03-20 04:52:00 UTC
bien sur !

je trouve cela inadmissible de laisser souffrir des personnes surtout dans le cas de cette femme. Quand les gens prennent la décision d'eux même, en étant en possession de toute leur tête, je ne vois pas le problème. Comment peut ton regarder une personne souffrir à se point et ne pas lui accorder le salut. l'euthanasie offre une possibilité de partir sereinement, dignement et surtout avoir fait ses adieux. et pour la famille ne vaut mieux t'il pas garder une "bonne" image de son proche plutôt que le voir diminuer en étant impuissant face à ses douleurs?
lanoue j
2008-03-20 04:51:51 UTC
evidemmment que la loi doit être révisé. . A quoi bon les faire souffrir davantage alors qu'il ne demande qu'une seul chose, une chose tragique, certe mais compréhensible, de mettre fin à leur vie.
dendy
2008-03-20 04:51:40 UTC
Quand on sait qu'il n'y a pas d'espoir de guérison et que la souffrance tant physique que morale est omniprésente, l'euthanasie devrait être pratiquée sous la demande du patient ou de la patiente au lieu de l'archarnement thérapeutique. Je suis pour l'euthanasie dans les cas extrêmes, d'autant plus après avoir assisté à la souffrance de certains proches qui suppliaient qu'on les aide à partir. Autant partir dans la dignité !
daniel
2008-03-20 04:49:16 UTC
les" cas extrèmes" concernent les malades incurables , dont la souffrance ne peut plus ètre soulagée , qui demandent de

l'aide pour abréger leur existence devenue insuportable .

cette supplique doit ètre entendu ne serait-ce que par respect de la personne humaine et de sa liberté de décision
singulière
2008-03-20 04:47:42 UTC
OUI!

la loi sur l'euthanasie doit être révisée. C'est URGENT, pour les cas extrêmes et aussi pour ceux qui veulent mourir, parce que la vie leur semble trop lourde
Liyo
2008-03-20 04:47:32 UTC
Absolument!!! Il serait temps que le gouvernement prenne ses responsabilité et arrête de considérer la mort comme tabou
Nouria h
2008-03-20 04:47:26 UTC
Uniquement pour les cas extrêmes (grandes souffrances) car il est difficile de souffrir pour le malade et de faire par ce fait souffrir ses proches.

Voir un proche dépérir et souffrir jour et nuit sans pouvoir lui apporter le moindre soulagement est frustrant et indélébile en notre mémoire.

Les cas extrême sont les grandes souffrances et les dégradations physique dues à la maladie. (je l'ai vécu par deux fois mon fils et mon mari), mes 3 enfants, mes frères, mes soeurs et moi même ne nous en remettront jamais.

De plus, le malade sait qu'il souffre et fait souffrir. Lorsque le demande d'euthanasie est consciente et réfléchie, elle doit être accepter. Il y a un dignité que le malade veut absolument garder et je le comprends tout à fait. Une grave malade détériore tout et tous.
megbrise
2008-03-20 04:46:53 UTC
oui, parce que, la médecine et le gouvernement ont tous les deux pris trop le contrôle sur nos vies......nous sommes rendus, leurs propriétés, leurs rats de laboratoires....j'ai vu ma mère pourrir littérallement, sans médicament, pour rien , simplement pour voir, jusqu'où la gangraine pouvait aller avant de tuer, une personne comateuse.....et surtout souffrant de démence....

Et pourtant elle avait laissé un testament médical disant spécifiquement qu'elle ne voulait pas qu'on prolonge sa vie, par des injections, des gavages, etc....

Ils n'ont pas pris compte de cela, et surtout pas le médecin qui prenait charge de ma mère. Il refusait de lui donner même la morphine sous pretexte qu'elle ne le demandait pas, donc, elle ne souffrait pas...On courrait dans les corridors pour lui parler, on a dû acheter une page de la presse pour écrire notre indignation, envers l'hopital et le médecin pour qu'on commence à nous regarder.....

Mais, les infirmières ont eu pitié de ma mère......après 3 mois de ce régime.....un soir, en plein hiver, elles ont laissé la fenêtre de sa chambre ouverte, et elles ne l'ont pas abrillées.......elle est morte 4 jours après.

Mais, elle a souffert 3 mois pourquoi? pour le plaisir vicieux d'un ou de quelques médecins.....

et le gouvernement qui indirectement les encourages, en les payants.

OUI à l'euthanasie, et à la liberté de mourir avec la dignité comme les animaux.
kubik n
2008-03-20 04:45:51 UTC
oui, via un conseil de médecin qui se pencherait sur les cas
2008-03-20 04:45:42 UTC
Moi je suis pour l'euthanasie dans les cas extreme, on n'a pas le droit de laisser souffrir des personnes atteintes de maladie incurables, ou severement touché dans des accidents (comme Vincent humbert) j'estime que les gens qui sont malades ou ceux qui s'en occupent quand ils ne peuvent plus bouger, parler, et souffre plus qu'il n'est possible d'imaginer devrait avoir le droit de décider de vivre ou de mourrir dignement...

Biensur pour les medecins ca doit etre difficile mais arretons de nous voiler la face ca se fait deja dans beaucoup d'endroits sauf que ce n'est pas divulguer.
Caroline B
2008-03-20 04:45:31 UTC
IL FAUT QUE QUELQU'UN MEURT POUR COMMENCER A PENSER A CHANGER UNE LOI !!!!! QUELLE HONTE.
m1henriet
2008-03-20 04:36:50 UTC
S'il y des personnes qui veulent se suicider,c'est leur choix.

mais ce n'est ni aux politiques ni au corps médical d'autoriser le suicide par procuration.
Catho 76
2008-03-20 04:35:30 UTC
L'euthanasie légalisée serait la porte ouverte à toutes les dérives, comment empêcher alors qu'on se débarrasse des malades qui coutent trop cher à soigner?

S'imaginer dans une souffrance horrible sur un lit d'hôpital avec en plus des pressions pour vous faire partir, ca ressemble à un cauchemard.

Ne touchons surtout pas à la loi, c'est la porte ouverte à tous les abus.

Mais soyons présents pour accompagner les gens qui souffrent et leur porter un peu d'amour...
why
2008-03-20 04:35:28 UTC
Non, la loi a pour but de rechercher le bien commun et non de répondre à des situations individuelles particulières, même si elles témoignent de grandes souffrances. La loi ne se bâtit pas sur des cas extrêmes, sur la gestion de nos émotions. Je trouve cela trop facile se de cacher derrière de vraies souffrances individuelles pour se disculper de ne pas se doter des moyens suffisants pour permettre une vraie prise en charge des personnes les plus vulnérables dans notre société. Prise en charge qui relève certes de l'Etat mais aussi de chacun de nous dans sa capacité à ne pas fuir la souffrance, la fragilité, la différence de l'autre qui peut provoquer - de façon légitime - une première réaction de peur et de rejet mais qu'il faut combattre. L'euthanasie c'est une réponse radicale, porte ouverte à des abus (et on ne parle pas d'abus d'argent, de pouvoir mais de vie humaine !!)qui s'inscrit dans la recherche de toute puissance, d'éloge du fort, du refus de la faiblesse de notre société.
lagartija nick
2008-03-20 04:22:29 UTC
oui, il faut rester dignes face à la mort et plutôt que s'acharner inutilement quant à une mort inéluctable, l'euthanasie est parfois un acte d'amour et non un suicide!

Chacun est libre de décider de sa vie et de sa mort!
ipsi06
2008-03-20 05:46:52 UTC
Il est temps de mettre en oeuvre une vraie politique de l'euthanasie, d'en finir avec l'hypocrisie qui existe au chevet des malades. Oui l'euthanasie doit être appliquée pour les cas extrêmes et pour les malades conscients la réclamant. Il faut écouter tous les témoignages provenant du corps médical traitant, mais aussi du corps médical soignant, des malades, des familles des malades. A partir de ces informations, le cas "extrême" pourra être défini et la loi sur l'euthanasie pourra être modifiée. Il ne faut pas laisser le soin à la politique de régler un problème qui concerne le plus essentiel de l'homme sa fin de vie.
roms503
2008-03-20 05:43:34 UTC
Quel est l'intérêt de garder une personne en vie si plus personne ne "veut" qu'elle vive ? (elle même, famille etc)



Si votre seule réponse est "l'ethique" , je crois bien qu'il va falloir chercher d'autres arguments
sandra
2008-03-20 05:03:31 UTC
oui la loi de bioéthique concernant l'euthanasie doit être révisée.

cas extrême : énorme souffrance ou les traitements ne peuvent plus apaiser cette douleur. Il faut que la personne est fait par de son voeu de mourir s'il ne peut pas parler (comme dans le cas de Vincent Himbert), mais qu'elle arrive a communiquer avec une autre méthode, qu'un professionnel de santé ait bien entendu la demande et que celui-ci se soit bien assuré que c'est bien de la vie qu'il parle et non de la douleur (beaucoup de personne demande a en finir alors que c'est plus de la douleur qu'il parle que de leur vie).

point de vue religieux on dit que la vie est un don et qu'on ne peut mettre fin à celle-ci. Pas d'accord, chacun est libre de faire ce qu'il faut.

Il est temps que cette loi soit revue.
2008-03-20 04:53:56 UTC
Ne soyez pas hypocrites, l'euthanasie se pratique déjà dans les hopitaux pour les personnes agées en très mauvais état ou les cancéreux en phase terminale ...

Il faut la pratiquer si le patient la demande, et que ses souffrances morales et physiques, tel est le cas de Chantal S. sont devenues intolérables.
PALUCH S
2008-03-20 04:50:41 UTC
Cas extrême : quand la personne malade qui a encore toutes ses capacités intellectuelles le demande, voir supplie qu'on l'aide à mettre fin à ses jours.
isabelle_iva
2008-03-20 04:50:34 UTC
oui, la loi doit être révisée pour les cas extrèmes.Comment peut-on laisser des personnes souffrir de cette façon? Chaque personne a le droit de mourrir librement quand elle ne peut plus supporter la souffrance tel que vincent humbert ou chantal sébire. Que les personnes qui font les lois se mettent à la place de ceux qui souffrent. Mettre fin à une vie de souffrance n'est pas pour moi de l'euthanasie mais une conscience pure de l'être humain
2008-03-20 04:50:12 UTC
lorsque nos medecins n'ont plus de possibilite de nous guerir, lorque la douleur est insuportable, le malade demande de partir, il faut l'aider.
babou
2008-03-20 04:49:44 UTC
Laisser souffrir un être humain, alors que nous avons des moyens de l'aider à partir, en douceur et sans douleur, j'appelle cela de la torture......



Dans quel monde vivons nous? Prenons exemple sur nos voisins. Arrêtons de penser qu'euthanasie = crime!!!!



La mort arrivera pour chacun d'entre nous, que ferions nous dans une situation telle que celle de cette mère de famille?



Certain dirons que nous avons dans ce cas le choix de vivre en souffrant ou celui de se suicider.



Cependant se donner la mort, n'est certainement pas un choix dans ces situations particulièrement difficiles.



Être aider, soutenu, entouré et se sentir aimer, avant de fermer les yeux, sans être juger, simplement partir, en douceur... est certainement la chose la plus humaine que l'on peut donner à ce condamner à mort, qui n'a commis aucun crime.



Cela relève du bon sens!!!
Astérixme
2008-03-20 04:49:13 UTC
Sérieusement, on ne choisit pas de naître, encore moins de tomber malade, je trouve qu'on devrait laisser le droit de mourir à des personnes malades qui sont condamnées à mourir ou à des personnes totalement paraplégiques. Si la personne en pleine conscience déclare qu'elle ne veut plus "vivre" (car comment vraiment vivre dans ces conditions), je pense qu'il n'y a pas lieu de s'interposer. Donner le droit ne veut pas dire que tous les patients de hôpitaux voudront mourir, il y en aura toujours qui ont assez d'espoir pour rester encore un peu sur terre avant d'être vaincu par ce qui les fait souffrir.
Salomé
2008-03-20 04:48:54 UTC
Salut,



Je pense que la France devrait faire un gros effort quant à cette question.... On a trois siècles de retard!!! pour répondre je dirai oui il le faut....

Ceci dit il faudrait qu'il y ait une entente préalable avec médecins, psychologue, psychiatre, patient et famille....

Étant infirmière en institut de cancérologie, j'espère qu'un jour et même assez rapidement cette question se posera.... Les médecins ne seront pas pour autant des tueurs, le personnel soignant non plus.... ce sera plus de l'accompagnement.....

Que faut il pour que ça bouge? Est ce que si M. Sarkozy ou autre politique était à la place de ces gens qui souffrent n'en demanderaient-ils pas autant? Si mais ça ne sera pas dit... ils en bénéficieront eux.....

Alors liberté, fraternité, égalité jusque sur la question de la mort... merci
louloute
2008-03-20 04:48:18 UTC
Je dis qu'il faut revoir cette loi tout simplement pour aider à faire évoluer notre société. Beaucoup de pays l'on déjà fait et il n y a pas pour autant des dérives. Dans le cas de Mme Sébire elle avait toute sa tête et souhaitait simplement pouvoir mourir dans de bonnes conditions. Il faut étudier les demandes au cas par cas avec avis de médecin et dans les cas dit incurables accepter qu'ils puissent partir s'ils le désirent...
Anne 68
2008-03-20 04:48:12 UTC
Je suis tres triste a l'annonce de la mort de cette dame, Chantal S. Tous mes sentiments vont a ses enfants. Je fut l'un deux il y a quelques annees, et habitant un pays ou la loi autorise l'euthanasie, tout a ete fait dans la serenite, la douceur, le calme, la dignite et le respect. C'etait une tres lourde decision, mais pas une seconde regrettee depuis. Je suis donc pour l'euthanasie dans les cas 'extremes'. Notre societe doit pouvoir proteger la mort des plus faibles, et l'accompagner dignement, comme elle protege la vie.
Frederico S
2008-03-20 04:47:47 UTC
Je suis d'accord avec ce dernier commentaire. C'est ma vie et j'en fait ce que je veux. Un patient souffrant devrait pouvoir demander de l'aide pour mourrir. Je ne considère pas que les vies des citoyens appartiennent à l'Etat.
chiaramonte g
2008-03-20 04:47:40 UTC
Je pense que du moment que nous avons toutes nos capacités mentales, nous avons le droit de disposer de notre vie, dans le cas d'une maladie grave, qui peut devenir une charge pour nos proches!!!! Je souhaite que l'euthanasie soit autorisée en France!
cinzanno
2008-03-20 04:45:25 UTC
OUI elle doit etre revisée pour les cas extrèmes.

Comment définir un cas extrême, nous avons ici un cas extrème avec madame Sebire qui n'est plus là,mais qui très bien démontré ce qu'est un cas extrème,même les médecins pouvaient que constaté ce cas extrème ,d'autres cas pourraient par exemple être pris en compte par des spécialistes compétents . Il est bien sûr certain que l'on ne peut faire l'euthanasie que sur des personnes qui vraiment sont incurables, ce sera toujours le médecin en dernier recours que devra statuer.
Perret P
2008-03-20 04:45:24 UTC
Je suis d' accord, on est seul propriétaire de sa personne, de son corps. Lorsqu'il n'y a plus d' espoir et que la souffrance empêche toute vie "normale" personne ne peut se permettre d' obliger autrui à souffrir au nom de ses croyances ou autre !
yanwarcholinski
2008-03-20 04:45:15 UTC
La question du droit au suicide assisté



Les discussions qui échouent à trouver un terme n’ont pas lieu lorsque des personnes ne sont pas d’accord, mais lorsqu’elles le sont et qu’elles l’ignorent.

Les réticences du gouvernement quant au suicide assisté semblent provenir d’une opposition entre deux interdits incompatibles, celui de tuer et celui de ne rien faire en cas d’atteinte à la dignité d’une personne. L’angoisse étant de subordonner la vie au consentement individuel.

S’il s’agit d’une opposition, alors il va de soi que le principe de vie prime sur la volonté d’y mettre fin. Mais si ce n’est pas le cas, si ces deux droits émanent d’un même principe, alors il ne peut pas être question d’annuler un des deux.

Il semble que le droit de mettre fin à la vie s’oppose à l’obligation de soin car ce dernier proviendrait du droit à la vie. Cependant, le droit à la vie n’est pas la cause première, il émane d’un principe commun avec le droit de mourir qui est celui de la dignité. En effet, ce qui, en soi, pose problème, n’est pas le fait de tuer, mais de tuer un être humain. Ce qui renvoie à la notion de dignité. Ainsi, le droit à la vie n’émane pas de la sacralité de la vie (selon quoi nous ne pourrions plus nous nourrir), mais du principe de dignité. Le droit à la vie n’est qu’une déclinaison de ce principe, ce qui veut dire que le droit à la vie ne peut être prioritaire et contredire le principe de dignité qui en est sa source.

Il ne s’agit donc pas d’un rapport de force entre deux droits, mais d’une contradiction interne au principe de dignité. Problème qui n’est pas nouveau et que notre société a déjà su résoudre : L’expérimentation humaine s’avère nécessaire pour soigner des humains, mais en même temps, cette pratique ne peut pas dépendre du consentement individuel, c’est pourquoi celui-ci est soumis à des questionnaires et des tests de santé exhaustifs. De même, une personne ne peut pas être subordonnée aux aléas du système reproductif, mais en même temps, on ne peut pas subordonner la vie d’un humain au consentement de son géniteur, c’est pourquoi une période limite a été arrêtée, en deçà de laquelle c’est le droit des femmes à disposer de leur corps qui prime, et au-delà de laquelle c’est la vie du futur nouveau né qui importe.

Le débat sur le suicide assisté correspond à ce cas de figure. Il est question du même principe de dignité, incompatible avec la possibilité d’être subordonné aux aléas biologiques. Ainsi, une société ne peut pas laisser un être humain aux prises avec les hasards de la nature. Une société a le devoir de mettre un terme à ce genre de situation.

La solution ne peut donc pas correspondre à une hiérarchie entre deux droits, mais à une mise en place d’une limite qui permet de les faire cohabiter. Tout comme l’expérimentation humaine ou l’avortement, ce sont les limites, les règles, qui permettent aux cas particuliers de devenir des exceptions, et ainsi, de ne pas infirmer la règle, mais de la confirmer.
Benoit B
2008-03-20 04:42:09 UTC
Il faut changer cette loi!

Toute loi est necessaire dans une société, afin qu'il n'y ai pas de débordement.

Tout comme l'a fait Simone Veil en son temps, il faut prendre des risques, faire face et modifier ces lois, cela prouve que la société evolue, qu'elle vit et qu'elle une société de son temps.

On doit respecter le choix de la personne, et ses raisons, mais il faut faire en sorte que cela ne soit pas fait n'importe comment, afin qu'il n'y ait pas de débordements, d'où l'interet d'une loi et le devoir de l'Etat de canaliser.

Mais c'est aussi à l'Etat de permettre qu'un tel acte soit fait dignement, si la mort est inévitable. Autrement il devient indigne de laisser une personne choisir d'aller se donner la mort dans un pays voisin de maniere indigne, et non sereine. N'oublions pas que personne choisit de se donner la mort, sans y avoir refléchit un minimum. En général cette personne est en detresse et donc il faut l'accompagner vers l'issue la plus appropriée, et sereine pour elle et son entourage.

La loi permet aussi de ne pas tout permettre, car dans le cas contraire, il ne faut pas non plus permettre de tuer des personnes qui ne le souhaitent pas, mais qui ne peuvent pas lutter faute de forces mentales ou physiques....
lesenfants2000@yahoo.fr
2008-03-20 04:37:26 UTC
Si nous croyons que nous avons été crée par un Dieu qui est maitre de notre vie,on ne peut pas se permettre une telle bassesse. Si même on croit pas en Dieu nous ne nous donnons pas la vie et nous n'avons pas droit de l'oter
dreyfusse
2008-03-20 04:17:17 UTC
Je suis totalement contre l'euthanasie !

C'est beaucoup trop dangereux d'accorder à une société le droit de tuer quand la souffrance est trop grande. Comment évaluer le degré de souffrance?

Travaillons plutôt sur le traitement de la douleur,mais n'ouvrons surtout pas cette voie!
chinou
2008-03-20 05:54:06 UTC
OUI CETTE LOI PEUT ETRE REVISEE POUR DES CAS EXTREMES ;;MAIS COMMENT LES DEFINIR? je travaille en milieu hospitalier et je cotoie la douleur chaque jour , a notre epoque il existe des traitements lourds pour aider les malades .Je crois que certaines choses doivent evoluees , le regards des autres deja et surtout developper les antalgiques , mais je suis contre l euthanasie c est la porte ouverte a toutes les demesures
2008-03-20 05:37:17 UTC
Je pense qu'il faut faire la part des choses et faire au cas par cas qu'en il n'y a plus d'espoir de guérison et que les gens souffrent.

Il est inhumain de laisser les personnes attendre la mort sans rien faire et la famille ne devrait pas a choisir entre laisser vivre ou faire mourir sa famille. Le malade doit avec l'accord d'un médecin pouvoir décider de l'heure de sa mort quand il n'y a plus rien a faire.
helene
2008-03-20 04:53:14 UTC
Je pense que cette loi doit être révisée. J'ai vu souffrir ma tante, atteinte d'un cancer généralisé, on ne pouvait plus rien faire pour elle et les médicaments n'agissaient plus. Si on est humain, on ne peut accepter de voir souffrir les gens ainsi sans rien faire... Mettez-vous à la place de celui qui souffre.
2008-03-20 04:53:03 UTC
Je suis pour l'euthanasie

Quand la personne le réclame, soufre et que la médecine ne peu plus rien faire.

Mais surtout pas d'acharnement thérapeutique
2008-03-20 04:52:59 UTC
Cette loi devrait déjà tenir compte de l'opinion public car elle nous concerne tous. Nous nous permettons d'euthanasier les animaux pour abréger leur souffrance et nous, êtres humains, nous devons souffrir sans rien dire!!! Quand l'avis médical confirme qu'il n'y a plus aucune chance de guérir et que nous souhaitons "en finir", l'euthanasie devrait être acceptée.
Nathalie Z
2008-03-20 04:48:49 UTC
Je suis pour, surtout en notre époque de possibilité d'acharnement thérapeuthique, mais seulement dans des circonstances particulières. D'où l'importance d'une loi pour bien définir ces circonstances, et assurer qu'il n'y ai pas d'abus. Les circonstances à réunir doivent être:



_un état de souffrance continue important

_Guérison impossible/Etat conduisant inexorablement à la mort

_La personne euthanasiée doit avoir bien spécifié son désir de mourir et est seule abilité à prendre cette décision

_Un avis médicale professionnel sur la condition physique et psychique du patient



Après, c'est du cas par cas devant commission spéciale pour bien étudier chaque cas et ses spécificités, une décision aussi grave ne pouvant être prise à la légère.



D'une certaine manière, on peut dire qu'il y a des précédents dans l'histoire, en cas de guerre. Le fameux 'coup de grace'. Qui n'a d'ailleurs pas disparu entièrement de nos jours, le monde n'étant pas encore devenu un hâvre de paix... D'une certaine manière, l'euthanasie est ce coup de grace, mais donné dans la société civile, dans des situations exeptionnelles. Chacun devrait avoir le droit, en situation extrême sans espoir d'amélioration, à une fin volontaire et digne.
L M
2008-03-20 04:43:24 UTC
Oui à l'euthanasie, l'acharnement thérapeutique est absolument inhumain, il faut laisser faire les choses. Quand une personne n'est plus libre d'agir sur sa propre vie mais qu'elle formule clairement le voeu de mourir, il faut selon respecter cette volonté.
Christelle B
2008-03-20 04:38:39 UTC
Je pense que ce n'est pas à l'Etat de décider de la vie ou de la mort des gens.

Je pense que dans des cas extrêmes de souffrance, et que les gens sont encore conscients de leurs actes et qu'ils choisissent en accord avec leur proche d'en finir ; on doit pouvoir répondre à leur requête.
doriane h
2008-03-20 12:44:23 UTC
à mon humble avis la reponse est "oui".car l'individu est le seul a decider de ce qu'il adviendra de sa vie et qouiqu'il en soit tant qu'il est encore pleinement lucide personne ne doit le faire à sa place.de plus s'il est vrai qu'une personne peut reclamer le droit à la vie il va de soi qu'il peut en faire de meme pour le droit de mourir.cette loi sur l'euthanasie a certes ete adopté dans le but de protege les individus malades, mais n'oublions pas que c'est au malade que revient le dernier mot puisqu'il est le concerne directe.aussi si la douleur est trop atroce le legislateur doit comprendre que la souffrance du malade doit prendre fin meme si le moyen utilise est "anormal"(c'est à dire la mort).

ah bien selon moi pour otutes ces raisons la loi relative à l'euthanasie doit bel et bien etre revisee pour le bien des malades dans une situation extreme comme ce fut le cas de chantal sebire.
inf 35
2008-03-20 12:20:07 UTC
Le contexte réglementaire n'est pas la panacée car toutes les dérives seront alors envisageables: si l'euthanasie active est autorisée, qui vous dit que des esprits dangereux et malfaisants n'établiront pas un jour des critères pour se débarrasser des malades "encombrants" ou "coûtant trop chers" ou , à la demande de l'entourage d'un patient, dont on veut récupérer l'héritage plus vite?



En outre, à qui va revenir le devoir d'accomplir le dernier geste, envoyant à la mort les patients? A coup sûr, ce seront encore les infirmières qui feront le sale travail, comme d'habitude! quand certains médecins esquivent certaines obligations!



Il existe beaucoup de traitements efficaces pour lutter contre la douleur, dans l'hypothèse où ils ne suffisent pas, c'est dans l'intimité de la relation médecin/patient que des choix doivent être faits. C'est aussi ici, que l'on retrouve la notion de confidentialité, galvaudé à souhait ces dernières années!



C'est au cas par cas que les décisions doivent être prises et non de façon arbitraire, d'après des critères figés. D'abord, qui choisirait ces fameux critères indiquant que tel ou untel a le droit de mourrir plutôt qu'un autre? L'euthanasie active heurte LE tabou universel qui est ;ôter la vie à autrui....INSUPPORTABLE!
kigfabio
2008-03-20 11:57:50 UTC
o lieu de la revisee il fo plutot la supprime. la vie certe nou apart1 mai c7 pa pour otant ke nou devon en fair ce ke nou voulon. il es preferable de laisse les gens mourir en pai, a l'heur de DIEU car le souffle de vie nous payons pa c7 DIEU ki donne gratuitement donc laisse le reprendre lorsk'il en n'aura envie pour le momen VIVONS LE TEMPS DE DIEU. Pour moi l'EUTHANASIE est 1 CRIME.
Pascale F
2008-03-20 11:03:11 UTC
Bien sur que la loi sur l'euthanasie doit -être révisée. C une honte de ne pas accepter d'aider les personnes à en finir quand on sait qu'il n'y a plus rien à faire. C inhumain aussi de laisser souffrir ces personnes car quoiqu'on en dise, on les aide à avoir moins mal mais c tout. Ces malades souffrent dans leur corps et aussi dans leur tête de se voir diminué devant leurs proches qui ont des larmes dans les yeux.

STOP !
philippe g
2008-03-20 05:59:10 UTC
Toute personne estimée saine d'esprit sait de quelle maniére elle doit diriger sa vie, en accordance avec ses propres croyances et principes. De facto, elle sait quand elle doit l'achever.



Le risque de l'euthanasie est cependant lié aux abus possibles qu'une telle loi peut engendrer; Est-ce une possibilité de meurtre maquillé? Une riche grand mère gâteuse sera-t'elle rapprochée de la tombe? un jeune dans le coma sera-til jugé inapte à la vie parcequ'il représente une surcharge pour les hopitaux? Un malade incurable sera-t'il poussé à mettre fin à ses jours par une famille qui le rejette á cause de sa maladie? Un bébé de quelques mois sera-t'il écarté parce qu'il révéle des malformations ou des symptômes trisomiques?



Certaines libertés peuvent être facilement détournées par ignorance ou bien par volonté de profit.



Qui par ailleurs pourra juger de la véracité d'une demande d'euthanasie? qui devra accomplir l'acte d'euthanasier? qui pourra juger de la clarté d'esprit de la personne qui demande à être euthanasiée?



Et puis surtout, COMBIEN DE GRANDS MALADES, DE GRANDS BLESSÉS, D'ANCIENS ALCOLIQUES, D'ANCIENS DROGUÉS, DE SÉROPOSITIFS, DE FEMMES AYANT ACCOUCHÉ TROP JEUNES, DE CHÖMEURS, DE DÉPRESSIFS, DE RUINÉS, ONT VOULU METTRE FIN À LEURS JOURS MAIS PAR NÉCESSITÉ ONT DÛ VIVRE ET AUJOURD'HUI SONT HEUREUX DE VIVRE?

On a tous à un moment voulu mettre fin à nos jours ou bien espérer ne pas exister. mais il a bien fallu continuer... comment aurions nous réagi si la possibilité d'abandonner nous avait été mise à portée de main?



Le suicide n'est pas un crime, demander à quelqu'un de nous tuer, est-ce le suicide du lâche?



Le débat sur l'euthanasie peut conduire facilement à des déroutes et des dérapages. Cependant si l'on peut déterminer par une ENQUÊTE PSYCHOLOGIQUE que la personne qui demande à être euthanasiée est bien saine d'esprit, si l'on peut déterminer par une enquête SOCIALE et POLICIÈRE que personne n'a d'intérêt, ni de désir de voir la personne concernée défunte, et enfin si l'on peut déterminer, par une enquête MÉDICALE, que la maladie dont la personne est atteinte est bien incurable, qu'il n'y a pas de remède possible, alors je pense que cette personne pourrait accéder à l'euthanasie.
bambi_ferocepredateur
2008-03-20 05:44:56 UTC
réponse à george2: si la vie est donnée par dieu, ce petit salopiot a aussi refilé des tas de cochonneries à ses ouailles, aussi ne nous a-t-il pas doté d'une conscience et d'un libre arbitre pour abréger nos souffrances et réparer ses propres erreurs

le mot est laché, libre-arbitre... celui qui peut détruire une chose détient cette chose, donc ma vie m'appartient et j'en fais ce que je veux, donc forcément avec l'appui de dieu puisqu'il m'a ainsi crée non? cqfd
eriopse
2008-03-20 05:44:02 UTC
Je crois qu'il ne peut pas être question d'euthanasie active si la personne en question possède encore les moyens physiques de se suicider. Ce n'est pas alors à la société de prendre ça en charge.

Par contre je pense que c'est aussi notre devoir de trouver un moyen légal, cad, faire évoluer encore un peu plus la loi pour que les personnes qui ne peuvent plus faire face elle-même puissent partir avec l'aide des médecins.

C'est une question difficile qui touche à des questions philosophiques et éthiques qui méritent une réflexion en profondeur.
Blémia Borowicz
2008-03-20 05:39:07 UTC
Que se passait-il à l'époque où il n'y avait pas les médias de tous genres pour parler de tels cas ????

C'est en conscience que le médecin, en accord avec la famille, laissait " aller " le malade, sans bruit, dans la discrétion et la compassion ! Le laisser aller en question pouvant être à l'intérieur d'une boite de pilules...

Aujourd'hui, depuis quelques jours, le cas de Mme.S. ( pour qui j'ai beaucoup de compassion, dont je comprends et approuve la demande ), fait la une des journaux écrits, parlés, télévisés...

Mais on voudrait, en agrééant à la demande de Mme.S.,que ce soit QUELQU'UN d'autre qui prenne la décision, qui passe à l'acte ! On parle " des pouvoirs publics, du gouvernement ", en oubliant que donner la mort est un délit...

Vous voyez que je ne parle pas de convictions religieuses, mais de ce qui est , tout simplement !

Bien sur, bien des gens ont été confrontés à des cas oû l'on souhaitait le départ de quelqu'un, compte tenu de son état oû de sa souffrance; çà m'est personnellement arrivé, mais JAMAIS je n'aurais accepté que ce soit étalé sur la place publique, comme l'est le cas de Mme. S.

Je ne suis d'ailleurs pas sur que l'éclairage donné à cette affaire serve la cause de ceux - j'en fais partie - qui demandent à ce que la loi soit revue, pour permettre les exceptions qui doivent être traitées en dehors de l'aspect législatif...
2008-03-20 05:08:44 UTC
D'abord que veux dire cas extrême ? Pensez-vous que dès l'instant où l'on sait notre maladie incurable, tout un chacun devrait être libre de décider de son propre sort. Personne n'est à la place de personne et chacun réagit selon ses propres souffrances. Nul n'est égal dans ce cas.

Seulement, est bien temps que les consciences se réveillent !!!! Le Luxembourg, la Belgique, Les Pays Bas et la Suisse présentent un esprit plus ouvert que notre "France"! Plus humain aussi!

Que ces "gens qui font la politique" soient atteints d'un mal incurable et n'en pouvant plus de souffrir nuits et jours, de se voir se dégrader jour après jour, et de par la-même faire souffrir leur entourage en réclamant une fin digne somme toute légitime et ce, "avant" la dégradation terrible que représente cette maladie, alors cette Loi " sectaire , inhumaine " serait alors révisée sans tarder et forcément à coup sûr dans les règles de l'art!

Le Président Sarkozy me deçoit profondément (j'avais cru en lui!) se défiler ne sachant probablement pas comment se sortir de ce dilemne ? en proposant à Chantal Sebire visiblement au bout du rouleau ..."un autre avis" complètement abbérant même s'il s'agit d'un "ponte de la médecine"...? histoire de gagner 'ENCORE" du temps alors que le quotidien de Chantal était abominable à supporter ? En 8 années elle aura eu le temps de consulter qui elle devait et en son temps..... où se trouve donc le côté humain ? l'acte d'Amour qu'elle réclamait ? Je ne suis pas non plus pour le suicide (trop peur de me râter!) et non plus adepte de la loi Léonetti pour nous mettre "en attente" dans le coma provoqué, solution de l'anti-chambre de la mort, avec la souffrance et la cruauté de la déshydration et la faim ? ..(n'est-ce donc pas pire hypocrisie ? alors qu'il existe un moyen de "s'endormir" en tout confort et sans souffrance ? Il suffit! Une cancéreuse.
celine r
2008-03-20 05:06:56 UTC
n'oublions pas les risques d'abus, qui décide d'un cas extrême? mon père gravement accidenté, considéré comme condamné par les médecins a été déconnecté de son respirateur par un infirmier qui pensait qu'il ne survivrait pas pendant le transfert qui était prévu. Pourtant mon père a continué a respirer seul. C'était en 1981 depuis il est toujours en vie, a part quelques difficultés pour marcher,il mène une vie normale et a la joie de connaître ses petits enfants. Alors qui peut décider si un cas est extrême.

Développons plutôt les soins palliatifs et l'accompagnement des patients et surtout des familles.
2008-03-20 04:55:20 UTC
Je pense que l'avis du médecin COMPETENT aidant..... nous pourrions laisser le choix à la personne souffrante.



Il s'agit là d'une question d'humanité, de compassion et de logique...... La France doit bouger
2008-03-20 04:54:39 UTC
Je pense que effectivement la France a encore de gros, voire d'énormes progrès à faire en la matière. Un gouvernement ne peut et ne doit en aucun cas intervenir dans la décision personnelle de chacun. Le suicide n'étant pas condamnable, je ne vois pas pourquoi et au nom de quoi, une communauté pourrait interdire à qui le souhaite et qui en fait la demande le droit à mourrir dans la dignité. Je pense que chacun est libre de choisir son moment lorsqu'il le décide, ce n'est pas à d'autres de le décidr à sa place. On voit se qui s'est passé dans le cas Humbert, et aujourd'hui avec Chantal Sébire. Il est inadmissible, impardonnable et inhumain d'avoir contraint cette femme à se donner la mort quand on aurait pu, quand la société, aurait pu l'aider.
jess
2008-03-20 12:26:33 UTC
je suis "pour" l'euthanasie, pourquoi refuser à quelqu'un de mourir alors que cette personne souffre le martir...cette personne n' a pas choisi d'etre malade, elle n' a pas choisi de souffrir, alors laissons lui le droit de mourir quand elle le souhaite...si certains pays on accepté cette loi pourquoi la france n'y arriverais pas????
nono65
2008-03-20 11:11:52 UTC
Perssonne ne peut parler de ce probleme sans y avoir etait soi meme exposé . La France est soi disant un pays libre , libre de quoi ???? On prefere fermer les yeux devant un tel probleme ....Ce protegér derriere des soi disant textes .

Mr Mme les politiciens , le jour ou vous ce fasse a une telle souffrance peut etre alors vous penserai a tous ses gens qui vivent dans la douleurs et a qui vous empechez de mourir dignement ... Mais il sera trop tard comme pour Chantal et bien d'autre dont on ne connait pas les nons .....

Moi ... je n'attendrai pas qu'on m'en donne le droit , le droit je le prendrais qu'on veuillle ou pas ...
Laurent S
2008-03-20 09:37:46 UTC
Plutôt pour, mais uniquement lorsque la Médecine, comme l'a suggérer M. Sarkozy dans le cas Mme Sébire, reconnaît son incapacité à guérir et à soulager le patient qui en fait la demande. Après tout on euthanasie bien les animaux pour mettre un terme à leur souffrance (l'être humain doit-il souffrir plus qu'un animal de compagnie et pourquoi?)

Pour ce qui est de ceux qui sont contre il faut leur souhaiter de ne jamais être confronté, à titre privé, à un cas semblable, et le cas échéant leur refuser ce droit comme ils le refusent aujourd'hui à ce qui souffrent puisque cela est leur VOLONTE.
B-otox
2008-03-20 09:20:25 UTC
Pour moi, un cas extrème est quand la personne est en phase terminale d'une maladie incurrable et qu'elle souffre réellement physiquement, qu'elle est à bouts.



Je pense en effet aussi que la loi sur l'euthanasie doit être révisée, car la population à évoluer, et le droit de mourir dignement ne doit pas être réservé qu'à nos animaux. Laisseriez vous mourir un animal malade? Je ne pense pas. Alors, pourquoi les hommes n'auraient t'ils pas le droit à ce traitement de faveur qu'on les animaux?
Marie
2008-03-20 08:54:25 UTC
Non, car la mort naturelle est une mort plus douce que la mort euthanasiée qui est une mort violente. D'après les études, les proches, après un sentiment de soulagement, ressentent de la culpabilité, du remord. Je ne comprends pas pourquoi cette dame a refusé le coma artificiel... elle n'aurait pas souffert... Sa demande est donc contradictoire car elle se plaignait de beaucoup souffrir...Je pense que la loi que nous avons est excellente. Je suis très triste que cette dame ait mis fin à ces jours de cette manière, surtout qu'on l'a retrouvée seule décédée.
Caroline V
2008-03-20 07:36:42 UTC
Comment peut on laisser des gens souffrir autant ? A partir du moment où une personne a choisi de mourir car elle sait qu'il n'y plus rien à faire pour elle, aucune autorité n'a le droit de décider pour elle

Une pensée pour Madame Sebire
DE ARAUJO V
2008-03-20 06:17:29 UTC
Cas extrême n'est pas un terme adéquat. Car il est clair que les gens qui souhaitent avoir recours à l'euthanasie se trouvent dans une situation où le choix n'en est plus un.

Entre souffrir et mourrir, je crois que l'on ne peux pas parler de choix. Maintenant, il est certain que pour éviter les abus, il faut malgré tout encadrer " l'accès à l'euthanasie". Et pour celà, en dépit du fait que celà doit relever d'un avis collégial des médecins et de la famille et surtout d'une demande exprès du patient, encore faut-il définir à partir de quand une personne malade peut exiger que sa mort soit programmée. Et le coeur du problème est bien là. C'est en celà que des notions telles que la dignité humaine, la douleur, les conditions de vie de la personne malade sont importantes. Toutes les personnes souffrant d'une maladie incurable handicapante n'ont pas les mêmes besoins, les mêmes attentes. Il faut donc une réponse ponctuelle pour chacunes d'entre elles, mais avec des bases communes. Je pense notamment à l'irréversibilité de la maladie, l'inefficacité thérapeutique sur la douleur, sur l'évolution de la maladie. Et pour que celà soit réellement encadré et donc dénué de tout risque d'abus, il faut une transparence totale sur cette décision. Sans aller jusqu'à signer son arrêt de mort (certains y feront nécessairement référence, à tord), je pense qu'il faut malgré tout qu'un document attestant de la volonté du patient, de l'impuissance des médecins face à sa maladie et de tout les intervenants soit constitué devant une instance juridictionnelle. En effet, celà doit, je pense, rester une solution exceptionnelle et par conséquent, être entachée de mesures formelles protectrices des parties. Puisque la maladie ne leur offre plus comme issue que la mort, pourquoi leur refuser le droit à la dignité jusqu'au bout, si tel est le choix de ces patients ? Doit-on les "maintenir en vie", contre leur volonté (il est important de le souligner, les différents recours à la justice en est la preuve), sous prétexte que la société assimile l'euthanasie à un acte criminel ? Mais n'est-il pas tout aussi criminel de laisser ses personnes dans le désarroi qui est le leur, n'est-ce pas de la torture passive ?
2008-03-20 06:16:27 UTC
Certainement et vite. Mais il reste un probleme de taille. Losque lq personne est encore consciente, rien de plus facile s'il en fait la demande. Seulement, lorsqu'elle ne l'est pas, la c'est plus difficile.
2008-03-20 06:00:05 UTC
Nous vivons paraît-il dans un pays moderne ? civilisé ?

Notre beau pays laisse régulièrement des personnes souffrirent jusquà la mort dans une apothéose d'hypocrisie, c'est lamentable mais le pompom c'est quand même la pseudo ministre Mme boutin, qui va à l'église mais qui n'a jamais rien compris au sens de la vie, quand elle n'a pas la haine à en pleurer au milieu de l'Assemblée contre les gays,

elle parle du visage déformé de Mme Sébire, qui ne doit pas l'empêcher de conserver sa dignité d'après elle... J'aimerais simplement que cette idiote cul-béni s'allonge 5 minutes, qu'elle imagine son visage enfler, la peau qui tire de partout, des problèmes respiratoires et des douleurs qu'on ne peut même pas imaginer, savoir que tout ça débouchera sur la mort et écouter si son "discours inutile" a changé un peu. Je ne connaissais pas Mme sébire mais ce matin c'était triste et en même temps un soulagement. HONTE à nos chers gens de pouvoir sans courage, ministres ou présidents, "commission de sages" qui n'a toujours rien compris, mais savez-vous que ce destin tragique vous pend au nez ? Vous attendez le déluge ?Une fois de plus, vous ne savez pas écouter vos concitoyens qui eux se sentent bien plus que vous concernés et ont des raisonnements humains. En 2008, il serait largement temps de secréter une loi puisqu'il en faut une, une loi pour créer des commissions de médecins dans toute la France, qui avec le malade et sa famille examinerait au cas par cas le degré de souffrance, la volonté du malade de continuer de lutter ou d'arrêter de souffrir. Bien sûr qu'il faut reprendre la loi Léoneti et y ajouter un soupçon de courage en allant jusquà l'euthanasie active et encadrée, on se moque souvent des Belges mais là on devrait prendre des notes. Quant aux ministres comme boutin ou dati, qui trouvent futé de dire "les médecins ne sont pas là pour injecter des substances mortelles, franchement on s'en doutait, qu'elle ne nous saôulent que sur la politique, on en a bien assez déjà , ne vous sentez pas obligées de parler de problèmes graves et concrets qui visiblement ne vous touchent pas le moins du monde.
oliverrrrrrrr
2008-03-20 05:48:30 UTC
Je n'ai pas la réponse à cette question forte pertinante, mais une chose est sur c'est qu'elle à le droit de faire qu'elle veut car sa vie lui appartient.

Je vais imager mon propose même si cela n'a rien à voir: lorsqu' un chien est malade et qu'il va mourir on se pose même pas la question, on le fait "piquer" pour ne pas le faire souffrir je pense que dans une situation extrême de souffrance la justice n'a même pas à intervenir surtout pour dire que cela n'est pas recevable en quoi ils ont eux le droit de vie ou de mort!!!!!!!!

Cette solution est propre à chacun à partir du moment ou on a plus la moindre chance et que l'on est pleinement conscient de la situation je considère que ce serait un acte noble que d'accorder sa demande.
littlegeisha
2008-03-20 05:29:16 UTC
La France , et ces élus, ces représentants du peuple, doivent cesser d'être hypocrites.

Laisser les gens dans la douleur, au 21ème sciècle, alors que nous disposons des moyens de nous prémunir est tout simplement scandaleux.



Bien sur, la loi doit être modifiée.



Bien sur, il faut accompagner les gens qui souffrent et ne pas les laisser dans cet état d'indifférence, de souffrance et de solitude.L'euthanasie passive proposée dans le casde Mme Sébire est honteuse...



Au 21 sciècle, ce ci joli pays qu'est la France propose à ses citoyens de les laisser mourir de fain et de soif. Bravo, quel exemple nous donnons!



Il est temps que la France grandisse et enfin légifère.
phil
2008-03-20 05:29:14 UTC
Evidemment que la loi doit être revue et révisée. C'est quoi ce pays où le corps médical doit affamer le patient pour lui permettre de quitter sa souffrance ? C'est ça la médecine moderne ? Halte aux faux culs en tout genre qui aux nom de leurs croyances débiles nous interdisent de disposer de notre corps et de notre vie. Halte à l'hypocrisie qui impose à ces malades de se rendre en Suisse ou en Belgique pour mettre un terme à leurs souffrances et partir dans des conditions décentes. Que le modernisme et la lumière frappe enfin ce pays conservateur et interpelle l'obscurantisme de nos sénateurs bornés....Que diable, tous les huguenots n'ont pas étés exterminés... L'imbécillité me révolte...SIC...
sou
2008-03-20 05:13:48 UTC
chacun est libre de choisir sa destinée!

c'est une loi idiote, on ne devrait pas à avoir à demander la permission de mourrir lorsqu'on se trouve dans la souffrance, ce n'est pas du suicide quand on est malade c'est juste pouvoir partir dans la dignité
réno jean
2008-03-20 05:12:20 UTC
Pour moi un cas "extrême " est d'abord un mal incurable.

Je pense que chaques cas méritent réflexion.

On ne peux admettre que la loi laisse des personnes souffrir alors qu'elle demande à mourrir.
Emma
2008-03-20 05:08:15 UTC
Je suis pour l'euthanasie si la personne est inguérissable et si elle est d'accord alors pourquoi ne pas l'écouter ?

C'est super hypocrite quand tu vois que l'état laisse une catégorie de son peuple crever la dalle sous les ponts ou dans des tentes, et qui refuse de laisser mourir en paix des vieillards séniles, des personnes qui souffrent et qui, c'est triste à dire, coûtent de l'argent aux contribuables...
Etienne H
2008-03-20 04:57:44 UTC
C'est pas à la loi ou à la medecine de vous ôter la vie. le suicide existe pour ceux qui sont atteind de maladie incurable. Moi je suis contre une loi. Chacun choisit ce qu'il fait de sa vie
julie b
2008-03-20 04:55:11 UTC
Vivre ou laisser vivre dans la souffrance alors qu'on demande de mourir?

Il n'y a rien de pire.

Il faut écouter les dires des gens et éxécuter leur demande.
jacqueline L
2008-03-20 04:42:24 UTC
oui tout à fait le droit à l'euthanasie existe dans les pays nordiques ou est donc l'union europénne et doit on laisser

quelqu'un souffrir lorsuqe l'on sait que l'issue est fatale j'ai connu cela avec mon papa en phase terminale en soins palliatits et vraiment il à trop souffert chacun doit etre libre de choisir sa propre fin
sweb
2008-03-20 04:42:20 UTC
C'est inhumain de laisser les gens souffrir de la sorte ! Honte à eux !



Dieu lui a donné ce que la loi lui refusé ! La pauvre. Paix à son âme !



Et si Mme Boutin croit en Dieu elle devrai méditer cela et ne pas oublié que la société est laique.
daishonin
2008-03-20 04:13:15 UTC
oui pour certain cas,elle doit etre revisè

un cas extreme cet une personne qui souffre enormement depuis un moment et on peu pas laisser les gens souffirent
2017-01-02 16:34:13 UTC
Le problème, c'est que si ce n'est pas encadré précisément par une loi, c'est justement là qu'il se passe n'importe quoi. Je connais un médecin qui a tué son épouse à l. a. morphine parce qu'elle lui avait fait promettre, et qu'elle avait trop souffert l. a. nuit d'avant. Il arrive un 2d où les antalgiques ne font plus rien du tout (reins et foie bousillés à l. a. fin de vie). Ne pas encadrer cette pratique revient à l. a. nier alors qu'elle se pratique dans tous les hopitaux (heureusement). Seulement, les médecins peuvent être poursuivis pour meurtre avec préméditation. Je trouve ça grâve, quand-même ! Evidemment qu'il faut encadrer l. a. pratique pour éviter les dérives (de même qu'il y a une personne assermentée après l. a. crémation d'un corps pour vérifier qu'il y a bien une et une seule tête avant de broyer les os au concasseur). Oui à un débat de société Oui à des contrôles stricts de l. a. justice Oui une euthanasie (littéralement "mort douce") proposée comme decision à l. a. souffrance Non à des avis religieux sur l. a. question Non à l'hypocrisie générale
Master Haku
2008-03-20 15:18:48 UTC
C'est une question très sensible et qui ne peut être réglée par une loi. Mme Sébire a eu beaucoup de courage, dans son état de souffrance, d'affronter les médias et la justice pour demander une faveur aussi délicate. Tout le monde peut comprendre sa souffrance et son désir de mourir dans la dignité, mais faut-il pour autant légiférer et ouvrir la voie à des abus? Il est vrai que ceux qui craignent la pratique de l'euthanasie ont en souvenir les barbaries nazies qui ont coûté la vie à des milliers d'handicapés mentaux, des gens différents, que l'on trouvait inapproprié dans une société de pures. Le cas Chantal Sébire est bien loin de cette situation, mais à de nombreuses reprises, elle a témoigné que sa souffrance était autant physique que morale, parce qu'elle était devenue différente de ce qu'elle avait été... Dès lors, que fera-t-on quand, plus tard, des gens qui se trouvent moches, gros, inadaptés voudront ce genre de secours, pour mourir dans la dignité? Pour l'instant, c'est vrai qu'il y a un autre recours, le suicide, mais c'est tout aussi grave... Ne faudrait il pas plutôt s'interroger sur les raisons pour lesquels tant de gens n'ont plus l'envie de vivre, parce qu'ils ont mal, aussi bien physiquement que moralement? La société se décharge de ses responsabilité en confiant aux médecins un droit de vie et de mort sur tout le monde. Nous pouvons aider les gens qui vivent des détresses à apprécier la vie, même si elle est vraiment douloureuse... Je le dis parce que j'en connais quelque chose et qu'à certains moments, le suicide ou l'euthanasie me semblent de meilleures solutions que ma vie merdique. Mais nous pouvons aussi choisir la voie la plus difficile: vivre... Je ne pense pas que je changerai l'avis de qui que ce soit, mais je suis sûr que la société se fera du mal en accordant aux médecins un permis de tuer...
lilou
2008-03-20 12:45:28 UTC
Je suis médecin et jamais je ne pourrai injecter un produit mortel à l'un de mes patients. C'est contraire à notre déontologie. NE ME DEMANDEZ JAMAIS A MOI DE TUER UN ETRE HUMAIN. Il faudrait plutôt développer les unités de soins palliatifs, dont le travail de prise en charge des douleurs est formidable et très apprécié par les patients et leur famille qui en bénéficient.
mickael59495
2008-03-20 12:09:35 UTC
Une fois de plus on en reparle lorsqu'une personne souffre, cette pauvre dame en plus de la souffrance qu'elle a eu a surement du avoir pas mal de regard méchant et moqueur envers elle, le non de l'euthanasie a été une moquerie de plus!

Par contre le refus est tout a fait logique pour le moment étant donné que ce n'est pas l'égale.

J'espère frenchement que l'euthanasie devient l'égale pour toutes personnes souffrant d'énorme douleur et que l'on ne peut plus rien pour elle (ndrl: cancer généralisé)
danpier45
2008-03-20 10:59:24 UTC
Oui ! Elle doit être totalement modifiée pour qu'une personne, dont la nature de la maladie incurable, la nature de l'affection irréversible, puisse demandée, si elle est en pleine possession de ses moyens intellectuels, la mort dans la dignité. Il conviendra, avant d'y recourir, évidemment, de s'enquérir de l'avis, d'une part, du médecin traitant, de l'entourage médical et, d'autre part, d'un spécialiste de la maladie.



Il ne doit plus y avoir en France de non-dits, d'hypocrisie pseudo religieuse ou philosophique. Nous sommes au XXI ème siècle, bien que certains ne s'en aperçoivent pas, nous avons fait de grand pas dans le domaine médicale, mais quand il n'y a plus rien à faire, à quoi bon faire de l'acharnement thérapeutique.



Chaque personne à le droit de vie ou de mort, dans la dignité, sur sa propre personne, sans que quiconque puisse y trouver à redire.



Le gouvernement qui prendra la décision de faire une loi en ce sens, montrera sa grandeur d'âme et sa totale laïcité.
christelle b
2008-03-20 10:56:02 UTC
oui cette loi doit etre revisée , chacun dans la mesure de ses esprits doit pouvoir etre libre de ses choix , qui a le droit de décider pour la personne elle meme , les cas ne doivent pas se ressembler , mais quand il n'y a plus d'alternative , la personne elle meme doit etre libre de ses choix , pour moi c'est un droit et un devoir de l'etat de regulariser celà , le suicide de cette personne n'est ni plus ni moins qu'un appel au secours pour que les autorités ne se fichent plus des etats dramatiques dont peuvent souffrir certaines personnes , une loi et un document stipulant le droit de mourir dignement devrait etre fait d'office comme le don d'organe , chacun a le droit de LIBERTE
unktaitpaspris
2008-03-20 10:30:23 UTC
Et qui déciderait que votre cas est extrème ou pas, pour bénéficier de la loi ?

Ce qui peut paraître supportable à vivre aux uns, peut paraître insupportable aux autres.

D'autres part nous sommes dans un état laïc, les considérations religieuses n'ont pas à entrer en ligne de compte, à chacun ensuite de décider si il veut avoir recours à une mort accompagnée ou pas.

Personnellement ne plus alimenter un malade, ne plus le soigner, et le shooter jusqu'à ce que la nature fasse son oeuvre relève de la plus pure hypocrisie.

C'est toujours une histoire d'argent en fin de compte, ceux qui en ont vont en Suisse, au Pays Bas ou en Belgique comme au bon vieux temps où l'avortement était illégal.

La tv a diffusé il y a quelques temps, un très beau et très émouvant reportage sur ce qui se passe en Suisse, en suivant un malade, de sa prise de décision jusqu'à son accomplissement, j'aimerai bien qu'il soit rediffusé à une heure de grande écoute. Quoi qu'il en soit il faut être conscient car on prend soit même la petite potion miracle, après de multiples entretiens avec des représentants d'une association qui sont chargés d'aider à un départ respectable, en présence d'un médecin et de représentants de l'association, donc peu de risque de pouvoir se débarasser d'un parent encombrant.

Enfin je crois aussi que nous ne sommes pas assez informé sur ce qui existe déjà en Europe pour en débattre calmement, mais nos politiques, eux, connaissent bien les législations des autres pays, leurs études, qui pourraient servir de base à une reflexion chez nous.
stephanie e
2008-03-20 09:03:19 UTC
absolument car comme on dit si bien en France "Liberté, égalité,fraternité" tout être humain doit avoir la liberté de vouloir vivre ou mourir la loi doit absolument être révisée
2008-03-20 07:26:13 UTC
je pense que dans certain cas oui on doit l'accepter notamment si la personne le demande.... cela sert à rien de vivre si c'est pour souffrir cette dame souffrait je suis sur que maintenant elle est heureuse et soulagée
daphlor
2008-03-20 06:13:31 UTC
l'état et les lois sont là pour aider et protéger les citoyens

il ou elles ne sont pas là pour aider à mourir,il est si simple de mourir quand on le souhaite que l'on n'a pas besoin de lois nouvelles pour le faire. De plus je pense que ce n'est pas à l'état de prendre cette responsabilité mais plutôt aux citoyens concernés et à leurs proches qui l'aiment certainement...
2008-03-20 06:04:37 UTC
C'est quoi ces gens qui se permettent de juger à la place des autres ? Ces loi qui font souffrir ? Ces politiciens qui ne pense qu'à appliquer la loi en vigeur ? Chantal Sébire aurait-elle dû continuer à souffrir si elle n'était pas morte cette nuit ? Je suis de son côté, je la soutient et soutiendrai les gens qui demande l'euthanasie.
Alexs
2008-03-20 06:04:10 UTC
Pour des cas extrêmes, je pense que oui.La vie devrait être considéré comme lorsqu’on possède quelque chose en tant que patrimoine en France.

Je pense que l’on doit mourir en toute dignité, sans souffrance. Indirectement, cela engendre aussi beaucoup voire trop, de souffrance inutile a la famille7amis durant parfois de très long combat en plus, comme je l’ai déjà vécu personnellement en tant que Français pour mon grd père. Donc, pour les maladies incurables comme cancer … si le patient le souhaite plus que tout, et seulement LUI, avec beaucoup de certitudes, en demandant plusieurs fois au mourant au niveau de SA décision, pourquoi pas offrir ce choix humain comme le fait notre pays francophone voisin, si proche mais si différent sur plusieurs points, en Belgique.
alain
2008-03-20 06:02:27 UTC
Seul la personne malade est qui subit la douleur est capable de dire si oui ou non il faut appliquer l'euthanasie.

Mais il faut appliquer ça à quoi la douleur physique, la douleur moral toutes les douleurs ?????

Il faut quand même faire preuve de prudence !!!
Slowhand
2008-03-20 06:02:23 UTC
Ben c'est simple, voyez en Belgique comment c'est organisé. Il n'y a aucun d'abus et les malades ne sont pas obligés de se cacher pour se suicider !

C'est également intéressant de voir qu'Hugo Claus, écrivain belge, est lui aussi mort avant hier, euthanasié... il est mort dans la dignité tout simplement... le contraste avec Chantal Sébire est flagrant.

Les conditions sont simples et claires:

- maladie incurrable,

- souffrances atroces,

- assistance d'un médecin,

- accord du patient et de la famille,

- passage devant une commission spécialisée.



Il est ridicule de croire qu'une telle loi pourrait engendrer des abus. L'euthanasie en Belgique ne représente que 0.5% des décés.

Franchement, il est temps que vous évoluyez vers une loi un peu plus humaine ... mais les temps changent et vous verrez, cette loi sera changée ... les Pays-Bas et la Belgique ont souvent été à la pointe des évolutions sociales (mariage et adoption pas des homosexuels, euthanasie active, ivg...)

un peu de patience ...
Nathalie C
2008-03-20 05:21:46 UTC
je pense qu'il faudrait réviser cette loi car quand il n'y a pas de guérisson possible on doit pouvoir décider si on veut continuer ou non à vivre car tout le monde souffre aussi bien la famille que la personne malade
jean pierre d
2008-03-20 05:14:48 UTC
oui, est on humain de laisser une personne souffrir alors qu'il n'y a aucune solution positive ?

la naissance est une experience , la mort une délivrance!!
flec
2008-03-20 05:08:43 UTC
Oui, cela me parait indispensable de réviser la loi sur l'Euthanasie. C'est incroyable qu'en France on en soit encore à se poser la question, alors qu'en Belgique, et en Suisse, juste à côté, ce n'est plus un problème. On s'accroche à la trop sacro-sainte idée religieuse que notre vie ne nous appartient pas. La souffrance, par contre, non seulement ,nous appartient mais à nous de la supporter jusqu'au bout !!! A chacun de décider de mourir dans la dignité, plutôt qu'avoir recours au suicide. Nous devrions tous avoir ce droit, légitime, indispensable.
Alex F B
2008-03-20 04:47:51 UTC
il y en a simplement mare la france avance droit dans le noir , ces guignols de polititien aurrons une reponse toute la francae doit etre dans la rue car bcp de chose doivent changer vous en avez tous envient allors descendon
Kanihinaha
2008-03-20 04:44:47 UTC
oui bien sûr cette loi devrait être révisée, à partir du moment où une personne souffre et décide de partir je ne vois pas pourquoi une autre personne, un politicien confortable derrière son bureau pourrait l'en empêcher. Je pense que les médecins sont les seuls à pouvoir prendre cette décision en connaissance de cause sur l'état de son patient. Un cas incurable qui engendre de grandes souffrances tant physiques que morales devrait être pris en compte et la demande du patient acceptée. Cela devrait faire partie des tâches des médecins d'aider les patients à mourir s'ils le désirent.
eugeniemarius
2008-03-20 04:16:55 UTC
Pour ma part je reste défavorable à l'euthanasie. Le cas extrême doit être si rare

qu'il faut faire appel à une commission medicale composee de medecins experts du traitement de la douleur et de personnes s'occupant de fins de vie. L'heure du départ ne doit pas être volé par tiers quel qu'il soit.
jeanmarie74
2008-03-20 13:16:13 UTC
tout simplement " oui " , la vie est unique , partir également alors soyons net avec nous même : TROP DE SOUFFRANCES INUTILES ,INSUPPORTABLES pour nous ,nos proches............: JE PART, je rend hommage a cette DAME plein de courage aussi a ces proches
Christian S
2008-03-20 11:30:25 UTC
Merci du courage de votre question. Mais quelle en sera la suite. Nous pauvre gens du peuple qui n'avons rien à dire à part sur Internet.

Et pourtant je me lance dans une ébauche de réponse. Permettez que je me présente sans détails cependant. Homme d'église, j'accompagne souvent des personnes en fin de vie. Que de drame, malgré les prouesses et les avancées techniques de la science médicale.

Je ne peux que me poser des questions quand j'entends les politiques et les légites discuter de ces sujets dans leurs fauteuils de cuirs. Ont-ils jamais eu u de leur proche rongé par un cancer ou une autre maladie dont les souffrances physiques, morales psychiques et sociales dépassent tout ce qu'un être humain peut supporter même avec des antidouleurs et sédatifs puissants ?

J'ai souvent réfléchi à cette question et particulièrement suite au cas de Vincent. Dans mla petite sphère d'activité que n'ai-je entendu comme critique au moment ou ce jeune homme est mort.

J'ai alors élaboré une réflexion que je vous livre en toute simplicité.

L'être humain a une valeur inestimable et je crois que nous devons faire tout ce que nous pouvons pour respecter et préserver la vie. Mais ceux qui souffrent avec un billet aller sans espoir de retour accompagné par des souffrances que nous ne connaissons pas ni vous ni moi et certainement pas les législateurs, qui sommes nous pour juger de ce qui doit se faire ou ne pas se faire ?

Croyez vous que Vincent ou mercredi dernier Chantal on été des lâches, des individus manquant de courage... Je me garderai de porter un jugement. e me garderai aussi de légiférer de manière absolue car tout peut conduire à l'abus.

Néanmoins je me pose la question de savoir s'il est décent dans une société comme la nôtre de poursuivre des "médicaux" qui accéderait à la demande d'euthanasie d'un patient.

Les humains que nous sommes cherchent plus a se maintenir en vie qu'à se faire euthanasier. Les médecins sont formés et "conditionnés" psychologiquement à guérir. Il faut prendre le temps de lire les livres boulversants de Madame le Docteur E. Kubler Ross. Elle témoigne de l'immaturité des médecins devant l'échec de la non guérison. Croyez vous que ces gens prtiquent l'euthanasie de gaieté de coeur.

Je crains pour ma part que l'on allume des bûchers pour y placer des hommes et des femmes qui après de longues discussion avec des patients, de longues réflexions personnelles, de nombreuses hésitations prennent la décision de libérer d'une vie qui n'en est plus une des malades à bout de force mais dont le corps se bat pour ne pas mourir.

Alors face à un dilemne qui se pose avec des cas comme ceux qui succitent votre forum, je suis pour ma part pour une tolérance encadrée, un respect du choix de la personne souhaitant l'euthanasie et surtout un refus d'inculpation de ceux qui acceptent d'accéder à la demande des malades.

La résistance des uns n'est pas celles des autres. Il est vrai que certains argumenteront de l'aspect moral. Dans la société judéo chrétienne qui est la nôtre, une répugnance et un dégoût est fortement marqué pour de telles pratiques. Mais qu'apportons nous en contre partie, nous les gens d'églises ? Les paroles ne calment pas forcément la douleur physique. Pour certains l'espérance leur permet de faire face et tant mieux. Pour ceux qui n'en peuvent plus, au lieu de les culpabiliser au sujet de leur désir d'en finir et de les culpabiliser pour le risque qu'ils font courir à ceux qui les aident, soyons humains et ayons de la dignité. Celle de ne pas juger, de ne pas condamner et de faire tout ce que nous pouvons pour encourager un autre choix. Mais si c'est l'euthanasie qui remporte le succès, alors taisons nous et essayons de comprendre en espérant ne jamais avoir à endurer ce que certains souffrent.

J'ai pour ma part vu un de mes parents vire dans une souffrance indescriptible pendant près de 4 ans. Jamais mon père n'a demandé à être euthanasier. Mais face à une vie qui n'avait plus rien d'humain, j'ai parfois souhaiter que cela puisse se faire. Il avait une foi qui l'a certainement soutenu, mais parfois, même la foi ne suffit pas.

La volonté de légiférer fait suite à la peur d'excès. Lesévitera-ton ? Pemrettez moi d'en douter. Ils seront déguisés, mais ils y aura toujours des personnes torues qui profiteront et agiront de manière irrespectueuse des autres. Cela doit-il nous empecher le laisser le choix aux malades qui n'en peuvent plus ? Ma réponse est non.
perrier d
2008-03-20 11:21:07 UTC
bonsoir

bien sur la loi sur l'euthanasie doit être révisée pour les cas "extrêmes "

le cas de chantal Sébire est un cas extrême , elle avait une maladie incurable et souffrait beaucoup physiquement et moralement , épouvantable , insupportable épreuve .

Il faut que cela change , il ya eu l'affaire Imbert et maintenant l'affaire Sébire .Quand le gouvernement prendra t-il une bonne décision ????????????????????????????????pour les cas "extêmes " merci de m'avoir laissé m'exprimer
2008-03-20 10:16:00 UTC
Non, je ne suis pas pour revoir la loi.

L'homme a besoin de balises tout au long de sa route pour éviter les débordements (l'homme est un animal social disaient les Romains...)

Chaque individu a une capacité propre à vivre sa souffrance.

Dieu seul le sait et la prière est le seul remède pour apaiser.
laurent L
2008-03-20 09:51:49 UTC
oui pour certain cas,elle doit etre revisè , il faut voir la vérité en face est ne pas jouer les hypocrites quand l'espoir n'est plus au rendez vous .

il faut seulement que cela soit trés bien géré pour éviter tout dérives.

mes condoléances a la famille de madame Sébire.
shy_worm
2008-03-20 07:56:15 UTC
L'euthanasie doit être légalisée. Obliger quelqu'un à vivre quand la souffrance est trop grande relève purement et simplement de la cruauté. Ces vieux préceptes judéo-chrétiens qui refusent le suicide sont dépassés.
2008-03-20 07:55:42 UTC
Il s'agit ici du respect de la Vie...

1)Une loi en faveur de l'euthanasie serait une porte ouverte à des dérives mortifères: sous prétexte que la tante à héritage souffre on lui suggérera l'idée de mourir en douceur...

2)La vocation des médecins c'est de travailler pour la vie: comment pourrait-on leur faire confiance si ils étaient aussi des tueurs?

3) Nous avons reçu la vie en don gratuit...Pourquoi l'avons-nous reçue? N'avons-nous pas une mission à remplir? La nature ne fait rien en vain dit-on, et moi suis-je fait en vain?

N'est-ce pas lâche de fuir avant que ma mission ne soit terminée?

4) Permettre l'euthanasie c'est légaliser le suicide, c'est conduire à la mort des milliers de personnes qui auraient pu faire quelque chose de beau dans leur vie...si au lieu de cela on leur avait montré combien la vie vaut le coup d'être vécue, même si elle est dure.

5) La souffrance c'est très dur mais cela peut aussi être beau à condition de bien souffrir. Apprenons à bien souffrir plutôt que de fuir !
2008-03-20 06:30:17 UTC
non la loi ne doit pas etre révisée. En tout cas ce n'est pas le cas de Mme Sebire qui peut défendre ce point de vue. je ressens beaucoup de compassion pour elle mais elle était valide et il y avait des tas de facon de mettre fin à ses souffrances. Vous parlez de mourir dans la dignité en ayant dit adieu à ses proches, qu'est ce qui l'empêchait de le faire ? Le cas Humbert était plus compliqué mais je ne pense pas que le médecin aurait fait de la prison s'ils s'étaient contentés de faire ce qu'ils voulaient faire sans en faire une croisade politique. Moi je refuse de voir la France faire comme la Suisse et mettre en place des services pour personnes désirant mourir. La vérité c'est que même pour se suicider les gens ne veulent plus faire d'effort. C'est grave !

Et à ceux qui se reconnaitront : merci de ne pas changer le débat en une nouvelle guéguerre entre croyants et non croyants parce que la vérité c'est quand on veut vraiment mourir on se tue. Il y a un dernier obstacle : la peur de souffrir, qu'il ne faut pas, surtout pas enlever. Si vous connaissiez des personnes dépressives je pense que vous penseriez comme moi. Pour les personnes réellement désespérées l'obstacle saute et elles se libèrent, pour les autres elles auront peut-être une autre chance...
LUNA
2008-03-20 06:12:32 UTC
Je suis choquée que l'on doit demander l'autorisation pour mourir... Déjà que l'on choisie pas de naitre, alors laissez nous mourir comme on veut. Oui bien sur dans un cas bien précis, comme Sabine qui souffrait terriblement. Pauvre femme j'en ai pleuré hier soir.
christophe f
2008-03-20 06:06:53 UTC
Y'a que les grenouille de bénitier qui au nom de la sauvegarde de la vie infligent des souffrances inutiles à des milliers de personnes. Leur conception est que seul 'Dieu' a le pouvoir de vie ou de mort sur nous, que nous devons maintenir et respecter chaque parcelle de vie à n'importe quel prix. On rejoint les débats houleux sur l'avortement, sur le port de la capotes, etc etc...

Le pire c'est que souvent on maintien artificiellement les patients qui ne demande qu'à partir tranquillement. On n'en est plus alors à un débat sur "laisser vivre les patient, dieu les rappellera à lui", puisque c'est des activités humaines qui prolonge ces souffrances.



Chacun doit être maitre de son propre corps et ce n'est pas aux fanatiques religieux dont les idées datent de plusieurs siècles de décider du bien ou du mal d'actions qui regarde chacun de nous intimement.
hirlemann c
2008-03-20 06:05:28 UTC
oui elle doit etre révisée dans ces cas extremes ou les gens souffrent et quand il n'y a pas d'autres solutions que de mettre une fin à des douleurs atroces... oui aidons ces pauvres gens à partir avec une aide efficace et douce..voilà
Michel J
2008-03-20 05:52:24 UTC
Mme Sébire ne voulait pas se suicider. Elle souhaitait être assistée pour partir sereinement.

Quand une loi est mauvaise, on change la loi. Vos politiques n'ont qu'à analyser se qui se fait chez vos voisins et adapter la loi en conséquence.

En espérant que celà puisse enfin aider les gens. On ne les aide pas en les gardant dans la souffrance.
kamat
2008-03-20 05:46:01 UTC
moi je dis k'il faut faire très attention car bcp de personne pourront utiliser cette loi comme secours si ils veulent se suicider.

je pense que même les cas extrêmes doit être bien examinés car aussi cela ralentirai les recherches.

il faut donc d'une part que l'état finance les recherches et d'autres soulagent certains patients.
t r
2008-03-20 05:43:31 UTC
il faudrait déjà voter une loi pour demander à la médecine en FRANCE de soigner les malades avant de les tuer.on peut annoncer le chiffre de 30000 morts suite à des erreurs en tout genre et sans la canicule;des radars pour détecter les erreurs devraient etre placés dans les services mortuaires des hopitaux .on touche à un domaine sensible alors il ne faut pas en parler et continuer à creuser le trou de la sécu.

de temps en temps des cas difficiles se présentent et tout le monde s'engouffre dans la brèche!le fait d'en parler trop nuit à l'efficacité;une loi ne peut pas s'appliquer à tous les cas.

il conviendrait de tenir un peu compte de la volonté de la personne et de sa famille et laisser de coté les politiques et la médecine.
Régine
2008-03-20 05:22:26 UTC
bien sur que cette loi doit etre révisée,c'est pas normal que l'on ne peut pas faire ce que l'on veut de sa vie ;

on a bien le droit de le faire a un animal ,pourquoi pas pour les humains!
escurial71
2008-03-20 05:16:39 UTC
Je suis catégoriquement pour une révision de cette loi !! D'autant que des médecins et non des moindres ( c'est un secret de polichinelle) si livrent déjà ....à donner une fin qui soit dans le respect de l'homme de sa décision ; je ne crois pas que le ministre de la Santé recevrait tous les jours 2 sacs de la poste pleins de lettres réclamant l'euthanasie. On peut trés bien imaginer, par département un comité des sages tous médecins et un représentant de la société civile qui auraient pour tache d'étudier à fond chaque dossier et de mesurer si la douleur, grace aux soins palliatifs, est vivable ou pas au besoin en modifiant la thérapie. Ne seraient admis à étude que les dossiers qui viennent directement du malade.

Et puis en tant que chrétien je suis totalement contre cet acharnement thérapeutique où cet homme sous machines ne parle plus, ne mange plus, la vie de la famille immédiate est détériorée à tout jamais , euthanasie ou pas.......vous rendez vous compte des questions si on le laise mourrir dans ses tourments !!

Là aussi posez vous la question ........ Nous l'avons fait souffrir jusqu'à la fin et il nous demandait clémence...........Dieu a dit TU NE TUERAS PAS, mais il nous parle de tuer un etre vivant normal !!

Débrancher des tuyaux qui maintiennent ce corps où le sang circule grace à une pompe, autre pompe pour la dialise, autre pompe pour respirer...nourriture par liquides dans les veines..posez vous la question...est ce encore un homme qui est là ou bien un végétal...et encore, meme pas un végétal,un végétal pousse grandit se développe....LUI non!

Plus jamais...il est entre nos mains qui pratiquent sur LUI la torture.....et . il y aurait encore tant à dire escurial71
Abrar N
2008-03-20 05:12:46 UTC
bonjour

Je crois que cette loi est contre l'humanité, et elle ne sert a rien, par contre elle va vraiment induire des grands problèmes sociaux : si une personne veut se débarrasser d'une autre en cas d'héritage l'euthanasie sera la solution et d'autre problèmes plus grave

même dans le coté religion c'est interdit et les personne qui soufre il faut qu'ils gardent l'espoir car seul DIEU qui controle notre vie.



merci
vevelelyonnais
2008-03-20 04:57:32 UTC
droit à une mort choisie ? le resultat il est là :

PLOMBIÈRES-LÈS-DIJON (AFP) - Le procureur de la République de Dijon, Jean-Pierre Alacchi, a indiqué jeudi matin à l'AFP qu'en l'état actuel des investigations il n'y avait "pas d'éléments suffisants" pour déterminer les causes de la mort de Chantal Sébire.Evènement



(publicité)

"Je n'ai pas d'éléments suffisants pour déterminer les causes de la mort" de Mme Sébire et "je me pose la question de savoir si l'on va faire ou non une autopsie", a déclaré M. Alacchi. "L'apparence externe du corps ne présentait pas de particularité et je continue à recueillir" les déclarations "auprès des proches" et des gendarmes "en charge de l'enquête" préliminaire, a ajouté le procureur de Dijon.



Selon lui, "Mme Sébire était très entourée" par sa famille "mais on n'est pas sûr qu'au moment de son décès sa fille ait été présente" alors que c'est elle "qui a découvert le corps", a précisé M. Alacchi. Le procureur a ajouté que le point presse, initialement annoncé pour ce jeudi matin à 10H00 au TGI de Dijon, n'aurait pas lieu.



Le corps de Mme Sébire, mère de famille de 52 ans qui souffrait d'une tumeur incurable et avait sollicité le droit de recourir à l'euthanasie active, a été découvert mercredi en fin d'après-midi à son domicile de Plombières-les-Dijon (Côte d'Or).
hamesh
2008-03-20 04:55:41 UTC
non ;;car qui a le droit de tuer meme pas celui qui spuffre et si vous accepter que de s perssonne tiers tuent sur decision quel quel soit alors il faudrais malheuresement retablir la peine de mort ,,si atroce alors non a aucune autorisation de tuer ;;; desole;;
Prétorien
2008-03-20 04:42:30 UTC
Le débat sur l'euthanasie ne se limite pas qu'à savoir si on se sent pour ou contre pour le principe de mettre fin à la vie de quelqu'un parcequ'elle souffre de manière insupportable.



Il y'a aussi la question majeur de savoir comment légiférer sur le sujet sans autoriser le suicide, sans permettre également des ouvertures à un homicide légal...etc.

Le législateur doit réussir à créer une procédure, simple et claire qui permettrait de légaliser l'euthanasie de façons à ne pas permettre de débordements dramatiques qui auraient pour conséquence l'abrogation pure et simple de l'éventuelle loi Euthanasie.

L'un des enjeux est aussi de savoir si on forcera les médecins à appliquer l'euthanasie si leurs patients le désire... ou le malade devra t'il trouvé un médecin qui acceptera de l'euthanasié ? Certains médecins ont le droit je crois de ne pas vouloir mettre fin à la vie d'une personne de par ses croyances et convictions personnelles... mais cet avis n'engage que moi.



Certes pour ma part je suis pour l'euthanasie des gens en situation de non-retour médical, ou ne souhaitant pas d'un acharnement thérapeutique. Cela leur permettra de finir leurs jours selons leur volonté... et accessoirement cela coûtera moins cher en soins médicaux à la société -Dans le contexte actuel ça n'est pas si accessoire-. (Même si selons des recherches de l'année 2007, il suffirait de réduire les fraudes à la sécu pour rendre viable notre systême... mais en France on ne contrôle pas. C'est mal vu et anti-démagogique pour se faire réélire.).

Cependant est-ce une raison pour dire de gens comme Mme Boutin qu'ils sont stupides parceque leurs croyances ne leurs permettent pas d'accepter le principe de l'euthanasie ? La société française n'est pas à 90% pour l'euthanasie, si elle l'était à 60% cela serait déjà formidable... mais seul un référendum permettrait d'en être sur.



Quant à des sondages via internet... je crois que cela serait peu représentatif de l'avis des français, ne serais-ce qu'à cause de la proportion importante de mineurs qui y participeraient sur internet (donc des personnes n'ayant pas le droit de vote au plan national)... et a contrario celle des plus de 50ans qui ne se servent que très peu d'internet et donc ignorerait l'avis d'une partie non-négligeable de notre société. (vive le papy boom).



Moralité: Pensez en ce que vous voudrez, ne jugez pas ceux qui ne partagent pas votre opinion.... nous sommes en démocratie. D'ailleurs cela serait peut-être l'occasion de demander au peuple de s'exprimer sur ses moeurs via Référendum sur l'euthanasie ?



(PS: il existe encore milles questions dans le débat sur l'euthanasie, mais chaque choses en son temps. Les réponses que je lisais portaient surtout sur un "qui c'est qu'a raison" plus que sur le débat lui-même. Du coup je n'ai pas non plus développé chaque point à la mesure du débat éthique.)
2008-03-20 16:27:22 UTC
La question posée est bien plus ambigu qu'il n'y parait.

En France, il existe ce qu'on appelle les soins palliatif qui accompagnent les personnes atteintes d'un cancer en phase terminale en leur administrant de fortes doses d'anti-douleur. Il est vrai que ces services coûtent cher, mais les patients pris en charge ne font que très rarement la demande d'euthanasie. Alors plutôt que de légiférer dessus, il vaudrait mieux développer ses services.

Ensuite, il faut savoir que les patients demandant l'euthanasie ont la plupart du temps les moyens (médicaments) pour mettre fin à leur vie par eux même. Alors pourquoi ne le font-il pas? Manque de courage? La différence qui en suit est soit un suicide si la personne le fait elle même, soit un meurtre si une autre personne le fait. Et les médecins même si c'était autorisé ne prendrait pas la responsabilité du geste, alors il faudrait créer une nouvelle profession de bourreau.



Et puis, qui peut décider des cas extrêmes? Qu'est ce qu'un cas extrême? Ce n'est pas le travail d'un comité d'éthique que de prendre les dossiers des malades.

Alors des dérives peuvent apparaître, comme un malade coûte cher, les compagnies d'assurance pourraient faire pression pour qu'on abrège les souffrances. Mais pas seulement. Il faut savoir qu'il est très dur de voir un membre de sa famille souffrir alors seulement parce que c'est dur de le voir souffrir on aurait le droit de le tuer?



Le débat est bien trop compliqué pour qu'une poignée d'internaute puissent y répondre. Et surtout quand la plupart parlent avec leur tripes plutôt qu'avec leur cerveau.
lavachequitache
2008-03-20 13:23:54 UTC
ce pose alors la question du progres de la médecine... les avancées sont spectaculaires et ont sauvées de nombreuses vies mais à quels prix...
wisdomguard
2008-03-20 13:11:46 UTC
Cette loi ne devrait pas voir le jour, chacun est libre de faire ce qu'il veut, mais rendre légal une loi qui autorise à éliminer klk'un, c'est la porte ouverte à l'elimination des personnes agées, des personnes invalides, ou avec de lourds handicaps, des personnes qui son't dans l'incapacité de se defendre, bref, sans leur consentement, ni le consentement de la famille, c'est un crime autorisé par la loi au vu de tous et dans l'indifférence la + totale.

Aujourd'hui il n'y a pas de loi. et pourtant la pratique est déjà courante.

Demain avec la bénédiction de la société, les personnes concernées n'auront plus leur mot à dire. et il faudra prouver que la personne n'etait plus consentente, mais elle ne sera plus là, et klke soit la décision de justice par la suite, le mal sera déjà fait.

Le suicide existe, et n'est pas condamnable, alors faut pas déconner. Demain on aura le droit de tuer n'importe qui avec cette loi !!! c'est pas difficile à détourner et a contourner.
Omar M
2008-03-20 11:02:10 UTC
je suis contre l éuthanasie a la baze
chantal w
2008-03-20 10:32:18 UTC
Je suis belge, chez nous la question a été tranchée et on constate que l'euthanasie est une part infîme des décès. Donc oui je suis pour la liberté de chacun. Pour moi je demande simplement qu'on ne s'acharne pas, il y a des moyens de soulager les souffrances. C'est tellement délicat de dire je suis pour ou contre. Le suicide pareil mais là où l'euthanasie n'est pas autorisée c'est la seule solution...
Delphinus
2008-03-20 10:16:07 UTC
je n'aime pas cette idée que l'euthanasie soit interdite! en fait, je suis carrément contre! il y a une différence entre assassiner une personne de sang froid, et le laisser mourir, ou de lui permettre de mourir si c'est son choix, parce qu'elle n'en peut plus de souffrir. je crois que tant que c'est le choix de la personne concernée, il faut le respecter! maintenant, le problème serait de trouver quelqu'un qui ne soit pas traumatisé d'euthanasier une autre personne! là, il pourrait y avoir un vrai problème!
assolatelier17
2008-03-20 06:41:35 UTC
on devrait pouvoir décider de vivre ou de mourrir, ce n'est pas à une loi qui doit le faire pour nous; je refuse que l'on décide à ma place; faut il laisser souffrir une personne et son entourage, telle la question qu'il faudrait se poser
Fabien L
2008-03-20 06:29:00 UTC
Oui absolument. D'autres pays européens ont déterminé la notion des cas extrêmes : douleurs insupportables et non soulageables; maladie sans rémission possible.... J'ai dû moi même, à sa demande, préparer un cocktail létal à ma grand-mère dont les souffrances étaient abominables et sans espoir. Je suis heureux d'avoir abrégé ses horribles journées. Il n'y a eu comme unique transmission patrimoniale que l'amour; par un sous.

Comme cet acte est prescrit par le code pénal, j'en fait l'aveu aujourd'hui.

Si cet acte d'amour avait été découvert à l'époque, j'en aurais assumé toutes les conséquences judiciaires avec l'assurance qu'il s'agiaissait d'un acte juste et compassionnel.

Je ne regrette pas et espère, le cas échéant, que quelqu'un le fasse pour moi.
2008-03-20 06:24:26 UTC
effectivement , les textes de lois ne saisissent pas la souffrance individuelle, j'ai lu que nos vies nous appartenais et que l'on pouvait faire ce qu'on en voulait, pourquoi dans ce cas vouloir mourir dans la légalité? ,si souffrance et mort la dépasse.

mettre fin a ses jours quelque soit le cas, ne peut être qu'une démarche individuel et de l'ordre de l'intime.



je ne comprends pas ce combat pour un suicide officiel et legal.
2008-03-20 06:23:53 UTC
Après une transplantatrion hépatique due à un cancer du foie je vis, difficilement, une récidive. Donc, en clair, quelques mois à peine me sépare du bout du chemin. Par ce message, je ne cherche pas à faire pleurer dans les chaumières, c'est comme cela. Une transfusion de sang contaminé et pouf, votre vie s'arrête.

Alors je m'interroge : qui sont ces gens, ces politiques obscène qui se permettent de décider de votre fin de vie ? Est-ce parce qu'ils ont plus de culture que nous qu'ils doivent se prendre pour des dieux, donner le droit de vivre ou de mourir ? Est-ce qu'il se rendent compte qu'au désespoir qui nous étreint, devoir quitter le pays où l'on est né pour aller mourir dans un autre loin, des siens est une véritable horreur ? Mes enfants ont très mal accepté ma décision de me faire euthanasier en Suisse lorsque la douleur deviendra insupportable. Mais que pouvais-je décider d'autre. Alors, que ces politicards que je vomis aujourd'hui qui m'ont donné la mort, qui me refuse ma fin de vie, chez moi, près des miens, aillent se faire foutre eux et leurs pseudo lois merdiques. J'emporterai avec moi, dans mon coeur, la haine que je leur porte. De quel droit décident ils de ma vie... et de ma mort ? De quel droit ?
OLIV85
2008-03-20 06:20:14 UTC
NON NON et NON

après l'avortement, aujourd'hui l'euthanasie.

ce répugnant mépris de la vie est bien le signe de la barabarie à laquele s'adonne notre pauvre civilisation. Celle ci croit se controler elle meme sur fond d'arguments dévoyés et de pitié falacieuse.

La tactique employée pour travailler l'opinion a accepter uen telle loi est la meme que celle de 74 pour l'ivg qui reste un meutre objectif quelque soit les arguments ou excuses avancées.

Il faut developper les soins palliatifs et l'immense attaention envers le malade plutot que de legiférer sur l'avortement. l'homme n'est pas une bete dont on abrege les souffrances.



le mot d'ordre d'un etat digne devrait etre " respectez la vie de sa conception à la fin naturelle". Tout cela releve du bon sens au dela de toute considération morale ou religieuse.



Une telle loi serait la porte sera la porte ouvert à tous les abus et à la chosification de la personne humaine. Elle est un refus de la mort et la peur d'y faire face et de s'y préparer sereinement.



Le plus infecte est de voir des lobby idéologues utiliser des cas comme l'affaire actuelle pour manipuler les gens à coup de larme à l'oeil.



Affaire Sébire : il s'agit bien d'une manipulation téléguidée



L'affaire est décryptée par Tugdual Derville de l'alliance pour les droits de la vie :



"Cette fois, l'orchestration ne fait plus aucun doute. Le cas de Chantal Sébire [...] est l'objet d'un bras de fer emblématique. C'est la mobilisation générale de part et d'autre d'une ligne de fracture. Elle sépare les tenants de la lé­­­gislation actuelle [...] des militants d'une dépénalisation de l'euthanasie. L'offensive appartient à ces derniers. Leur arme fatale : un visage et l'énergie désespérée d'une femme qui souffre physiquement et moralement. Pour entretenir l'émotion qui risquait de se dégonfler aussi vite qu'elle avait été projetée dans l'actualité, ils ont calculé leur ca­lendrier avec divers re­bondissements.



D'abord, c'est l'annonce des contacts établis avec la patiente par l'ADMD et son président, Jean-Luc Romero, en pleine campagne de ce lobby sur les députés. On a du mal à penser que l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité ignorait tout de la situation de Chantal Sébire quand celle-ci s'est exposée médiatiquement sur France-Télévision et auprès de l'Agence France Presse.



Ensuite, c'est le dévoilement d'un projet d'action en justice [...] Cautionner des élucubrations juridiques qui ne convainquent pas les juristes permet d'entretenir le suspens et de préparer les manifestations de colère et de déception que ne manquera pas de provoquer le refus de la justice d'accéder à la demande des plaignants. Leurs réactions seront d'autant plus médiatisées. [...] [T]oute l'ambivalence sordide d'une certaine pitié s'exhibe désormais dans la presse. [...]



Christine Boutin [...] s'est interrogée sur les soins antidouleurs reçus par la patiente. Et, effectivement, c'est sur ce point que convergent les doutes des experts avec, finalement, la suspicion d'une scandaleuse manipulation [d'où la fureur de Roméro à l'égard de Boutin]. Plusieurs médecins que nous avons interrogés se disent dégoûtés par ce qui est affirmé à propos des douleurs de Chantal Sébire. Privés d'accès au dossier médical, ils sentent la médecine prise en otage dans un choix truqué, comme si il n'y avait comme solution que, d'un côté, la mort à petit feu dans d'a­troces souffrances physiques et, de l'autre, l'euthanasie par suicide médicalement assisté. Or, comme pour l'affaire Humbert, la volonté de «maîtriser la mort» [...] s'accompagne du refus des solutions so­ciales ou médicales (notamment analgésiques) qui pourraient être proposées."
chauffeteau m
2008-03-20 06:14:38 UTC
Oui, quand le corps médical ne peut plus rien sur le plan de la guérison et de la souffrance. les soins palliatifs sont sans doute une bonne réponse à de nombreux cas, mais au niveau des moyens financiers peut-on les offrir à tous les cas de grande souffrances sans issue. J'ai vu mourir ma cousine de la gangrène, à l'hôpital, dans des souffrances intolérables.
ODELINE F
2008-03-20 05:54:56 UTC
OUI ET LA REPONSE EST ====> OUI à L'EUTHANAZIE



un cas extrême ==>la soufrance en phase terminale ;et même avant les toubibs ne sont pas des CONS pour décider!!!!!!!!!!!!!
Catherine H ou Juliusse
2008-03-20 05:54:09 UTC
Oui, la loi sur l'euthanasie doit être révisée pour les cas extrêmes.Quelqu'un de mes proches est atteint d'une maladie orpheline, et tout ce que je souhaite c'est qu'il puisse mourir dignement.
Cristiano
2008-03-20 05:42:49 UTC
la loi c'est la regle, mais il y a toujours des exceptions a la regle.
MAEVA69
2008-03-20 05:35:27 UTC
Inadmissible de laisser souffrir les gens, quand je pense que même un animal à le droit de mourir dignement et pas un être humain...notre vie nous appartient on doit pouvoir avoir le choix.
Tatiana
2008-03-20 05:29:28 UTC
Oh que OUI !!!!

la loi sur l'euthanasie doit être révisée. C'est URGENT, Chantal souhaitait abréger ses atroces souffrances. "Je suis allée au bout de ce que je peux supporter", déclare cette mère de trois enfants, cruellement défigurée par une tumeur des sinus et de la cavité nasale. NON mais faut arrêter ... c'est quoi ses lois bidons. Laissez la partir si elle le souhaite c'est scandaleux....
Billcrf
2008-03-20 05:23:35 UTC
Personnellement je suis pour, mais encore faut-il bien réglementer la pratique. De plus, comme pour les IVG je pense que les médecin auraient un droit de réserve, donc ce sera très compliquer à mettre en place.

Est-ce qu'un cas extrême ne serait pas le cas qui est médiatisé?? Car en tant qu'infirmer urgentiste, je voit tous les jours ou presque des gens qui veulent mourir, alors ils avalent 5 boites de paracétamol et ils meurent la plupart du temps dans d'atroces souffrances, et là, ce n'est pas un cas extrême? Ou encore la personne atteinte d'un cancer incurable qui se demande quand ce sera réellement terminé, car dans cette période de fin de vie la souffrance, quelle soit physique ou mentale, est telle que les personnes demandent à mourir.

Quel infirmier(e) (ayant un peut de bouteille quand même) n'a jamais entendu de personne lui réclamer la mort?
myosotis
2008-03-20 05:21:37 UTC
oui bien sûr que OUI

et j enchaînerai avec idem pour souffrance morale

la prison, le chômage, la solitude de la vieillesse ...



je suis pour depuis mon adolescence,

un papa véto

une décence à abréger la souffrance d un animal

son propre chien de chasse ou compagnie

pas facile mais dernier acte d amour il me semble



et pas nous les humains ?!!!

j en ai choqué plus d un par cette prise de position dans les années 60 déjà ... eh oui !

en espérant que mon entourage entende ce langage



j ai demandé au 2è mari de maman une seule chose, ne pas la prolonger si un jour ... par égoisme personnel



et bien sûr il ne s agit pas de généraliser

(je sais les dérives possibles aussi bien sûr et les pression, familles ou autres)



et quand je me dis que j ai échappé au suicide qui devenait la seule éventualité récemment

(chômage doublé de trop de solitude dans un endroit impossible à vivre seule)

et que le suicide reste la seule vraie solution si je suis à nouveau au chômage (pas de retraite ou si peu - impossible de rester où j ai choisi et suis bien, ou si je suis 1 jour incurable)



j aimerais vraiment que le débat avance réellement

pour m éviter toutes les souffrances inutiles ou choquantes surtout pour mes enfants



le cas extrême reste du ressort de la personne et pas de la justice non mais !

bien sûr je suis vivante là, mais je tends le dos et plus jamais je ne serai insousciante. donc je serais tt simplement en paix meme si aujourd hui la vie est là ... pas déprimée, lucide !

vie sans l autre parfaiment inutile et stérile malgré les enfants etc ......... chacun a sa propre grille de souffrance



merci pour une fois de publier le courrier au lieu de me zapper du forum pce j aborde ce sujet !
mathgaz
2008-03-20 04:38:27 UTC
dans bien des cas je comprends le desir de cet acte, mais je ne suis pas sur, que la personne injectant la dose ou prescrivant le poison soit, mentalement assez solide. Car la personne qui donnera la mort d'une facons ou d'une autre, va avoir ca sur la conscience. Je ne voudrai pas etre le "tueur"....
Jacques Maar
2008-03-20 12:10:03 UTC
En soi, comme le juge qui avait rebouté Mme Sébire, je comprends la douleur de cette femme et son désir d'en finir. Cependant pour moi la question éthique est la plus importante, car l'euthanasie reste un meurtre même s'il est consenti. En soi je n'ai rien contre le fait de donner la mort à un malade, mais dans quel cadre? Avec quels moyens? Devrons-nous réinstaurer des chambres à gaz pour liquider ces handicapés, comme les nazis le faisaient? (même si ces derniers ne demandaient pas l'avis des malades: l'exemple ne se veut pas un parallèle mais un rappel)... Pensons-nous à la santé mentale de la personne qui donnera la mort? Ce n'est pas le rôle des soignants de pratiquer l'euthanasie.



Ce serait sous-entendre que la vie a moins de valeur en fonction de notre santé et pour moi c'est inimaginable: pour un dépressif le suicide est un délit mais l'euthanasie ne le serait pas? J'avoue que je suis plus que perplexe... Ne vaudrait-il pas mieux développer les soins palliatifs qui font cruellement défaut en France? On a vu des malades qui désiraient mourir changer d'hôpital pour de meilleurs soins palliatifs et quelques mois après ils ne souhaitaient plus mourir.
virginie b
2008-03-20 10:54:14 UTC
oui je pense que la loi devrait permettre aux personnes de cas "extrême" de mourir dignement. Pourquoi nos animaux de compagnie aurait-il le droit de mourir euthanisier? Devrons-nous souffrir et survivre pour le beau plaisir de nos Haut Démocrate? S'ils étaient dans c'est cas là peut-être penseraient-ils différamment!
rappeur2001
2008-03-20 10:37:29 UTC
Je pense que la loi doit être révisée.

Il faut savoir cependant que les medecins se trouvent en face d'un dilemne. Le serment d'hypocras dis qu'il ne tuera point mais qu'il fera tout pour empêcher la souffrance. Voyez un peu la situation dans laquelle ils sont...

L'euthanasie doit se faire pourtant dans un cadre médical. Imaginez sinon les dégâts que cela pourrait causer. Le gouvernement est bien loin de la réalité. S'il connaissait les souffrances de certaines personnes je suis sûr que la loi changerait.
raymondsinsoulieu
2008-03-20 09:58:22 UTC
oui je pense car certaine personnes en peuvent plus de vivre avec leur souffrances vraiement si la personne a bien réfléchi aux conséquences
2008-03-20 08:58:17 UTC
Lorsqu'une personne est condamnee a mourir, que la medecine ne peut plus rien pour sauver cette personne ou attenuer ses souffrance et que cette derniere veut partir, pourquoi ne pas l'autoriser!

Pour moi il faut que les cas soient traiter individuellement mais que la justice donne de la souplesse sur la loi sur l'euthanasie sans non plus en faire une generalite.

La loi sur l'acharnement therapeutique est un pas mais souvant la fin de la souffrance pour le patient (souffrance physique) et la famille (souffrance morale) est dans la mort.
daphne_from_earth
2008-03-20 08:29:23 UTC
Le débat sur l'euthanasie est vaste et complexe.

De nombreuses questions se posent, de nombreuses circonstances sont à prendre en considération.

Avant de vous dire mon opinion personnelle, j'aimerais d'abord bien exposer les données et les questions essentielles de ce problème.



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1°) Qui serait en mesure de faire une demande d'euthanasie?



a) Le malade, celui qui voudrait mourir par euthanasie, est-il en droit d'en faire la demande?

C'est quand même lui le principal concerné !!!

Il est interessant de noter que le malade peut formuler une telle demande en différentes circonstances:

- Dans cette phase critique de souffrance où il souhaite mourir. Hélas, cela n'est possible que si le malade est encore conscient. Il peut le faire par écrit et/ou verbalement devant témoins.

- Sous la forme de "voeux anticipés". Alors qu'on a encore toutes ses facultés, on met par écrit dans quelles circonstances on souhaiterait l'euthanasie (maladie mortelle, degré de souffrance, degré de perte d'autonomie). Ce n'est évidemment pas facile de savoir par avance dans quelles circonstances on préférerait la mort à la vie... Mais certaines personnes parviennent à se faire une idée assez claire et rédigent de telles "déclarations anticipées".

- Mandater une personne de confiance qui soit en mesure de vous représenter, notamment lorque vous perdriez conscience. C'est une très bonne précaution à prendre, mais il est prudent d'avoir préalablement bien formulé les circonstances pour lesquelles on souhaiterait être euthanasié. Signalons aussi que si la personne de confiance n'a aucun droit sur votre héritage, elle sera plus crédible. En général, les personnes qui sont très préoccupés par ce "droit de mourir dans la dignité" font les deux démarches (déclaration anticipée + choix de mandataires).

b) Les proches pouraient-ils faire une demande d'euthanasie dans le cas où le malade est inconscient?

Ceux qui envisagent l'éventualité d'une euthanasie prennent rarement la peine de faire une déclaration anticipée. Dans ce cas, les proches pourraient-ils en faire la demande? Ce cas est extrêmement délicat. Un proche peut-il parler au nom de son parent sur une question aussi cruciale que la mort? Si les proches sont des héritiers, la demande risque d'être intéressée (c'est d'ailleurs un des principaux arguments avancé par les législateurs opposés à l'euthanasie). De plus, il y aura bien des cas où les proches ne partageront pas le même avis.

En fait, le cas des proches est tellement complexe qu'il est très difficile d'envisager une législation en la matière.

Néanmoins, l'avis des proches pourrait être pris en considération lorsque des membres du corps médical ont été témoins que le malade a exprimé verbalement l'envie de mourir avant de devenir inconscient. Dans l'état actuel de la législation, l'avis des proches est en tout cas fondamental lorsqu'il y a un procès à l'encontre d'un médecin ayant pratiqué l'euthanasie.

c) Le médecin peut-il demander l'euthanasie pour un malade?

A priori, on serait tenté de dire que le médecin ne devrait pas prendre l'initiative sans l'aval du malade ou de ses proches. Dans la pratique, il arrive que le médecin prenne seul la décision d'exercer une euthanasie, par exemple lorsqu'il est décidé d'arrèter le maintien en vie artificiel. En administrant une dose léthale, le médecin empêche le malade de subir une terrible agonie: mourir de soif ou d'étouffement.

Evidemment, ceci pose un problème, dans le cas où le malade n'a jamais émis de souhait dans ce sens. Le malade, bien souvent, n'est malheureusement plus en état de formuler quoi que ce soit. Parfois, il arrive que le médecin agisse sur la demande du malade, mais malheureusement il n'y avait pas de témoins. D'autres fois, le médecin agit à la demande des proches qui ne supportent pas de voir leur parent subir une terrible agonie.



Derrière toutes ces pratiques, il se peut qu'il y ait des questions d'argent (héritage, coût des vieux, manque de lits dans les hopitaux...). Mais il existe aussi indiscutablement des grands actes d'humanité...



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2°) Dans quelles circonstances une demande d'euthanasie est-elle recevable?

Autrement dit, comment définir les cas "extrêmes"?



Voici quelques critères qui me sont venus à l'esprit:

- Maladie incurable (dans l'état actuel des connaissances médicales): Condition indispensable de mon avis.

- Maladie mortelle: Si la maladie est de celle qui dégénère jusquà la mort, une demande d'euthanasie semble plus légitime, évidemment.

- Maladie dégénérescente, qui s'agrave avec le temps On sait qu'à terne, on est condamné à ne plus pouvoir aller seul aux toilettess et qu'on ne sera même plus en mesure de reconnaître les gens, par exemple. (Alzheimer...)

- Perte d'autonomie: Etre condamné à rester au lit, c'est franchement pas marrant. Etre dans une chaise roulante, c'est déjà moins grave. Devenir aveugle, quelle plaie. Mais tous ces handicaps sont perçus très différement d'une personne à l'autre. En cas de perte d'autonomie, le degré de souffrance morale varie énormément d'une personne à l'autre.

- Souffrances physiques: c'est le principal argument qui a été évoqué par Chantal. Sébire

- Souffrances morales: Si on se contente de ce critère, tous les dépressifs seraient en droit de demander l'euthanasie.



Cette deuxième question est peut être encore plus complexe que la précédente. Comment définir un cas "extrême" ? (merci d'avoir posé cette question fondamentale). Pour une personne atteinte d'une maladie incurable dont la maladie le condamne à mourir à court ou moyen terme et qui souffre terriblement, on serait bien tenté de dire "oui" (à moins d'avoir des convictions religieuses ou philosophiques qui s'opposent à cela, et on a évidemment le droit d'avoir de telles convictions, je tiens à le souligner). Mais si un dépressif fait une demande d'euthanasie, on est bien évidemment tenté de dire non. Entre les deux, il y a un très large éventail de cas.

Chantal Sébire, par exemple, est-elle un cas extrême? Si j'ai bien compris, il s'agit d'une maladie incurable, maladie à souffrances physiques (et morales forcément), avec des douleurs qui s'agravent avec le temps, mais ce n'est pas une maladie mortelle. Cependant, elle a ému beaucoup d'entre nous.

Quels critères employer pour légiférer?



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Conclusion avec mon avis sur la question:



Je dois dire que j'ai beaucoup de mal à avoir une réponse claire et précise sur la définition du "cas extrême". Mon amour de la liberté serait tenté de dire que c'est à chacun de définir ses propres critères. Mais d'un autre côté je comprends que la société ne puisse pas cautionner toutes les envies de mourir. Les notions de maladie incurable et de souffrances physiques me paraissent des préalables indispensables. Et une demande d'euthanasie devrait toujours être validée par un collégial qui inclut notamment des médecins et des pyschologues. Ce collégial trancherait la question au vu de critères objectifs, mais des critères subjectifs rentreraient certainement en ligne de compte. Personnellement, j'aurais sans doute accepté la demande de Chantal, parce que sa volonté d'en finir était acharnée, parce que ceux qui la cotoyaient la soutenaient dans sa démarche, et que tout cela reflétait combien ses souffrances étaient terribles.



Pour la première question (Qui serait en droit de faire une demande d'euthanasie?):

Je crois qu'on pourrait sans hésiter accepter une demande d'euthanasie lorsqu'elle est émise par le malade, quelle que soit la formulation (demande écrite, demande verbale avec témoins, déclaration anticipée, demande par l'intermédiaire d'un mandataire), après que la demande soit validée par le corps médical qui vérifie que la pathologie répond aux critères définis par la législation.

Si le malade est inconscient et n'a pas émis d'avis par le passé, la question est malheureusement quasi insoluble. On pourrait du moins envisager l'euthanasie pour soulager ceux dont on arrète le maintien en vie artificiel, afin de leur épargner une agonie atroce (étouffement, déshydratation). Encore faut-il être certain que cela n'est pas contraire aux convictions religieuses ou philosophiques du mourant... Car si le droit à l'euthanasie peut me paraître à moi comme une liberté fondamentale, le droit de mourir quand Dieu le décide me paraît aussi être une liberté fondamentale.

Au fait, qui décide l'arrêt du maintien en vie artificiel? Je crois bien qu'il n'y a pas non plus de législation dans ce domaine, mais plutôt des protocoles admis par les médecins de façon collégiale.



Pour information:

Dans l'état actuel de la législation (loi Kouchner+loi Léonetti), nous avons le droit de réclamer des anti-douleurs même s'ils abrègent notre vie (morphine notamment), ce qui était de toute façon déjà très largement répandu dans la pratique, qu'on le demande ou pas d'ailleurs. Nous avons aussi le droit de demander l'arrêt de traitements (médicaments, sondes), même si cela doit abréger notre vie. Nous avons la possibilité de faire ces demandes dans une "déclaration anticipée" et nous pouvons nommer un mandataire. Ainsi, si nous tenons vraiment à mour
inconnu 007
2008-03-20 08:24:11 UTC
pour moi il ne doit pas y avoir de cas extremes .Il doit y avoir une lloi votee en faveur de l'euthanasie et reflechie.
Lelett
2008-03-20 08:17:51 UTC
Je pense qu'il faut prendre en compte la demande de la personne mourante a quoi bon continuer de souffrir attendre la mort et gâcher la vie de votre famille qui ne vie plus que pour vous, si le mourant est responsable et lucide sa demande doit être accepté sous contrôle bien sûr, nous avons bien la possibilité de mettre fin à nos jours lorsque nous sommes valide eux ne le peuvent pas alors... bon courage à tout ceux qui vive cette douloureuse épreuve.
la p'tite curieuse
2008-03-20 06:27:05 UTC
Je pense comme beaucoup que la loi sur l'euthanasie doit être révisée.



je pense également que le problème se trouve dans le fait que moralement, il reste difficile de "reprendre la vie" de quelqu'un.



Cela dit, il est selon moi inconcevable de refuser le droit de mourir sereinement à des personnes qui souffrent autant que souffrent certains et ce, depuis des années.

Je trouve cela pire de laisser souffrir un individu plutôt que de le laisser partir tranquillement.



L'idéal serait d'autoriser l'euthanasie dans des cas extrêmes. Par cas extrêmes, j'entends : maladies incurables laissant les personnes atteintes vivre dans d'atroces souffrances, paralysies générales où les personnes ne peuvent plus s'exprimer, ne peuvent plus que très difficilement communiquer avec l'extérieur et au prix d'efforts surhumains, les personnes plongées d'une manière ou d'une autre dans une douleur continuelle. Il suffirait que ces personnes fassent une demande détaillée expliquant les raisons de leur choix et qu'elles puissent enfin être entendues... et écoutées surtout.
roza
2008-03-20 06:26:11 UTC
la vie c'est sacrée ,et la personne qui souffre dans la vie le bon dieu lui réserve une place au paradis
Rosalie A
2008-03-20 06:11:31 UTC
...la loi devrait être révisée...bien évidemment, notre vie nous appartient...on nous impose tant et tant de choses...que de souffrances inutiles...
pena k
2008-03-20 06:04:34 UTC
Faut-il être pour ou contre une révision d'une Loi?

J'ai vu ma mère partir après d'atroces souffrances me demandant de les abréger mais je n'ai pu m'y résigner ( manque de courage ou amour filial? je ne sais toujours pas).

La seule chose que je sais, c'est que personne n'a le droit de me dire si j'ai ou non le droit d'abréger ma vie. Cette décision m'appartient et non aux politiques ou autres.

Il faut être devant le fait accompli pour savoir comment on va réagir et comment vont réagir les proches qui nous entourent.

Légiférer sur l'euthanasie est un non sens. Les soins palliatifs une fuite en avant de la Société voulant se donner bonne conscience. Notre vie nous appartient et seulement à nous.
SEVERINE A
2008-03-20 05:27:32 UTC
Je pense que la loi sur l'euthanasie doit être révisée pour les cas extrèmes. Aujourd'hui en refusant, on ne permet pas à ces gens qui souffrent déjà assez, de choisir la mort qu'ils ont voulue. Et pourtant au final le résultat reste le même, des gens qui finissent par mourir; En effet, ils se donnent la mort : soit seuls, soit en mettant dans l'illégalité un membre de leur famille ou un médecin!

Cette dame souffrait tellement qu'elle n'a pas pu se déplacer pour entendre ce verdict si important pour elle soit-il!

La famille qui reste aurait préféré je pense savoir que leur proche est partie, mais dans les conditions qu'elle désirait.

Concernant la définition des cas extrêmes, les médécins sont à même d'établir cette liste, comme ils sont à même aujourd'hui de soutenir ces patients desespérés qui désirent l'euthanasie!
jjores.1936
2008-03-20 05:26:31 UTC
1. Il est évident que cette loi doit être amendée,modifiée et surtout prendre en compte la liberté de chacun de pouvoir choisir le moment de partir dignement en fonction de ses aspirations morales ou religieuses. il est inadmissible que de trists penseurs s'arrogent le droit de disposer du libre choix d'un homme libre et conscient.

Quant aux politiciens comme à l'ordinaire ils vont surfer sur la vague pour se place face aux caméras. Pour ce qui est de la Justice, l'on s'apercevoir une fois de plus que l'E.N.M. ne farique que des robots du Code ou des Dati acharnées

Mme BOUTIN, à votre adresse étant moi même atteint d'une maladie évolutive je saurais le moment venu m'accrocher à vos basques pour vous faire comprendre que les envolées religieuses ont des aspects clownesques.
2008-03-20 05:25:33 UTC
Cela dépend de la gravité, au medecin ou à la personne de choisir
anaisnin
2008-03-20 05:21:39 UTC
Lorsqu'une personne se sait condamnée, il est normal qu'elle puisse décidée de l'heure de sa mort sans être obligée de subir les souffrances liées à sa pathologie.

La médecine est là pour répondre à cette demande, on peut sinon considérer comme dans le cas de l'assistance de fin de vie qui existe actuellement qu'il s'agit de non assistance à personne en danger.

Rien ne prouve qu'une personne dans le coma ne souffre pas de l'arrêt de l'hydratation et de l'alimentation.
Briere f
2008-03-20 05:17:23 UTC
çà ma parait logique sous certaines condtions comme en Belgique
marais s
2008-03-20 05:17:23 UTC
Un cas extreme peut etre defini par une maladie qui nous empeche de vivre normalement ou une souffrance terrible. Apres je pense sincerement qu'en tant qu'etres humain, nous avons le droit de choisir notre mort comme on choisi d'etre incinere ou enterre. Il a y enormement de gens qui meurt dans de terribles souffrances et cela est inhumain. On devrait donner aux gens le droit de mourir via une solution plus simple. Apres que ce soit cas extremes ou non, je pense que dans notre republique actuelle, nous sommes encore libres et libres de penser et de choisir.
mismatou
2008-03-20 05:16:35 UTC
C'est la même situation que la lois sur l'avortement. Que chacun puisse, selon ses croyances religieuses ou morales, chosir un environnement pour continuer sa vie et sans l'acharnement térapeutique, ou terminer sa vie comme bon lui semble. Bien entendu dans les cas où aucune guerison est possible. A lui d'assumer l'au-délà !

Principe de base : si quelqun d'autre peut donner la mort, la porte est ouverte à tous les abus. Voir le trafic d'organes ...
framajo
2008-03-20 05:10:51 UTC
C'est un sujet très difficile. Qui a le droit de vie ou de mort sur une personne ?

Mais je suis pour une loi revisée pour certains cas comme dans quelques pays européens comme les Pays-Bas ou la Belgique où il s'avère que la loi permettant l'euthanasie reste utilisée qu'en extra et qu'il n'y a aucune dérive.

Ce n'est pas un sujet facile mais étudions comment les autres pays qui ont osé franchir ce pas réagissent et enrichissons-nous de leur propre expérience.

La société évolue sans cesse, on doit pouvoir avoir l'intelligence d'évoluer aussi.

Mais prudence........

.
Fany G
2008-03-20 15:31:12 UTC
OUI la loi sur l'euthanasie doit être révisée pour les cas extrêmes, un cas extrême est un cas de souffrance insupportable en sachant que les spécialistes de la médécine disent qu'il n'y a aucun 'espoir de survie à ce malade et à la famille, cette personne souffrante si elle a encore la possibilité de demander cette euthanasie , c'est son souhait, c'est tout!

le pire est de laisser mourir un ou une malade dans l'agonie,



j'ai eu 2 expériences dans ma famille, mon grand père a eu le temps de s'échapper de l'hôpital connaissant son verdict, il

est décédé comme cela,

ma maman a 85 ans a fait une avc et a voulu se débrancher

sachant la gravité de son état de paralysie, actuellement, elle vit encore paralyser, sans parole, c'est une souffrance terrible, mais morale c'est vrai

elle nous le fait savoir avec son regard, et c'est une souffrance pour toute la famille, elle a 87 ans.

c'était son souhait.

Alors laissons mourir en paix ceux qui le désirent,

c'est un respect pour eux.



Fany
norore03
2008-03-20 15:19:27 UTC
je dirais que oui, en effet, chaque personne demandant l'euthanasie doit etre écouter et une réponse unique doit etre fait, ainsi, si nous ne voulons pas avoir peur de l'arbitraire et des abus, chaque demande devrai etre étudier.



je trouve la loi leonetti sur le droit de laisser mourir (le pouvoir des médecins d'enlever une sonde gastrique et d'hydratation et donc de laisser mourrir la personne de faim et de soif est a mon sens une loi tout a fait hypochrite et bien plus attroce que d'endormir quelqu'un pour ne plus qu'il se réveil, bien moin de souffrance et d'attente de la mort pendant plusieurs jours, semaine.
Alain C
2008-03-20 15:13:56 UTC
J' ai 55 ans depuis mes 20 ans j' attends que nos hommes politiques aient le courage d' autoriser l' euthanasie active dans notre pays

Le droit à mourir dans la dignité est le droit de chaque humain pour décider comment et quand il souhaite mourir.

En France serais t' on plus criminel ou plus instrumentalisés que dans d' autre pays Européens.

Il est vrai , en Belgique en Hollande : Mme Broutin et sa bible ne sont pas au gouvernement!!!
Julien B
2008-03-20 13:36:21 UTC
Oui cette loi doit être réviser dans les cas de maladies incurables et quand la personne concernée le désir. On devrait avoir le droit de vie ou de mort sur sa propre personne.

Par exemple une personne dans le coma qui ne se réveillera pas, et qui souffre, on ne peut pas les laisser vivre comme ça.
sandrine d
2008-03-20 11:07:47 UTC
d ou un président de la republique ou quiqu on peut dire si oui ou non on doit partir :la souffrance eux ne la ressente pas alors si comme cette femme tres courageuge demande a partir c est bien qu elle etait arrivez au bout du supportable alors oui pour l euthanasie .
Martine P
2008-03-20 10:32:58 UTC
bien sûr. tout doit évoluer, rien n'est figé, tout bouge, humainement, il ne faut pas laisser souffrir atrocement, sous prétexte de risque de dérapage, des malades qui veulent mourir dans la dignité.

Cas extrêmes : quand la connaissance médicale ne permet plus, ni de soulager la souffrance (physique et/ou morale), ni de guérir. On ne force pas les gens à vivre malgré eux.
2008-03-20 10:31:55 UTC
oui biensur pourquoi laisser les gens souffrir
JO72
2008-03-20 08:42:08 UTC
Je suis pour l'euthanasie lorsque la personne l'a choisie parce qu'elle souffre malgré les traitements, ou qu'elle est grabataire, et que la médecine ne peut plus rien pour elle.

Nous ne laissons pas les bêtes dans la souffrance, nous envoyons des hommes et des femmes au combat ... et là nous ne donnons pas le choix de vivre ou de mourir ... et aucune polémique ne ressort de cette forme d'euthanasie.
2008-03-20 06:39:50 UTC
Bonjour,



OK je n'ai jamais été dans une telle situation, donc je ne m'aventurerais pas trop dans le débat.

Je suis juste ici pour donner mon avis.

Moi je suis contre que la loi sur l'euthanasie soit révisé pour des cas " extrêmes " !! Pourquoi ? Pour la simple raison qu'une euthanasie active est grossomodo un suicide !! (on est bien d'accord là je pense..). Si un patient est en état de décider ou non de sa mort (arrêtons de dire "abréger les souffrances", alors que c'est de sa mort qu'il décide !!), cela voudrait dire qu'il est en état de faire d'autres choses (ex : se suicider sans en faire part à d'autres personnes). En gros, accepter l'euthanasie active ne serait-ce pas de faire responsabiliser la mort* d'une personne au milieu hospitalier ?!? (* le mot "suicide" serait plus approprié je pense, dès lors que c'est la personne qui décide de sa mort).

J'attend vos réponse...

PS : Je suis encore désolé pour le fait que le mot "suicide" est répété plusieurs fois, mais pour moi ces 2 termes semblent être très ressemblant.



Merci bien...Cordialement
Pierre
2008-03-20 06:21:11 UTC
Je lisais dans les autres réponses "chacun et libre de disposer de sa vie". Ce n'est pas tout à fait vrai.. L'Etat a en effet "le monopole de la violence légitime" (Max Weber) et dans ce cadre dispose d'un droit de vie et mort sur ces citoyens en échange de sa protection. Par exemple, un pays peut décider d'établir une peine capitale et envoyer les citoyens mourir à la guerre mais peut condamner un individu pour "non assistance à personne en danger" si il n'empêche pas un paire de se suicider.

A ce problème se rajoute le tabou judéo-chrétien du suicide ( je vous invite sur cette question à consulter le blog du Monde). Suicider étant "mal" il faudrait qu"une entité supérieur (Dieu ou l'Etat en l'occurrence) autorise cette acte.

Établir une loi sur l'euthanasie "active" revient à confier sa vie et son droit à mourir à des "spécialistes" qui le cas échéant pourront décider qu'une demande n'est pas valable.

Les cas les plus difficiles sont ceux du type Vincent Humbert, ou la personne ne dispose plus de la liberté à disposer de sa vie...

Voilà, j'ai conscience de ne pas apporter de réponse tranchées, ce débat est difficile et nous interpelle tous. J'espère en tout cas avoir donné quelques éléments de réflexions sur cette question de société.
2008-03-20 06:12:28 UTC
puisque les assurances n'indemnisent pas le suicide, Un malade condamné ne peut se suicider sans savoir que l'assurance vie où il a cotisé toute sa vie ne versera rien à sa veuve, ses enfants...

Pour que l'argent qu'il a versé ne soit pas jeté par les fenêtres, il doit attendre de mourir par arrêt du coeur naturel, très souvent avec d'atroces souffrance.

Même nos animaux peuvent voir leur souffrance abrégée...

Alors une loi qui autoriserai d'abréger les souffrances d'un malade condamné à mourir dans d'atroce douleur, imposant à ses proches la souffrance de le voir dépérir petit à petit, restant impuissant face à son état serait la bienvenue si, évidement, cette loi est gérée sous des contrôles plus que sérieux. les abus sont toujours possible.

Même si on a abolie la peine de mort, autorisons aux gens de souffrir moins longtemps.

Dans tous les cas, ces malades arriveront aux même point : La mort.
apis
2008-03-20 06:09:12 UTC
oui oui et trois fois oui
noisette
2008-03-20 06:03:43 UTC
oui et rapidement !et honte à Mme Boutin qui se permet de tenir des propos hypocrites et sans connaître le dossier ! si un jour elle est confrontée à ce problème dans sa vie privée ,j'espère qu'elle se souviendra de ce qu'elle a dit !
Michèle L
2008-03-20 06:00:50 UTC
oui

Quand il n'y a plus de solution médicale et que la personne souffre physiquement et moralement
Pascal P
2008-03-20 05:45:51 UTC
je pense que oui, car on ne peut laisser une personne souffrir comme cette pauvre femme alors qu'on sait que rien ne peut changer. Ayant vécu aussi le même problème dans ma famille (mais pour un autre cas) cette souffrance pour mon frère, alors qu'on savait que c'était irréversible, 7 mois de douleur pour mon frère, 7 mois a l'accompagner sans pouvoir soulager ces souffrances, sans pouvoir l'aider à partir dignement. J'estime qu'on doit laisser le choix à ces patient ou de la famille de choisir. On va me dire que certaines personnes s'en sortent, oui c'est vrai mais combien de cas sur mille retrouve une vie saine??? Je pense que dans les cas extrême comme cette femme et bien d'autre, on doit l'aider dans son choix, aider sa famille dans le choix.

Mais surtout être accompagner par le monde médicale, car eux seuls peuvent nous dire l'état exacte de la personne, ils peuvent aider le malade mais aussi la famille dans des choix aussi douloureux.

Pour conclure, j'aurai préféré voir partir mon frère vite que de le voir chaque jour partir lentement dans la douleur, il y a rien de plus horrible de voir une personne qu'on aime partir dans de telle circonstance. 25 ans après j'ai toujours son image en moi sur son lit dans ces derniers jours.
lynda f
2008-03-20 05:41:26 UTC
Bonjour

Je suis pour que l'euthanasie soit respectée si la personne en fait la demande ou si elle là notifier sur un document comme pour les dons d'organes.STOP A LA SOUFFRANCE
sbcs
2008-03-20 05:38:57 UTC
oui, je suis pour une modification de la loi.

Je trouve choquant que notre société tolère (finalement assez bien ) la connaissance des conditions de vie inhumaines ( souffrance extreme, morale ou physique, sans espoir d'amélioration ) , mais d'un autre coté d'offusque que les personnes mêmes qui en souffrent puisse décider de leur propre mort.

C'est pour moi une hypocrisie absolue.

Pouvoir avoir accès à une mort digne et encadrée, comme cette scène frappante dans le film " Soleil vert" avec Charlton Heston, me parait bien moins choquante que certaines conditions de vie et de fin de vie, terribles.
STEVE H
2008-03-20 05:34:42 UTC
Quand un animal est malade et va mourir,nous faisont "la chose humaine"

Mais quand un humain est dans le meme cas,nous faisont "la chose inhumaine"



Les etres humains sont vraiment cons
Gillou-garou
2008-03-20 05:12:17 UTC
Il y a toujours eu le droit au suicide. Personne ne peut t'empécher d'en finir. Ce débat est stupide.
Claude S
2008-03-20 04:58:12 UTC
Elle ne devrait même pas existé!!!
cams27
2008-03-20 14:54:00 UTC
Les personnes souffrant terriblement que cela soit physiquement ou moralement de leur maladie devraient avoir le droit de mourrir dignement. Cette dame s'est certainement battue pour obtenir le droit de mourrir... Elle a fait preuve de beaucoup de courage malgré sa souffrance. Je ne sais pas ce que votre loi propose mais ce qu'il vous faut c'est un système comme nous avons en Suisse. C'est-à-dire 2 associations (Exit et Dignitas) qui permettent à des personnes malades de mourir dignement. Dans le cas d'exit, je sais que la personne doit être domicilée en Suisse pour avoir recours à cette pratique. De plus, la personne doit être capable de boire le verre elle-même et d'être capable de dissernement. Toute personne à le droit de mourir dignement et je pense que la dignité de cette dame a déjà été touchée... Alors réagissez!
Pfp
2008-03-20 14:34:14 UTC
Pour ma part , je pense que vaut mieux vivre en souffrant, vivre avec des difficultés que de ne pas vivre du tout. Certes chacun fait ce qu'il veut de sa vie mais pensons a tout ce qui sont morts malgré eux, d' en d' horrible souffrance parfois. Ainsi nous somme face un vrai dilemme , mais si telle est la volonté de la personne concernée, étant diagnostiqué par les médecins de tout a fait consciente et condamné a mourir, alors qu' il en soit ainsi et la révision d'une loi ou la définition d' un cas extrême n' a pas lieu d' être.
dead or alive....dead!!!!
2008-03-20 12:04:22 UTC
il faut vraiment arreter de se cacher derriere des lois qui ne font plus parties de notre siecle ou des religions qui elles ne font vraiment plus parties de notre monde alors bienvenue dans un monde réel et oui a l'euthanasie ,aux mariages gay,a l'adoption facile pour hetero et gay ..........................................................................................!!!!!!!!!!!!!!!!!
isa
2008-03-20 11:30:34 UTC
elle doit etre revisee tt court... y a pas de cas extremes... si une personne demande a mourrir pour soulager ses soufrances ... c est son droit... moi je suis infirmiere et des malades j en vois tous les jours... c est intolerable de se sentir impuissant par rapport a la douleur physique et morale et je ne souhaite a personne de vivre des moments comme ca ....
jacynthe07
2008-03-20 08:42:29 UTC
On permet à son chien de mourir dans la dignité lorsque le vétérinaire atteste qu'il est en fin de vie, qu'il souffre inutilement et que l'issue de sa maladie est fatale. La France traite mieux ses chiens que ses citoyens.
koala007
2008-03-20 06:57:00 UTC
Tout le problème de cette question vient du cas extrème. Puisque c'est un cas particulier il ne peut être considérer que particulièrement et non par la société qui constitue un ensemble, et n'est de ce fait pas particulière.



Notre société se vante au nom de la défense de la vie d'encourager la culture de mort. Dans le sens commun, la vie est devenue une propriété, alors que malheureusement, notre vie ne nous appartient pas.



Depuis quand pouvons-nous décider pour notre confort de qui doit vivre ou mourrir?

Car malheureusement la vie n'est pas confortable, la vie est difficultés problèmes et comromis qui eux sont sources de Bonheur.



C'est alors au nom de ce confort personnel, de plaisirs, que nous assimilons au bonheur, que nous renonçons à tout ce qui fait la beauté et la valeur de la vie : le partage dans la difficulté.



N'avez-vous jamais remarqué que les liens les plus fort que nous créons avec quelqu'un c'est dans la difficulté, où ,chacun se révèle lui-même?



Le problème est bien là. Pour notre confort, nous évitons les autres, les efforts et nous ne nous révelons à personne, ce qui est la source du malheur.



Et notre société, avec ses lois est championne pour cette destruction de la société, de la personne et donc de la vie.



cela commence par le divorce, l'avortement le pacs et maintenant l'euthanasie.



certains me diront de ne pas tout mélanger et pourtant ces changements ou progrès diront certains vont tous dans le même sens, celui de l'isolement, de la solitude et donc du malheur et de la mort.



Toutes ces situations relèvent du cas particulier, qui concerne donc une personne et ne peuvenet en aucun cas être généralisé.

Ce qu'il faut avant tout, c'est le retour d'une cellule familiale stable et source de joies et de vrai et grand bonheur, et garante d'une société protectrice. C'est en famille que l'enfant apprend la société, le respect des autres et donc des règles.

Ce qu'il faut c'est faire prendre conscience que notre identité, notre unicité se construit à l'aide d'un environement stable, durable et protecteur.



les lois doivent donc être là pour garantir à chacun de pouvoir évoluer sereinement dans la société, mais ne doivent pas permettre à la société d'anéantir une personne.



En conclusion, c'est pour tout cela que je suis contre une législation en faveur de l'euthanasie.
L'Agneau si doux
2008-03-20 06:52:35 UTC
Evidemment qu'il faut faire quelque chose, on euthanasie un chien ou un chat pour qu'il ne souffre pas et on laisse un être humain subir les pires souffrances....

Il faut qu'il y est une concertation, cas par cas, mais il faut très vite faire quelque chose, car on ne peut pas continuer comme ça.

Pourquoi certains pays peuvent éviter la souffrance des gens et la France non !!!

Il faut déjà prendre en considération la demande de la personne, ce qui est primordial......et lorsque la médecine est impuissante, il n'y a pas a hésiter.
2008-03-20 06:50:35 UTC
Ce que je ne comprend pas, c'est de persister dans la douleur extrême, sachant qu'il n'y a aucun espoir. J'ai vu mon père souffrir pendant des semaines. Les médecins connaissaient l'issue fatale, pourquoi vouloir nier les faits?

Je comprends qu'aucune personne n'a le droit d'ôter une vie, mais quand la souffrance et les cris deviennent intolérables pour le malade, je pense que celui-ci peut et doit avoir le droit de décider et qu'une loi en ce sens peut être prise.

Pour les dons d'organes, nous pouvons, oui ou non accepter, pourquoi ne pas imiter cette pratique pour l'euthanasie?
annaclara
2008-03-20 06:02:11 UTC
L'euthanasie est un acte très lourd, néanmoins quand on sait que l'on est condamné et que l'on souffre atrocement, on devrait pouvoir réclamer le droit de mourir avec le peu de dignité que la maladie nous laisse encore. Cet acte devrait être autorisé, il est inhumain de laisser des personnes souffrir. Bien entendu il faudrait une législation très stricte autour de cet acte.
duval
2008-03-20 05:57:10 UTC
c'est l'évidence même;

nous trainons un lourd passé de préjugés

le temps viendra ou un humain courageux imposera cela car en ce moment c'est l'"obscurantisme" le plus complet.

c'est à celui qui s'en lavara les mains pour des question bassement électorales.
r.bernard_13
2008-03-20 05:48:18 UTC
je pense que le plus difficile revient à celui qui fait l'acte

d'euthanasie
2008-03-20 05:37:21 UTC
Décider de la mort d'une personne ou d'un animal est très dur.

La décision ne doit pas être prise à la légère.

Cependant, les cas extrêmes doivent être les suivants:



- Souffrance et douleurs insupportables du malade,

- Aucun moyen de guérison,

- Choix du malade lui-même.



En effet, il est plus facile que le malade le demande lui-même que plutôt ses proches.



Et d'ailleurs à ce propos, afin de protéger le malade contre des influences malintentionnés de ses proches, on devrait avoir au moins 3 consentements écrits:



- celui du malade,

- celui de ses proches,

- et celui des médecins.



En conclusion, pour un cas vraiment désespéré, l'euthanasie reste un moyen d'abréger les souffrances.

Continuer à vivre en ressentant les souffrances physiques et mentales au quotidien, c'est déjà mourir.
Christophe J
2008-03-20 05:23:27 UTC
oui
madlenka
2008-03-20 05:22:58 UTC
L'euthanasie est étroitement liée à celle de la douleur et de la capacité à vivre sous la contrainte du handicap ou de la maladie. Avec des précautions légales, des garde-fous, il faudrait songer à l'autoriser.

vivre à tout prix si c'est invivable, à quoi bon???
2008-03-20 05:12:19 UTC
Ce qui est très inquiétant de nos jours , c'est que l'on vit dans une société qui comporte une minorité(très influente dans les médias!) qui lutte pour démolir toutes les valeurs sans lesquelles une société ne peut exister!

Croyez- vous que l'euthanasie n'est pas déjà pratiquée, le combat qu'a mené cette dame et M.Humbert, c'est une simple lutte politique pour faire tomber un tabou universel!

Légiferer, c'est probablement accelerer des meurtres(je pèse mes mots!) qui se produiront quand pour se débarasser de quelqu'un(héritage...), on lui fera signer un document en lui faisant croire tout simplement que c'est pour stoper ses douleurs!

C'est lutter pour la vie que de s'opposer à cette aberation, si votre vie vous appartient(beaucoup malheureusement n'attendent pas une loi pour mettre un terme à leur vie!), celles des autres non!
Criquet
2008-03-20 05:12:04 UTC
Comment définir un cas extrême ? c'est pas facile. Hitler avait bien décidé d'euthanasier tous les malades mentaux et autres handicapés... Pourquoi allons-nous dans le même sens ?

Je pense qu'une personne qui réclame la mort exprime en fait un cri de désespoir. Au lieu d'y répondre en l'éliminant, pourquoi ne pas lui apporter l'affection et l'amour dont elle a besoin, en même temps que le soulagement de la douleur. La médecine a fait de grands progrès dans le traitement de la douleur. Mais il manque peut-être de l'humanité.

Ta vie, tu l'as reçue. Pourquoi la reprendrais-tu ? pourquoi voudrais-tu que le médecin te la reprenne ???

La réponse n'est pas simple et la dérive eugénique n'est pas loin...
tellepuce
2008-03-20 05:09:13 UTC
tout être humain devrait avoir le droit de mourrir si ses souffrances deviennent intolerables ,de quel droit une lois regirait-elle cela,nous euthansions nos animaux pour ne pas les laisser soufrir inutilement et nous regardons les êtres humains souffir ou est la logique?
olive b
2008-03-20 04:59:05 UTC
etudiant en 1ère année de droit à coté de Versailles, nos profs nous font comprendre que le droit evolue, il lui faut de temps, des bases solides egalement, mais la jurisprudence doit nécéssairement s'adapter à la société.



ce qui est triste, regrettable, c'est qu'il aura fallut attendre la mort de vicent Himber, de cette mère de famille et de tant d'autres pour que le droit français s'harmonise avec l'évolution des moeurs voire même, avec le droit des autres pays eurpéens....
sradspirit
2008-03-20 04:54:32 UTC
Je pense que pour des cas extrêmes, comme pour Mme Sébire, une loi devrait être votée afin de leurs permettre de mettre fin à leurs jours sans souffrances et sans que la (les)personnes impliquées(aide médicales, membres de la famille etc) ne risquent d'êtres arrêté et/ou poursuivi.



Vivre dans de telles conditions sont inhumaines et par conséquent la loi doit être modifiée afin de pouvoir leurs venir en aide dans les plus brefs délais.
2008-03-20 04:22:37 UTC
La loi sur l'euthanasie : ABSOLUMENT ! on a le droit de choisir sa mort sans attendre, dans une immense détresse (morale et/ou physique), qu'elle survienne ! ne pas être obligé de se laisser mourir dans un état de délabrement qui ne ressemble plus à l'être que l'on a été toute une vie durant !
Sylvain B
2008-03-20 11:00:31 UTC
oui je penses que l'ont a pas le droit de laisser les gens souffrir de la sorte moi mon grand père en Suisse a eu le droit de partir dignement et quand France on est en retard à ce sujet
2008-03-20 10:50:16 UTC
la loi sur l'euthanasie doit etre revisee pour ces cas extremes.

les cas extremes doivent etre soumis a un comite, compose d'un medecin certes mais aussi des sociologues, des humanistes, des philisophes at aussi peut-etre des ecrivains ayant fait preuve de grand humanisme
olivier b
2008-03-20 09:44:10 UTC
Non
EUREKA spa .centre s
2008-03-20 09:18:18 UTC
la vie est tres importante que la mort et quand on parle de gent il faut l'encourage a vivre que afaire autre chose .

la souffrance elle depont de la personalite de personne et tout les monde souffre alors tout le monde .......

il faut pas oublie qu'il y a un DIEU a lui seul de decide l'heure de depart .
vegasfredo
2008-03-20 09:07:26 UTC
OUI POUR DES CAS EXTREMES COMME CELA VIENT DE SE PASSER IL FAUT QUE CELA SE FASSE AVEC AVIS DE LA FAMILLE !!!!!!!!!!!
Bertrand C
2008-03-20 08:15:25 UTC
Je vais vous faire une citation : qui a dit :



"Les autorités médicales sont chargées, sous leur responsabilité, d’élargir les compétences des médecins qu’il conviendra de désigner nommément, afin qu’il puisse être accordée une mort charitable aux malades jugés incurables à vue humaine, après un examen très critique de leur état de santé".



Eh oui, c'est Adolf Hitler, le 1er septembre 1939.



Sans commentaire.
jofpatty
2008-03-20 07:39:05 UTC
oui, on ne laisse pas souffrir un animal quel que soit

alors pourquoi l'être humain doit souffrir .

Et de plus sa santé s'aggravait de jour en jour ,dans quel souffrance !!!!!



il n'y existait aucun remède miracle pour sa maladie
Christine h
2008-03-20 07:22:19 UTC
bien sur que oui en France comme en Belgique ou en suisse, on doit pouvoir mourir dignement, si une personne morale le veut!! et le désire, si la médecine ne peut plus rien séraphin le corps médical doit avoir un droit de regard. c'est inadmissible qu'on laisse " se suicider" un cas comme celui de chantal.. fesons évoluer les choses, il faut qu'un vrai débat ai lieu.
isabelle d
2008-03-20 07:19:09 UTC
Je suis pour l'euthanasie.Toutes ces personnes qui souffrent terriblements ont le droit de vouloir nous quitter.Ne pas accepter de mettre fin a leur jours,leur souffrance est encore plus douloureuse.Les lois font que nous ne sommes pas complètement libres.l'homme a une façon de diriger le monde qui n'est pas extraordinaire.Si cette façon de gèrer le monde était différente, il y aurait sans doute moins de souffrances.Il faudrait un miracle pour que cela change.
DEEP
2008-03-20 06:56:06 UTC
Tout d'abord je trouve regrettable qu'un tel débat, qui pose des questions fondamentales et existentielles, s'engage dans un contexte où l'émotion, suscitée par un cas particulier particulièrement douloureux, ne permet pas de l'aborder avec le recul et la sérénité nécessaire.



Mais la question est posée.



Je suis entièrement d'accord avec ceux qui proclament le droit à mourir dans la dignité ; encore faiut il s'entendre par ce que l'on entend par cette formule.



Je considère que le choix du moment du passage de notre vie terrestre à la mort, je dirai de préférence à la vie éternelle, ne nous appartient pas, comme ne nous a pas appartenu le choix de notre venue en ce monde et qu'il n'appartient à ceux qui ont donné la source de la vie. Il est important, je pense,que l'Homme reconnaisse sa condition d'Homme et qu'il prenne conscience qu'il n'a aucun Droit sur la vie, fut ce la sienne. Il est important que l'Homme sache accepter le temps et qu'il ne cherche à en accélerer le rythme.



A mon sens, mourir dans la dignité, ce n'est pas choisir le moment où l'on va mourir, mais c'est mettre en oeuvre tous les moyens pour que ce "passage" se passe dans les moins mauvaises conditions s'il n'est pas possible que ce soit dans de bonnes conditions.



Je ne suis donc pas favorable à une révision de la loi sur l'euthanasie.



Quant à la notion de cas extrêmes, c'est introduire dans le débat un élément supplémentaire de complication, la définition de cette notion m'apparaissant impossible et en admettant qu'il soit possible de lui donner un contenu, son interprétation ferait l'objet de polémiques.
Sun L
2008-03-20 06:24:06 UTC
il faut autoriser l'euthanasie active si les conditions suivantes sont remplies :

1- un retour a une vie normale/acceptable n'est définitivement pas possible

2- aucun remède n'est efficace dans le temps (calmer la douleur physique sur une periode de temps n'est pas acceptable)

3- le patient subit des souffrances/douleurs intenses

4- le patient ET sa famille proche, est d'accord pour l'euthanasie



/Laurent B, Paris
Georges II
2008-03-20 05:29:34 UTC
La vie est sacrée et est donnée par Dieu. Alors nul n'a le droit de se retirer la vie ou de retirer la vie d'autrui. La loi sur l'euthanasie ne doit pas être changée.
Audrey12345678
2008-03-20 05:28:53 UTC
oui

On peut imaginer un cas extrême lorsque la personne le demande, qu'il n'y a plus d'espoir et que la médecine ne peut plus rien faire mis à part rallonger le temps de douleur ou de mal être.
wormsboufeur
2008-03-20 05:27:47 UTC
C'est une question qui ne devrai même pas avoir à être poser.

malheureusement il y a des idiot qui croit savoir ce que la mort nous réserve ou encore ce que doivent subir ces gens dans des cas terrible comme celui de Mme Sébire.

je pense que, quand on se retrouve dans une situation, terrible ou pas, on change d'avis plusieurs fois et vite.

au début, si ce n'est pas aussi comfortable que notre situation précédente, on trouve ça terrible, et parfois avec le temps on trouve des intérets.

je suis complètement pour une révision de cette loi stupide mais je ne pense pas que l'ont puisse définir un cas "extrême" donc je pense que l'on devrai laisser un mois à une personne qui à demandé l'euthanasie pour changer d'avis. aprés quoi, son choix sera fait.



bonne méditation tout le monde.
Sat I
2008-03-20 05:24:45 UTC
Je réponds parce qu'il y en a ci-dessous qui disent vraiment n'importe quoi ! "Zigouiller son voisin".... pense à lui voler un peu de cerveau ! o_o



L'euthanasie active ne permet pas de tuer quelqu'un qui souffre, elle permet, SI LA PERSONNE LE DEMANDE EXPRESSEMENT ET MAINTIENT SA DEMANDE A PLUSIEURS REPRISES ET JUSQU AU BOUT, de l'aider. Juste l'aider, comme on lui faisant une injection, entourée de sa famille et sans douleur. Cela s'applique aux cas INCURABLES et où la souffrance physique / morale est trop forte et non soulageable.



Quelle hypocrisie ! Ah oui c'est sûr, il vaut mieux que la personne meurt seule (comme Chantal) chez elle, en avalant des médocs au pif, ou bien en se jetant du 8e étage histoire d'aller s'écraser en bas et d'inonder le pavé... C'est bien plus glamour, et personne ne culpabilise, on pourra toujours se dire "cette personna a craqué / elle est faible / la pauvre".



Le droit de vivre. Le droit de mourir.
Ariane 7
2008-03-20 05:22:51 UTC
L'euthanasie est une question grave. Je suis surpris des réponses données sur ce forum comme si l'on parlait du droit au logement ou du droit de l'image et qui proviennent de personnes qui ne semblent pas avoir vécu le problème de prêt.



Il s'agit là de demander au corps médical de vous tuer alors qu'il se bat pour la vie.



Ce qu'il faudrait, ce sont des témoignages de personnes qui on vécu de prêt la fin de vie d'une personne victime d'une maladie sans issue.



Si le malade est entouré, cette décision implique aussi son entourage.



Je n'ai pas réellement de réponse mais suis déçu du dogmatisme qui transpire dans ce débat.
lydia f
2008-03-20 05:18:41 UTC
oui bien sur qu'elle doit etre révisée, quand c'est à la demande de la personne.

Personne et ni l'état n'a le droit de choisir du devenir de chacun.

Je pense qu'il n'y a pas a décider si c'est un cas extrème ou pas. seule la personne malade est en droit d'en décidé
2008-03-20 05:15:55 UTC
Oui je pense que la loi doit être révisé.

un extreme est quand il n' y a vraiment plus rien a faire, surtout quand on est condamne a rester au lit pendant des annees et que c'est le malade qui le demande! Je crois qu'on ne peut pas regarder quelqu'un continuer a souffrire aux fils des annees sans rien pouvoir faire!
jerkilwan
2008-03-20 04:57:47 UTC
Oui oui 1000 fois oui !!! je trouve cela noble de vouloir mourir dans la dignite quand il n'y a plus aucun espoir !!!
sebastien l
2008-03-20 04:19:09 UTC
les gens qui décident des lois ne savent pas toujours la souffrance que subie une personne malade ainsi que tout son entourage (médecin, famille, amis ) .alors laissez les décider de mourir en paix. Il faut comprendre que c'est une délivrance des deux cotes des choses .
akagahraissa2005
2008-03-20 16:31:48 UTC
J'approuve la révision de cette loi.Certaines personnes souffrent tellement qu'il est préférable d'avoir recours à l'euthanasie.Les médecins ne sont que de grands connards car ils sont là juste pour vous annoncer votre mal et vous voir partir à petit feu et dans une extreme souffrance.Il est grand temps que la justice intervienne dans ce domaine.Il n'est pas plaisant de voir un etre cher malade et qui souffre pleinemen vivant.Il est préférable de respecter la volonté du malade au lieu de suivre une loi conne.Personne n'est à sa place pour ne serait-ce partager son mal.Après tout,les lois sont faites pour etre violées.
2008-03-20 11:52:59 UTC
Bien évidemment, la loi doit permettre comme dans d'autres pays l'accompagnement d'une "fin de vie choisie".

Ne pas l'autoriser serait inhumain !
zouloup
2008-03-20 10:58:54 UTC
OUI.

Je suis révoltée. Il faut en finir avec le dictat religieux qui impose à tous - même aux non croyants - leurs choix religieux.

Le choix de notre mort doit être un choix personnel. Le caractère "extrême" des cas est une question d'appréciation individuelle.

C'est une liberté que nous devons conquérir comme le droit à la contraception et à l'avortement.
christvalli
2008-03-20 09:57:09 UTC
oui sans aucun doute pourquoi laisser souffrir des personnes qui sont en fin de vie ou plus rien est a faire pour eux le contraire c'est les torturer et injuste. la souffrance philologique est pire !!!!
SAMAMAMOU
2008-03-20 09:41:32 UTC
Nul n'est sensé supporté plus qu'il peut, la séparation est difficile, mais il faudrait faciliter ce départ pour quitter ce monde dignement. Aidons les à partir dignement!
Une fille
2008-03-20 08:57:08 UTC
Biensur qu'elle doit être révisée ! ! Le problème est qu'on a le droit de donner la vie mais pas la mort, quelle honte ! ! Et définir un cas extrême c'est tout simplement des personnes qui souffrent le martyr et que meme les médicaments n'appaisent pas la souffrance. Les politiques préfèrent laisser les gens souffrir et agonir que de les laisser partir en paix. Et après qu'on dise que ce n'est pas simple, que ca ne fait pas comme ca, qu'il y aura des abus, mais dans toutes les lois il y a des abus ! Vive la France ! Vive le pays de la tolérance, de la fraternité.... Laisser moi rire.....
Emeline L
2008-03-20 07:44:23 UTC
oui je pense que cette loi doit être reviser. on ne peut regarder souffrir quelqu'un qui est condamné et dont la douleur ne peut être apaisée que par des traitements lourds et parfois inutiles.
cococa342000
2008-03-20 06:14:11 UTC
Je pense que OUI ! l'euthanasie n'est pas un mot aussi lourd lorsque l'on souffre terriblement et que l'on est condamné à mourir !

Pourquoi ne pourrait on pas choisir de mourir quand on veut sans être obligé de prendre l'option du suicide.

Si j'avais une maladie incurable et dégradante je pense que je préférerai mourir plutôt que de souffrir et voir mon entourage souffrir aussi pour moi.

On le voit bien quand c'est un cas extrême !!! Que ce soit cette pauvre femme ou bien le jeune à l'hôpital, on ne peut pas dire que c'était pas un cas extrême, c'est bien eux qui ont demandé à mourir! Ils ont le droit de choisir. Enfin c'est ce que je pense très fort.

Maintenant, il faut laisser cette pauvre femme, qui est morte, tranquille et laisser aussi sa famille qui ont souffert pour elle.
virginie.franois
2008-03-20 06:02:38 UTC
l'euthanasie devrait être légalisée c'est inhumain de laisser une personne souffrir de la sorte elle est consciente et voit ses proches souffrir autant qu'elle, la mort peut être une délivrance, cela doit bien évidement être la décision du patient lorsqu'il est encore conscient ou de sa famille selon sa volonté et en aucun cas la décision d'un quelconque médecin.
2008-03-20 05:59:01 UTC
Je viens de prendre ma maman d'une septicémie foudroyante : elle n'a pas eu le temps de souffrir et mon papy, qu'ils sont obligés d'amputé d'une jambe, qui ne mange plus et bien oui je suis pour l'euthanasie car prendre les siens cela fait mal mais le voir souffrir et ne plus pouvoir rien faire c'est affreux et invivable .
evelyne c
2008-03-20 05:42:36 UTC
oui, je pense que losqu'il n'y a rien plus rien à faire, on devrait nous laisser mourrir dans la dignité.
GUN50
2008-03-20 05:39:46 UTC
oui, comme dans d'autres pays européens avec un contrôle d'une commission désigné à cet effet.

Il est clair qu'il est inhumain de faire souffrir des personnes dites incurables sous le couvert d'une loi (c'est en quelque sorte de l'hypocrisie de faire référence à une loi, et d'être moralement droit dans "ses bottes").
gigi91
2008-03-20 05:35:32 UTC
Bien sûr que cette loi doit être révisée et très en détail:donner les cas exacts qui seront dans la légalité après étude du dossier auprès d'une commission médicale d'urgence.

Mais il ne faut pas oublier aussi les cas auxquels on a pas pensé (parce que c'est impossible de prévoir tous les cas) mais s'il y a la possibilité de faire examiner rapidement au cas par cas, je crois qu'on aura réglé ce problème et EVITERA TOUT ABUS et aussi LES SUICIDES DESESPERES.
2008-03-20 05:34:03 UTC
Dans les cas extrèmes et à la demande du malade et de l'acceptation la famille je suis pour l'Euthanasie. L'interruption de la souffrance doit être reconnue et accepter par tout le corp médical et le gouvernement, sans pour autant donner libre court aux médecins de faire n'importe quoi à n'importe qui et n'importe comment et n'importe quel moment. Et que ce geste doit être étudier par le gouvernement et lui seul et qui jugera de donner son accord pour agir.
Daveau S
2008-03-20 05:32:33 UTC
Oui absolument. La possibilité de mourir dignement doit faire partie des priorités d une société civilisée. Les progrès de la sciences entraînent des changements radicaux. Nous avons maintenant le pouvoir de maintenir des gens en vie artificiellement. Quand une personne exprime un désir conscient de "partir", ou sa famille si la personne ne peut plus l exprimer elle même, le crime est de ne pas respecter leur parole. Des mesures doivent être prises très rapidement pour réduire les souffrances et le débat doit être mené activement et sans tabou. Oui la loi d euthanasie doit être révisée pour les cas "extrêmes" et peut être même les autres.
CAJA
2008-03-20 05:24:02 UTC
Bien sûr ta vie t'appartient et tu en fais ce que tu veux. Si tu es atteint d'une maladie incurable, que tu souffres, tu as le droit de choisir à condition d'être sain d'esprit.
PHILIPPE
2008-03-20 05:22:29 UTC
oui, oui, oui

nous devons avoir ce droit de mourir dignement, si la douleur physique ou psychologique est trop forte.

Un cas extrême doit être examiné par un haut comité qui valide le choix du patient et son l'incurabilité.



Oui pour le respect des personnes

Oui pour une réforme courageuse, laïque

Oui pour que cesse l'hypocrisie
Ange
2008-03-20 05:08:08 UTC
Je pense que chacun devrait libre de choisir de son sort. Tout simplement. Le libre-arbitre.
AudaliciOus
2008-03-20 05:05:04 UTC
Je pense qu'il faut accorder le droit de mourir aux souffrants qui le demandent. Je suis contre le suicide, le manque de dignité. Alors laissez la dignité aux malades et aider les à mourrir s'ils vous le demandent, ça évitera qu'ils perdent leur dignité ou qu'ils fuient dans un autre pays qui n'est pas le leur pour mourir.
manu75015
2008-03-20 05:01:59 UTC
Non.

l'homme et la société définiraient ainsi les nouvelles limites de la vie. L'exemple de Mme Soubire est certes très difficile mais la dignité de la personne n'est-elle pas plutôt dans son droit à être malade dignement? La maladie dans sa forme la plus dure ne sera jamais en effet éradiquée de la vie de l'homme..
2008-03-20 13:28:35 UTC
Pourquoi être révisée ? Pourquoi laisser souffrir quelqu'un dans des douleurs épouvantables, quand tout le corps médical sait qu'il n'y a rien à faire, et que le malade demande une fin honorable. Pense t on également à la souffrance morale de la famille ?

C'est inhumain !! C'est une cruauté au même titre que la torture ? non ?



En fait en France il vaut mieux être un chien ou un chat au moins le vétérinaire agit pour le bien de nos petites bêtes
briska
2008-03-20 11:27:39 UTC
j'ai travaillé au sein du service de pneumologie où la souffrance en fin de vie est insuportable pour les familles et les équipes soignantes, alors oui il faut absolument réviser cette loi, la morphine n'empêche pas toutes les souffrances, en pneumo les gens partent en s'étouffant, en faisant des pauses respiratoires,et on laisse faire, c'est intolérable, sachez que des équipes soignantes se battent pour que celà cesse, mais en vain!! où est le respect, la dignité de la personne, et la famille qui souffre également.

Il faut que CELA CESSE!!! plus d'acharnement thérapeutique!! cette loi doit être remaniée!!
grisou63
2008-03-20 10:51:58 UTC
oui et oui,la loi sur cette euthanasie doit être révisée le plus vite possible

car le cas de cette dame et une honte pour la France qui ce dit supérieure de ces voisins (Belgique,suisse) arrêtons de faire la morale aux autres

messieurs les politiques a vos crayons nous vous payons (grassement) pour cela
Guilhem
2008-03-20 08:15:26 UTC
Je trouve ahurissant la réaction stérile et bornée de nos élus. Supposés représenter le peuple, ils s'opposent aujourd'hui à l'avis de la population française majoritairement favorable à une euthanasie légalisée pour les personnes condamnées et en souffrance ultime. Nous avons la dignité du respect de la souffrance de nos animaux mais pas de celle notre propore famille !



Encore une fois la France s'illustre par son incapacité à pouvoir évoluer culturellement et socialement, c'est vraiment regrettable. D'autres pays ont su adapter leur législation pour légaliser l'euthanasie pour les cas extrêmes, et ce de manière juste et très bien encadrée, afin de définir sagement ces cas "extrêmes". Tâchons que nos élus puissent réagir enfin inteligemment face à cette problématique en s'inspirant largement de nos pays voisins comme la Suisse ou la Belgique.
Claudine F
2008-03-20 07:50:28 UTC
Oui, elle devrait être changée.Comme Chantal SEBIRE, des personnes souffrent et la médecine est trop souvent impuissante face à la maladie.

On ne doit pas laisser mourir une personne dans d'atroces souffrances lorsque l'on sait qu'il n'y a plus rien à faire. Les soins palliatifs, à la longue ne servent plus à rien. J'ai travaillé plus de 30 ans dans un hôpital, j'ai vu des gens souffrir, mourir . Ma tante, un cancer généralisé, un ami, un cancer des os. J'entends encore leurs cris de souffrance OUI, il faut laisser MOURIR les gens DANS LA DIGNITÉ
Majid A
2008-03-20 06:29:49 UTC
A mon avis, il faut tjr donner une chance pour la vie, ce qui est incurable aujourd'hui pourrait être une banalité en médecine de demain . En science rien n'est impossible. Dieu a crée le monde ainsi
sz74fr
2008-03-20 06:26:33 UTC
Pour un pays qui se dit civilisé comme la France, je trouve vraiment dommage que des gens soient forcés de partir à l'étranger pour pouvoir mettre fin à leurs douleurs... Bien sûr il doit y avoir des gardes-fous mais il serait aberrant que la "morale" de certains empêche des avancées dans ce domaine. J'espère vraiment que le cas de Chantal Sébire va faire avancer les choses. En ce qui me concerne, je considère comme cas extrème une personne qui souffre tellement qu'elle ne peut plus rien faire ni être soulagée et qui n'a aucun espoir d'amélioration.
lolo28
2008-03-20 06:13:59 UTC
Il est clair que cette loi doit être révisée ; qui peut comprendre la souffrance d'une personne qui subit au quotidien les mutilations de son corps . Les cas extrêmes sont très aisés à recenser !! Nous savons que des maladies sont incurables et le resteront. Bien sûr qu'une personne atteinte d'une maladie incurable ne doit pas être euthanasiées dés le diagnostique trouvé, mais il y a un moment ou l'évolution de celle ci doit être solutionnée radicalement , si c'est le souhait de la personne ou voir même de la famille , si la personne atteinte n'a plus les facultés pour le demander. Je crois et par expérience personnelle qu'il n'y a pas pire pour un compagnon, des enfants , des frères , des soeurs de voir une personne que l'on aime devenir impotente, assistée par appareillage ou médicament pour continuer à vivre. enfin , je pense que chacun est libre de disposer de sa vie comme il l'entend !!
dupont v
2008-03-20 06:06:40 UTC
Oui, il faut établir l'euthanasie.

Comment peut on laisser agoniser des gens qui souffrent déjà de la maladie, c'est inhumain.

Les malades ne vivent déjà pas bien, il y a la souffrance physique, certes mais aussi morale. Ce quotidien est terrible.

Mon frère se bat contre un cancer depuis 9 ans, il a subit multiples interventions, examens, chimios... et j'en passe sans parler du peu de tact que certains médecins ont.

C'est insoutenabled e se sentir impuissant face à cette maladie, de ne pas pouvoir aider son proche que l'on aime et en plus se dire qu'il souffrira probablement dans ses derniers instants de vie (tout en espérant qu'il guérisse bien sûr)

Pourquoi ne pas redonner un peu de dignité à ces personnes qui le demandent et on déjà tellement de courage de subir tout ça.
lys
2008-03-20 06:01:48 UTC
stop à l'hypocrisie, il y a des situations où ce n'est plus vivre. Prenons exemple sur la Belgique et la Suisse, dans ces pays cela n'a pas fait exploser le nombre de demandes. Chaque être conscient, médicalement condamné, doit être libre de choisir sa fin ; un suicide "raté" n'est il pas pire par les conséquences possibles...
Genette G
2008-03-20 05:55:38 UTC
la personne qui a aider cette dame a en termine de ca souffrance a bien fait je pense tout en rendant hommage a cette dame et sa famille
delf
2008-03-20 05:54:33 UTC
oui...nuls doutes à cela...les cas extrêmes sont pour moi, les incurables...ceux qui non seulement aboutissent à la mort mais qui s'accompagnent en plus d'attroces souffrances physiques et mentales....quand nos propres médecins ne peuvent plus rien y faire, quand le patient lui même, en tout état de conscience le demande et tout cela pour pouvoir partir dignement, je ne vois vraiment pas ce qui pose à réfléchir....une euthanasie sur une personne dans le comas peut être jugée comme anormale et peut entrainer des abbus mais dans un cas de conscience non !!!! oui il faut faire du cas par cas mais arrêtons de nous voiler la face.....si c'était un de vos proches , un de vos enfants, vous même ou votre conjoint, vous accepteriez de devoir subir d'attroces souffrances et de vous voir mourir ou souhaiteriez vous finir votre vie dignement ? moi, je veux mourir dignement et avoir le droit de disposer de choix quant à ma mort si je souffre d'une maladie incurable.....
Caroli
2008-03-20 05:46:48 UTC
Mettez vous à la place du pauvre médecin qui devra euthanasier la personne. Voudriez-vous faire cela, qu'on vous impose de le faire au nom de la loi? Malgré la souffrance et la détresse de la personne, dormiriez vous bien après avoir provoqué la mort d'une autre personne? Vous rendez-vous compte des difficultés psychiques du corps médical face à ce genre de dilemne...?

Je crois que si une telle loi devait être votée, elle devrait aussi prévoir que le médecin puisse refuser de provoquer lui-même l'euthanasie et déléguer à un collègue ce genre de travail si lui-même accepte. Il n'y a pas qu'un être humain dans cette histoire, il y en a au moins deux...
2008-03-20 05:46:10 UTC
je suis, pour ma part, totalement pour le recours à l'euthanasie quand la personne le demande. Qui a t-il de pire que de voir un etre cher souffrir? La souffrance est parfois inimaginable que ce soit pour la personne concernée ou pour les proches. Je ne suis cependant pas étonné de la décison judiciaire qui , une nouvelle fois, va à l'inverse de l'évolution des moeurs. Je pense ici que la justice est entièrement responsable de ce qui est arrivé à cette pauvre dame qui demandait simplement le droit de mourir sans soufrir, est-ce donc la un tel "privilège" pour ne pas être reconnu comme ce qui devrait être un droit fondamental ayant une valeur constitutionnel. En plus, il est possible que ce soit la famille et non du personnel médical qui mette fin à la vie comme c'est déjà le cas dans l'Etat de l'Oregon aux Etats-Unis.
Tya
2008-03-20 05:33:56 UTC
Je pense en effet que la loi devrait permettre aux personnes jugées saines d'esprit de décider de mourir dans les cas où elles sont atteintes de maladie incurable ou dans un état physique tel qu'elles ne pourront définitivement plus revenir à une vie "normale".
sara d
2008-03-20 05:13:26 UTC
C'EST UNE HONTE D ETRE FRANCAIS, PAYS DES DROITS DE L HOMME ET LAIQUE ? Et c'est une bigotte qui donne son avis sur la question ? Il suffit de prendre exemple sur nos voisins, cela fonctionne très bien chez eux alors qu'attendent-ils au gouvernement?
2008-03-20 05:01:53 UTC
Oui, il y a des cas extrêmes pour lesquels il n'y a plus d'espoir, seulement des souffrances.

Dans ces cas là, les personnes devraient pouvoir choisir le moment de leur départ, et que cela se fasse dignement.

Nous accordons à nos chers animaux de compagnie l'euthanasie pour épargner leurs souffrances.....

Ne sommes nous pas des êtres humains avant tout ? C'est justement cette humanité que nous nous proposons de pratiquer sur nos animaux dont nous devrions pouvoir profiter.

La medecine doit soulager les gens, mais la medecine a ses limites, et ça nous le savons tous.

Je souhaite vivement que cette loi soit modifiée, et qu'elle apporte soulagement, comme en Suisse, en Belgique.
Nellie C
2008-03-20 04:57:53 UTC
oui elle doit etre révisée.

le cas "extreme" : le décès à coup sûr dans l'année. quand tous les soins ont été essayés et que rien ne marche.
Vanessa G
2008-03-20 04:56:35 UTC
Pour un pays de liberté et des droits de l'homme... La question ne devrait pas se poser !!

OUI, la loi doit être changer pour les cas extrêmes comme les personnes paraplégiques, ceux atteints de maladie incurable (et ,ou) irréversible, qui sont condamnés de toute façon.... Oui, si ses personnes souhaitent partir au lieu de souffrir, ne pas avoir une belle vie, donnons leur une belle mort.. Tout dans le respect de leur choix, dans la dignité..

Ne pas les laisser nourrir seul comme Chantal Sébire

Ne pas les laisser souffrir d'avantage

Extrêmes : Accident ou maladie incurable et irréversible
NAD
2008-03-20 04:43:31 UTC
OUI ! Il faut se concerter....Bien mesurer la loi afin de permettre à des gens murs et conscient d'avoir le droit de partir appaisés...Certes, les "abus " nous dirra t on ? mais justement, légiférer incombe à une commission de personnes compétentes, pouvant délimiter précisémment les cas de figures autorisés...Mais il est temps d'y penser



c'est se voiler la face que de l'interdire ici et voir les gens aller demander la mort loin de leurs pays et de leurs proches....!
olivier
2008-03-20 16:02:50 UTC
OUI réviser la loi est une nécéssité. Avoir le choix de mourir dans la dignité lorsque l'on est atteind d'une maladie incurable, quand la douleur et la souffrance sont votre quotidien, quand votre corps enferme votre esprit (avc:locked syndrome), oui cela est une nécessité de conserver le choix de son devenir. C'est une question de liberté mais aussi de justice. Laisser comme seule possiblité le suicide; lorsque cela est encore physiquement possible; ne paraît pas une idée très humaniste. Bravo à la maman de Vincent, à Chantal et à tout les autres pour cette force et ce courage qui font avancer les choses.
porcitoune
2008-03-20 14:15:54 UTC
La question est très difficile puisque les gens ne sont pas égaux face à la douleur. La vraie question doit-elle se placer au niveau de la douleur ou de la mort en elle même? Douleur physique ou psychologique, on comprend aisément qu'une personne puisse en venir à ne plus vouloir vivre. Mais où sera la limite? Si on accepte aujourd'hui qu'une personne puisse choisir le moment de sa mort, qui nous dit que demain ce ne sera pas son tuteur qui aura ce droit car la personne n'a plus toute sa raison ou encore qu'un prisonnier pour échapper à la folie de l'emprisonnement n'aura pas ce droit lui aussi.



Je pense qu'il est normal qu'une personne malade puisse demander à ne pas se faire réanimer en cas de problème mais je ne suis pas sûr de la vérité profonde que certains trouvent dans cette mort programmée.



Je suis tout comme vous atteint de cette maladie incurable qu'est la vie d'un Homme. Elle est incurable car elle nous pousse à des réflexions sur nous-mêmes et chacune de ces réflexions en amènera d'autres. Profitons de la vie pour partager nos idées afin de trouver notre réponse.



Je n'ai pas la prétention de donner LA réponse, pas même UNE réponse mais juste un cheminement, le mien.

porcitoune.
vitae
2008-03-20 14:11:20 UTC
Selon vous, quel est l'homme politique qui a écrit la phrase ci-dessous et croyez-vous qu'il s'agit d'un extrait de la prochaine loi d'exception d'euthanasie (ou d'Assistance médicale à la mort délibérée) ?



Les autorités médicales...

..."sont chargés, sous leur responsabilité, d’élargir les compétences des médecins qu’il conviendra de désigner nommément, afin qu’il puisse être accordée une mort charitable aux malades jugés incurables à vue humaine, après un examen très critique de leur état de santé"



Allez voir dans http://www.lesalonbeige.blogs.com/ ... la réponse cela vous surprendra et vous fera peur.
2008-03-20 14:09:08 UTC
Je pense que l'euthanasie doit etre appliqué que dans des cas extreme , comme par exemple , CANCER, qui est dans la majeur partie incurable, car sinon il y aurait trop d'abus.Plusieurs cas de cancers sont tres douloureux malgré la morphine, et pour en finir , vaudrait mieux partir dans la dignité.
caroline d
2008-03-20 13:51:50 UTC
evidemment qu elle doit etre revisée, sans tomber bien evidemment dans l'abus.

Cela doit etre possible si ce souhait est reelemen voulu et qu'il n'y a pas de solutions dite medicales, dans les situations qui sont palliatives.

Je travail e cancerologie et voir des patient attendant la mort pour les soulager est innamissble
2008-03-20 12:50:17 UTC
Oui il est grand temps de laisser les gens choisir... ne pas provoquer un coma qui coute tres cher je croyais que la caisse primaire d'assurance maladie etait en déficit, un coma qui couterait un prix fou et qui ferait souffrir toute une famille mais à qui pense t'on ? laissez un peu de liberté et laissez les gens mourir dans la dignité...
lafeuilladediane
2008-03-20 09:32:22 UTC
oui quand la personne qui a visage pareil si la personne est consciente et ne veut plus vivre on doit respecter ce choix.Ou comme une personne qui se retrouve paralysée en etat de legume et demande de ne plus vivre ça se respecte le choix de la personne ce n'est pas une vie d'etre un légume,de se sentir un fardeau
cedric h
2008-03-20 08:47:09 UTC
Une fois de plus l'etat Français n'assume pas, de nombreux pays ont déjà répondu oui à l'euthanasie controlée.

Certaines personnes sont obligées d'aller dans ces pays pour être enfin soulagé leurs douleurs.

La vie n'appartient cas la personne qui l'a, pourquoi ne peut-elle pas choisir le droit de mourrir?

Les équipes médicales connaissent bien le problème, et cela est déjà pratiqué lors de la fin de vie d'un patience qui est sur le point de mourrir.

Pourquoi ont-il le droit dans ce cas?

La realitée est tout autre, notre president a sa propose conception du droit de vie ou de mort.

Pourquoi ne pas engager une grande consultation au prés des Français, cela pourrait lui permettre de suivre la majorité des français pour une fois et ainsi être pour une fois a l'écoute du peuple
isalo
2008-03-20 05:59:53 UTC
oui



Un cas extrême est, comme Chantal Sebire, un malade atteint d'un mal incurable et condamné à des souffrances atroces que la morphine ne soulage même pas. Il y a 20 ans j'ai perdu mon mari d'un "cortico-surrénalome" à 33 ans après 8 mois de souffrances intolérables, 5 à 6 opérations, de nombreuses semaines de chimiothérapie que je qualifierais d'acharnement thérapeutique (c'était un grand sportif de 1.85 m qui ne pesait plus que 42 Kg !!!....)

Insupportable, inhumain pour la personne et pour l'entourage proche quand on sait la fin inéluctable !!!..
2008-03-20 05:55:00 UTC
"pour" bien sur et il faut arréter de se retrancher derrière la loi qui une fois de plus nous montre qu'elle est obsolète dans le monde actuel.

Ces gens souffrent de maux incurables je pense qu'il n'est pas nécessaire de se poser d'avantages de questions, laissons les prendre leur décision qui ne sont certainement pas des plus simples!!! Ne leurs compliquons pas la vie en prime....
jeje _doudou
2008-03-20 05:46:36 UTC
je souhaite que les hommes politiques qui refusent l'euthanasie aient les mêmes maladies/cancers que les personnes qui veulent mourir, ils changeront d'avis. Comme dans tous les domaines, la france est en retard sur le sujet, il n'y a qu'a voir nos compatriotes Suisse, ça existe depuis longtemps, et c'est humain. Abrégé les souffrances l'une personne qui le souhaite, c'est humain et normal. Laisser ces personnes en vie pour qu'elles souffrent : ça c'est inhumain. Quel scandale, il en faudra combien des affaires avant que la france bouge ? ça fait le 2e qui passe au tribunal et qu'on refuse. Bougez vous bordel.
NADEGE A
2008-03-20 05:46:23 UTC
oui elle doit l'être. Ta vie t'appartient et il n'est pas normal que l'on laisse souffrir les gens, souvent dans des conditions atroces !

Il est sur qu'il faut un encadrement juridique très stricte mais il faut laisser la possibilité aux personnes qui le souhaitent de mourir dans la dignité
domage
2008-03-20 05:23:48 UTC
un référendum sur le sujet ferait peur aux politique ! ! ! ! source de l'ADMD ( Aide Droit Mourrir Dignement ) d'ailleurs je vous invite à aller sur leur site pour signer la pétition. 80% de la population pense de la même manière sur ce sujet et sont pour l'euthanasie, quand la personne et la famille sont d'accord ou est le problème, sauf de vieilles croyances judéo-chrétienne complètement dépassées
ROZ€
2008-03-20 05:23:20 UTC
je suis pour l euthanasie Cette femme en a fait la demande et l on voyait sa souffrance A sa place j aurai fait pareil ou partir dans un pays tolerant
christelle b
2008-03-20 05:23:10 UTC
je pense effectivement que cette loi dot être révisée. Comment peut on laisser des gens avec leur souffrance morale et physique. Les personnes qui demandent l'euthanasie ce sont des personnes qui se savent condamnées. on soulage la douleur pourquoi ne pas soulagée le départ vers la mort.

Il faudrait qu'une commission indépendante de grands médecins soit nommée par d'autres médecins et par le ministre de la santé .Qu' une commission d'enquête soit aussi nommée pour surveiller les abus ou mauvaises décisions. Qu'il y est la création d'un centre médical unique pour accueillir les malades qui auront eu leur demande validée par la commission . Un lieu où l'on accompagnera ces personnes vers la mort en douceur en respectant leures dernières volontés. Comment définir un cas extrême, je crois que les médecins sont les mieux placés pour le savoir mais ce qui est certain c'est qu' être atteint d'une maladie incurable causant difformités et souffrances insupportables, qui vous conduit droit à la mort avec lenteur peut être considéré un cas extrême.
Jean-François H
2008-03-20 05:16:57 UTC
Bonjour,



La Loi est incapable de définir le niveau de souffrance d'un individu on l'a bien compris après l'intervention de Madame Boutin concernant le cas de madame Chantal Sebire.

Le patient seul connait l'importance de sa douleur et de sa souffrance .. et les variations individuelles dans ce domaine sont très grandes... Nous n'avons pas tous les mêmes moyens de défenses ni physiologiques ni psychiques dans ce domaine.. Que le législateur se mêle donc de ce qu'il est capable de définir . Pour ces raisons il est impossible de féfnir les cas extrêmes et donc de faire une Loi les concernant... le cas extrême étant défini par le dépassement des limites tolérables pur une personne donnée et seulle cette personne est en mesure de les apprécier...



Le seul obstacle "moral" a cette attitude serait de favoriser le suicide de patients en fait momentanément dépressif et donc susceptibles de changer d'avis aprèsb traitement de la dépression... on peut répondr à cela que chacun doit être aidé en conservant la maîtrise de son destin.

L'autre risque est de faire disparaître des gens qui ne l'auraient pas vraiment décidé eux-mêmes sur incitation de proches bien ou mal intentionnés .. c'est le seul créneau dans lequel le légisalateur peu se glisser sans abuser se ses prérogatives



Enfin il y a une grande hypocrisie dans la définition de l'euthanasie "passive" le passage à un mode"actif" se faisant assez naturellement selon une limite des plus floues





Il faut donc réformer la Loi sur l'euthanasie en la libéralisant sans tomber dans la banalisation et sans judiciarisation du problème... Bon courage



JFH
2008-03-20 05:13:56 UTC
Le simple bon sens peut définir un cas extrème .

Il faut être aveugle pour ne pas levoir quand il est la .
Ewa Oblonski
2008-03-20 05:11:13 UTC
on ne peut pas definir de cas extréme!!!

tous les cas pour lesquels on propose l'euthanasie sont extrémes!!!

soit on revise la loi soit on ne change rien!!!

il n'existe pas de demi mesure!!!
Maala
2008-03-20 05:08:16 UTC
Il est plus qu'urgent d'arrêter l'hypocrisie. Depuis des années des médecins, plus humanitaires que d'autres, procèdent à l'euthanasie dans les cas extrêmes, pour arrêter les souffrances atroces que subissent les humains. Il faut légiférer pour protéger ce geste vis à vis de la loi. Pitié pour nos proches qui partent dans la douleur! Nous devons rester libres de choisir, même pour mourir.
christina sareyane
2008-03-20 04:57:11 UTC
je suis tiute a fait d'accord pour la loi soit reviser pour l'euthanasie



mais il faut des conditions comme quoi la personne a toute sa tête ,et que c'est pas la famille qui la manipule pour sans débarasser et trouvant comme preteste que la personne est en fin de vie.



comme en suisse qui eux permet l'euthanasie si la personne est consience ,.
Yo
2008-03-20 16:33:34 UTC
Il est inimaginable, même ignoble, que l'on puisse s'arroger le droit d'infliger une "peine de souffrance à vie" à une personne. Vous qui avez obligé Madame Sébire à mourir dans la solitude, espérez qu'aucun proche ou vous-mêmes ne soyez un jour confrontés à une telle situation.

Que l'on souhaite légiférer pour éviter les dérives, soit.

Mais ne pourrait-on tout simplement faire montre de compréhension et d'humanité en permettant à une personne en souffrance de partir lorsque la vie lui devient intolérable ?

Quant à l'annonce d'une éventuelle autopsie du corps déjà tant torturé de Madame Sébire, mon coeur se soulève face à une telle ignominie. Ne peut-on lui accorder dans la mort la dignité que l'on n'a pas su lui conférer de son vivant ?

Ne peut-on laisser ses proches la pleurer sans faire peser sur eux le poids de la suspicion ?

Mesdames et Messieurs les "décideurs", entendez-nous et agissez !!!!
djoser_69
2008-03-20 15:39:28 UTC
La loi Léonetti est d'une cruauté et d'une hypocrisie sans bornes. De plus, elle n'apporte rien de nouveau, ma grand-mère (sur son souhait) est morte de cette façon, et je remercie mes parents de m'avoir tenue à l'écart durant sa lente agonie.



Comment peut-on affirmer que l'on ne souffre pas une fois dans le coma ou endormi ? Qui est revenu de la mort pour pouvoir témoigner de ce qu'il a enduré ou pas dans cette situation?



Ma vie m'appartient, pourquoi des personnes, même médecins, même bien intentionnés, auraient-ils le droit de m'imposer leur morale et leurs choix ?



Non seulement cette loi doit-être révisée, mais je pense que le droit à l'euthanasie active devrait être inscrit dans les droits de l'homme.
yao420
2008-03-20 14:27:16 UTC
Telle est la question.... on est pour l'euthanasie comme on est contre la peine de mort...bizarre....la mort est une affaire personnelle qui ne doit pas être traitée par les médias, car qui peut décider du sort ultime des autres ou de soi-même, où mettre la barre entre le supportable et l'insupportable, un cas extrême, c'est quoi? Cette femme était et restera belle aux et dans les yeux de ses enfants.

La société se soucie peu des SDF sauf par médias interposées (tant mieux et merci aux Enfoirés) mais tout ceci me paraît très hypocrite. Aha mon dieu, c'est horrible!!!!!!!!!!!
jean-michel
2008-03-20 12:56:01 UTC
je n'arrive pas à m'imaginer qu'il faille une permission quelconque pour m'aider à en finir si tel est mon choix .

le suicide est-il interdit ?

le suicide accompagné serait punissable ( quand il est demander dans les formes nécessaires d'éthique ) !

qui donc seriez-vous donc pour m'interdire ce qu'il me plaît de faire de ma vie ?

faudra-t-il que je vous mette dans une situation de légitime défense pour vous acculer à abonder dans mes choix?

le pire , c'est que dans l'hémiscicle des éternels abscents ,seuls 2 ministres ont osé prendre position ,

le reste préfère voter des lois scélérates pour vous pomper le pognons avec vos bagnoles .

et ils continuent à avoir bonne conscience...

merci à mme sévire et aux autres dont j'ai oublié le nom pour leur combat
vanessouille
2008-03-20 12:39:34 UTC
je suis contre l'euthanasie, imaginez si on autorise cette pratique combien va t-il avoir d'abus, le nombre de meurtre caché par l'euthanasie. si on libéralise l'euthanasie c'est comme si on acceptait la peine de mort, tout le monde peut profiter de cette situation. comment définir un cas extrêmes? : c'est une question où chacun à un avis bien précis la dessus, un cas extrêmes c'est quand on arrive à l'article de la mort...article de la mort qui veut dire presque mort si on a su souffrir autant et endurer pendant tant de temps cette souffrance, pourquoi se faire euthanasie maintenant? cela est ridicule d'attendre le dernier moment quand on sait qu'on a une maladie incurable.

En revenant a l'abus de cette loi, je tiens a dire que l'homme est capable des pires choses comme le crime contre l'humanité alors si il est capable de tant d'horreur ne me dites pas qu'un homme ne pensera jamais à faire passer un meurtre pour une euthanasie. De plus c'est le destin qui a choisi le jour de notre naissance alors pourquoi devons nous choisir le jour de notre mort
pierre-yves v
2008-03-20 11:25:12 UTC
Pour moi aujourd'hui je trouve que la loi devrait être retire car c'est notre Corp notre vie et on est libre de faire ce que l'on veut en cas extrême. Pour moi je suis presque sur que l'on refuse l'euthanasie car pour moi quand on sait qu'une personne est en phase terminal j'en suis sur que l'on fait des tests en quelques nous sommes des cobayes
daphn頨
2008-03-20 08:50:36 UTC
Si la personne souffre et demande qu'on l'aide à mourir, c'est un acte d'humanité de l'aider.



Pour moi le cas extrême serait : lorsqu'une personne saine d'esprit mais qui souffre d'un mal incurable le demande.

Lorsque la personne n'est pas consciente, la ça peut poser des problèmes.



Il faut à tout pris réviser cette loi et autoriser l'euthanasie, sinon les malades en phase finale demanderont cette lourde tache à leur famille ou iront simplement en Hollande ou Belgique.
Seb
2008-03-20 07:22:44 UTC
Chercher dans des ouvrages de déontologie médicales ou d'éthiques et le problème devient bien moins simple, ce ne sont pas des méchants médecins mais juste une question délicate
N.
2008-03-20 07:20:24 UTC
Non, il ne faut pas modifier la loi. Il semble que toutes les pistes d'aide à la douleur & à la souffrance n'aient pas été explorées (il existe des spécialistes pointus en ce domaine -ont-il été consultés ? Quelle a été la pharmacopée utilisée ?)

Mes dix années d'expérience de bénévole en soins palliatifs à l'hopital de Puteaux me permettent d'affirmer que la vraie réponse est celle de l'accompagnement de la douleur physique & morale qui fait que, dans ces services, plus personne ne demande l'euthanasie.
corinne O
2008-03-20 06:04:52 UTC
Pas de loi !!! simplement laisser à chacun le droit de choisir sa mort et laisser le corps médical répondre favorablement à une demande "discrète" de la part du malade. Pas besoin de médiatiser tout ça : juste un malade, une question, un médecin, une réponse rendu possible par un acte de générosité, en toute simplicité et en accord avec le malade.

Qui mieux que le malade peut quantifier la souffrance ?? peut dire que c'est maintenant le moment où il n'en peut plus et qu'il faut que tout s'arrête ???
dj.jano13
2008-03-20 05:58:41 UTC
oui

pour les cas extremes

je trouve que c 'est soulagés une personne qui soufre et je trouve cela encore plus criminel de laisser une personne souffrir avec sa famille(qui souffre aussi)
kresos
2008-03-20 05:48:46 UTC
Si ce principe d'euthanasie sur les personnes dont les jours sont compté était appliqué depuis toujours, il n'y aurait jamais eu de tels progrès dans la médecine comme par exemple la recherche contre le cancer, car avant qu'il n'existe un traitement viable et donc un quelconque espoir de guérison, des dizaine de milliers d'êtres humains son mort dans d'atroces souffrances.

Mais c'est grâce à leurs souffrances, à la ténacité des chercheurs et à la générosité des gens que aujourd'hui il y as de plus en plus d'espoir.

C'est pourquoi je suis contre l'euthanasie.
2008-03-20 05:29:03 UTC
Oui je pense que l'on peut choisir l'euthanasie lorsque la souffrance est trop lourde et si il n'y a plus de choix autre que la mort. L'acharnement thérapeutique est aussi à bannir. Chantal Sébire en est l'exemple type, pas de solution thérapeutique, avec une extrême souffrance physique et psychique. On ne peut se mettre à la place des gens qui souffre de la maladie sans chance de guérison, il faut leur laisser le droit de choisir entre la vie ou la mort. Nous sommes quand même des gens civilisés.
clo
2008-03-20 05:23:22 UTC
Cas extrêmes proposez-vous ? petite comparaison :

l'IVG a été autorisé pour les cas extrêmes, résultat : 200 000 IVG par an sont pratiqués : y a-t-il réellement autant de "cas extrêmes" ??????

Si on autorise l'euthanasie pour les cas particuliers, tous les abus sont permis. Des personnes la demanderont pour de simples dépressions passagères !!!

NON A L'EUTHANASIE quelles que soient les circonstances, progressons sur les soins paliatifs et l'accompagnement plus humain plein d'amour vrai !
Léman Bleu
2008-03-20 05:20:22 UTC
Mais absolument qu'il faudrait permettre aux personnes gravement malades de pouvoir décider de leur mort.

Partir dignement DOIT être un droit absolu quand les souffrances deviennent intolérables et surtout s'il n'y a aucune possibilité de guérison.
Avis perso
2008-03-20 05:14:42 UTC
A mon avis un cas est extreme lorsqu'il revet un caractere incurable: le patient ne peut donc plus etre guéri. D'autre part la sensation d'une douleur dans la maladie est aussi constitutive(mais pas suffisante) de la definition d'un cas extrême. Si ajouté à cela l'on est en face d'un patient qui malgré sa maladie est lucide et conscient et qui demande expressément que l'on abrège ses souffrances, alors je pense que nos députés peuvent sérieusement réfléchir à la question. Mon sentiment est que si les 2 conditions citées ci dessus sont vérifiées et que et le patient et son médecin mais aussi sa famille n' y voient aucun inconvénient, alors pouvons nous satisfaire à la demande du patient.

Merci
Cenehdra
2008-03-20 05:13:49 UTC
Oui cette loi doit être révisée.

POurquoi laisser des gens souffrir, les laisser dans des souffrances atroces alors qu'on sait que la médecine ne peut plus rien pour eux.

Les cas médiatisés de Vincent Humbert et plus récemment de Chantal Sébire illustrent bien cela.

Madame Sébire savait sa maladie incurable, allergique à la morphine et à d'autres médicaments elle vivait dans des souffrances horribles et interminables.

Comment être serein et affronter cette maladie quand on sait qu'on va souffrir encore longtemps comme ça alors qu'on est condamné.

Il faut ouvrir les yeux, arrêter d'être hyppocrite.

Je pense que ceux qui sont contre la révision de cette loi n'ont jamais vu (et heureusement pour eux) des proches lutter contre la douleur et la maladie alors qu'ils se savaient condamnés.

Il faut faire évoluer les mentalités et saluer le courage de Madame Sébire et de ceux qui souffrent dans les mêmes conditions un peu partout.
nigaem
2008-03-20 05:11:08 UTC
oui oui et oui

dans les cas tels que celui de mme sébire et d'autres personnes qui sont atteins de maladies grave... la loi ne devrai pas intervenir...

si ces personnes sont plainement conscientes ou qu'elles ont laissés un mot écrit en disant qu'elles veulent en finir... il y a pas a hésiter... laissons les partir avec encore un peu de dignité!

merci...
2008-03-20 05:10:30 UTC
Évidemment qu'il faut réagir et trouver une fin digne pour les cas extrêmes et incurables, surtout si c'est le malade, en accord avec sa famille, qui le souhaite ; aujourd'hui la médecine peut aisément définir ces situations et les personnes concernées en sont conscientes également !
Franck R
2008-03-20 04:29:44 UTC
La république peut elle tuer ? C'est la vrai question.

On ne reviens pas sur la peine de mort c'est acté - merci Badinter.

Lorsque qu'une république entre en conflit, elle hésite à sacrifier des personnes ("seulement" 4000 morts américains en Irak.

Mais lorsqu'il s'agit pour nos responsables de signer un arrêt de mort, là il n'y a plus personne. A leur corps défendant, il n'est pas simple de signer dans de tel cas, cela fait de vous un meurtrier par procuration.

- L'auriez vous fait pour feu Mme SEBIRE ?

- Le feriez vous pour vos enfants ?

- Accepteriez vous que l'on signe pour vous la mort de votre enfant ?
2008-03-20 12:45:57 UTC
Oui je suis pour l'euthanasie pour la simple et bonne raison,

j'ai ma maman qui est alitée depuis 3 ans en clinique et qui malheureusement ne bouge plus du tout, ne reconnaît plus personne,est complètement atrophiée par les médicaments qui depuis peu coûte à ses 6 enfants plus de 1500€ mois.

Je trouve que sa vie n'a plus aucun sens et coûte également à la Sté, les aides diverses, les pensions etc...

Ceci est un avis que je réitérerais sans gêne.

Cordialement

Totor
Natael
2008-03-20 12:41:52 UTC
Je crois que le plus grand obstacle réside sur la crainte des abus que pourrait offrir une loi qui permettrait l'euthanasie... Le fait que les politiques réchignent à faire évoluer la loi peut sans doute s'expliquer en partie par ce fait, ce qui est, dans un sens, rassurant... Il ne faudrait pas qu'un médecin se débarasse d'un patient qui se serait montré particulièrement contrariant en camouflant son meurtre derrière une imaginaire euthanasie devenue légale... (C'est juste un exemple. Désolé pour les médecins)

Ma position en tant que citoyen, cependant, est que l'on puisse offrir la possibilité, à des gens qui souffrent de façon atroce et sans espoir de guérison, de mettre fin à leurs jours, mais dans des conditions draconniennes de garantie. Présence de témoins, signature, etc...

Je n'ose en aucune façon m'imaginer à la place de cette dame qui vient de mourir avec l'idée de vivre encore de nombreux mois le corps en proie à d'atroces souffrances.
damino911
2008-03-20 12:15:21 UTC
de source sure l'euthanasie ce pratique en milieu hospitalier.

faux débat et foutage de gueule ; pensez vous cher(e) internautes que l'on laisse des patients souffrir sur leur lit alors que l'on sait qu'ils sont condamnés,

je ne pense pas.
pier77s
2008-03-20 11:30:43 UTC
Comme toujours, comme d'habitude en France, les décisions capitales pour nous, êtres humains, sont prises par quelques personnes qui décident sans connaître l'avis des français.

Si pour une fois le président nous gratifiait pour remonter les opinions à son sujet, d'un référendum à ce sujet.

Tous les Français voteraient "OUI". Qui souhaiterai souffrir ?

Il ne faut pas que cette femme si courageuse soit décédée pour rien !
☢Aski☢
2008-03-20 10:25:20 UTC
Oui, il faut revoir cette loi.



Pour moi un cas extrême c'est quand le patient souffre et qu'il ne supporte plus cette souffrance.

Il faut aussi impérativement que la maladie dont il souffre soit incurable.
beauthy
2008-03-20 09:58:40 UTC
Tout à fait d'accord pour une révision de la loi et un droit à décider de sa fin de vie, s'il se trouve un médecin prêt à faire cet acte.

De plus en plus de pays en Europe reconnaissent ce droit ; un jour ou l'autre la France devra s'aligner.
alex75018
2008-03-20 08:39:59 UTC
cet loi de merde es inutile comme certain politien de notre pays , les gensqui souvre ne doive plus souffrire inutilemen as causse de ceux qui decide a la place des autres pourquoi ne pas laisser ceux qui soufre partir comme il le veule , la vie de chacun ne doi pas se jouer sur un coup de dés les personnes soufrante comme cet pauvre damme , pai as son ame , qui es morte dans une douleur imense es sens digniter parce cet loi de merde ne lui autoriser pas de mourir comme elle le souhaiter , je suis telmen ecoeurer de notre pays es des ces loi que je ne sais plus quoi dire , je rejouterais ceci , chacun fais se qui veux de sa vie es ses pas des connard qui nous dite les loi qui vons nous enlever se droit "egaliter, fraterniter , liberte " oui mais pour qui? se son des mot qui on marquer l'histoire il me semble es pourten la seul liberte qu'on as ces de creve aux taff pour des gens qui non pas le sens de la valeur d'une vies , ma conclusion es celci elever cet loi de merde es laissser vivre les gens comme bon leur semble.
didilil
2008-03-20 07:28:08 UTC
moi je suis contre l'euthanasie puisque on a pas choisi de venir donc comment on peut choisir de partir quand une personne est malade il doit tjr cherché un remede si il n y a pas de remede pour la maladie il faut cherché des calmant et et prié dieu chaque fois en attendant la fin de tes jours mais pas mettre fin a tes jours qui ne sont pas finis.
2008-03-20 06:29:32 UTC
Dans les diverses discussions entendues par çi par là, je constate que la plupart des opposants à l'euthanasie viennent avec des arguments comme, être à l'écoute, accompagnement et autres lieux communs.

A notre époque, avec souvent la solitude, sans entourage aimant, avec des malades qui ne sont plus réceptifs à rien du tout sauf à la souffrance, faut-il vraiment les maintenir en vie pendant un temps indéterminé?

Je comprendrais si ces personnes avaient la foi en une vie éternelle.

De toutes façons, là où l'euthanasie est pratiquée, la décision finale est sévèrement contrôlée. J'ajoute que les médecins qui sont contre ne sont pas obligés de la pratiquer. C'est PLUS sévère que pour un avortement.
anonyme06
2008-03-20 06:13:21 UTC
mille fois oui.

notre vie nous appartient. ces politiques sont d'une inertie terrible, la pauvre dame a dû partir dans la solitude...

Puisse-t-elle reposer en paix.
nini
2008-03-20 06:07:44 UTC
Il est difficile de creer une loi sur ce sujet, en effet cela entrainerait surement des abus.

Il faudrait pouvoir etudier au cas par cas, ce qui me semble, ne serait pas difficile a mettre en oeuvre vu le nombre minime de personne voulant mettre a fin a ses jours et ne pouvant le faire elles-meme (cas de Chritophe Humbert par exemple).

mon avis personnel pencherait pour ce cote la, mais ce n'est que personnel et ne peut fair grandir ma voix dans cette jungle politique (plus que medicale ou humaine).
2008-03-20 06:01:19 UTC
seuls les médecins peuvent dire ce qu'est un cas extrème. Quand la médecine , ne peut plus rien, que les souffrances sont insupportables En l'occurrence, il semblerait que cette personne qui était atteinte d'une tumeur au sinus rentrait bien dans cette catégorie. Bien sûr qu'il faut une loi car on ne laisse pas les gens souffrir ainsi et mourir à petits feux. C'est inhumain et de nos jours inadmissible. Il est urgent de faire en sorte que ce genre de choses ne se reproduise plus.
Gigi L
2008-03-20 05:57:32 UTC
C'est bien dommage que la télévision française diffuse si peu de reportages sur la réalité de l'euthanasie dans les pays où cette pratique est acceptée (Belgique et Pays-Bas). Contrairement à ce certains semblent penser, elle ne se traduit pas par une mise à mort de toutes les personnes agées qui sont hospitalisées sans distinction. Il s'agit d'une procédure rigoureusement encadrée, d'occurence exceptionnelle et, que ce soit pour la personne directement concernée ou pour ses proches, bien plus humaine que de regarder mourir quelqu'un dans la souffrance.
claudine c
2008-03-20 05:42:19 UTC
OUI D'EXTREME URGENCE CAR CE QUI VIENT DE SE PASSER POUR CETTE COURAGEUSE DAME EST LAMENTABLE.
nanou29810
2008-03-20 05:29:04 UTC
OUI, il faut changer la loi

Oui nous devons avoir le droit de choisir notre façon de mourir et le moment

Combien de personnes souffrent alors qu'elles voudraient pouvoir arrêter ces souffrances.

Combien de personnes âgées voudraient partir comme elles ont vécues c'est à dire dans la dignité.
Cedric C
2008-03-20 05:16:08 UTC
Oui la loi doit être révisée pour les cas extrêmes. Maintenant, reste à définir ce qu'est un cas extrême ! Je pense qu'il est inutile de maintenir en vie quelqu'un alors qu'on sait très bien que la médecine ne peut le sauver.

Si la personne demande à mourir, pourquoi lui refuser ? Ca c'est pour les cas où la personne est consciente et peut donc décider. Mais quid des personnes inconscientes dans le comma ? Doit-on ou non les maintenir en vie ? La question reste entière. Personnellement je ne vois pas pourquoi on maintiendrait en vie un légume.
rienalebran
2008-03-20 05:10:50 UTC
UNE LOI!!!!

Laisse moi rire entre tous les politiques de droite ,de gauche,exct... plus la religion catho. qui agite le spectre de satan lorsque l'on met fin a sa vie, les docteurs jamais d'accord sauvera? sauvera pas?

Peut etre d'ici 10 ans celle -ci sera faite quand un president ayant des co.....s la fera passer sans demander l'avis de tous les abrutis sites plus haut .

Pour l'instant il ne nous reste qu' a avoir le courage de se faire sauter la tete
jose m
2008-03-20 04:58:42 UTC
Notre corps et notre vie nous appartiennent en propre et nous sommes seul à en disposer.

Que chacun, suivant ses croyances et sa sensibilité, décide.

Une loi ne peut et ne doit gérer pour tout le monde.

Alors oui à l'euthanasie et non à l'acharnement thérapeutique.
2008-03-20 04:44:16 UTC
non non et non

l'euthanasie doit être tolérée !

comme c'est le cas depuis toujours,

mais surtout pas légalisée !

ce serait la porte ouverte à toutes les dérives...

un peu de jugeote SVP !
khosamed
2008-03-20 04:42:56 UTC
chacun devrait avoir le choix de disparaitre dignement de pouvoir choisir le moment de son départ, de n' avoir pas a subir toutes ces souffrances dues a des maladies incurables !

on parle beaucoup de liberté des droits de l' homme le droit de décider de vivre ou non si l' on est en pleine possession de ses facultés mentales est inexistant !

pourquoi devoir recourir a des moyens extrémes tels que le suicide qui est parfois une véritable boucherie alors que l'on pourait aider a partir ceux qui en ont le souhait dans la paix et sans souffrances !

un cas extréme est une volonté irrévoquable d' en finir, pourquoi devoir attendre que les autres décident que cela n' est plus supportable, qui mieux que le principal concerné sait si ses limites sont atteintes ?
Marie
2008-03-20 12:08:57 UTC
De quel droit, avons-nous le droit d'ôter la vie avant l'heure? Personne..Mais, lorsqu'il s'agit de souffrance, là,la personne en question, est seule juge de dire " C'est ma vie, c'est ma souffrance, je veux en terminer". Egoïsme pour les proches de partir ainsi? NON!! Egoïsme oui de la part des proches de refuser sa volonté, surtout ne sachant pas la souffrance que la personne endure. Si elle désire en finir, c'est que cette souffrance est trop présente, ...car qui aimerait partir avant son heure? Personne !!! Alors si le mot " mourir" vient, c'est qu'il y a vraiment plus d'envie de rester ici bas, par le mal qui nous ronge.... On a pas choisi de naître, ..alors laissez partir ceux ou celles qui désirent quitter pour ne plus souffrir.
fanny17
2008-03-20 11:40:13 UTC
La loi sur l'euthanasie doit être révisée pour tous les cas de fin de vie et les cas extrêmes.

Toute personne gravement malade et qui a toute sa "tête" et qui a la certitude et la preuve et l'avis de plusieurs médecins et spécialistes qu'il ne guérira pas à le droit de choisir, de décider de mourir, on euthanasie bien les animaux quand ils souffrent ou qu'ils ne guériront pas alors pourquoi les êtres humains n'ont pas se droit ?
marjorie37
2008-03-20 10:28:56 UTC
je pense que la loi sur l'euthanasie nécessite une révision mais seulement pour les cas comme celui rencontré ces derniers jours ou celui de vincent imbert, il faut savoir se mettre à la place de ces personnes qui n'ont plus de mobilité qui ne peuvent plus vivre comme nous et communiquer avec leur famille, ces personnes sont non seulement en sursis mais également vivent dans le silence en attente de mourir, c est pour cette raison que je pense que cette loi doit être revue sérieusement
zezette
2008-03-20 07:42:10 UTC
Je suis aide-soignante depuis 14 ans. J'ai vu énormément de personnes partir dans des souffrances atroces. C'est inadmissible quand l'an 2000 nous ne pouvons décider de s' aller dans la séreinité et la dignité. Pas d'excès biensur !

Lorsqu'il n'y a plus rien à faire médicalement parlé pourquoi

VIVRE plus lontemps, si la décision vient du malade et de la famille . Tellement de gens meurent chaque jours pour rien ( suicides, accidents de la route...). Et les maladies incurables alors ! Nos corps et nos vies nous appartiennent........
madamebovary
2008-03-20 06:36:19 UTC
OUI. Définir un cas extrème ?douleur insupportable, volonté du patient , testament vital en faveur de l'euthanasie.
vanessiti
2008-03-20 06:19:42 UTC
La loi sur l' euthanasie est une tres bonne lois si applicable pour des cas qui ne sont que primaire mais d un cote si le cas et reellement desepere et qu apres l avis de different medecin il n y a plus vraiment rien a faire alors je pense qu a un certaine etape de souffrance du malade il faut accepter son desir de mourrir parcque la souffrance n a jamais ete aggreable pour personne , d un autre cote avant de revise le cas de l euthanasie il faudrait aussi mettre en ligne point par point quel sont les maladies irrecurable et si elle necessite vraiment de mettre fin a la vie d un individuel par sa demande.
sandrineandco2003
2008-03-20 06:15:29 UTC
moi je dis que oui, car la loi n'empêche pas les gens de se suicider, donc c'est ridicule.
jo
2008-03-20 06:14:58 UTC
il serait temps que s'ouvre ce debat, surtout en 2008 ou on s'acharne a faire vivre et que les technologies sont si avancées.

mais c'est une question d'ethique: qui quels cas et qui le demande. en plus de cela ne nous leurrons pas: bcp de choses se permettent en dehors des lois mais il serait fou de ne pas s'ouvrir au dialogue.
2008-03-20 06:13:21 UTC
non la loi qui existe au,jourdhui est suffisante. il faut savoir que les medecins pratique l'euthanasie deja. dans le secret dans des cas extremes.

cette loi serai inutiles
verocassou
2008-03-20 06:08:24 UTC
Oui il faut instaurer un droit de mourir en toute dignité !

Définir un cas extrême semble être difficile, ce qui l'est pour l'un ne le sera pas obligatoirement pour l'autre. dans toutes les dernières situations qui ont été présentées la demande était justifiée, mais au-delà de la perception que l'on peut avoir de l'extérieur, quel meilleur juge que la personne elle-même concernée !?!

Les lois sont faites par des personnes qui ne savent pas ce que la maladie représente psychiquement et physiquement, il ne suffit pas d'avoir des malades sous les yeux pour savoir ce que cela signifie que d'être malade !
Faust
2008-03-20 05:47:41 UTC
Les hommes politiques sont avant tout des hommes. En tant que tel, ils sont soumis à la l'irrésistible pression de leur base philosophico-morale (religieux ou athée). Cependant pour ma part, je ne pense pas que ce soit de le responsabilité des hommes politiques d'ouvrir cette boîte de pandore qui en fait relève de l'appréciation spirituelle et existentielle de chacun. Tout autant que l'on peut trouver ignoble la politique de natalité en chine (décider qui fait des enfants et combien...), nous pouvons considérer que la problématique est mutatis mutandis la même ici. Il ya des domaines dans lesquels, la loi n'est d'aucun recours. Si la loi française ne décide pas de qui doit ou non naître (quoique...) elle ne peut décider de ce genre de chose. Comme le disait un intervenant ici. La vie appartient à chacun. Même si je ne dirai pas qu'on en fait ce qu'on veut, je dirai effectivement lorsqu'en a soi même apprécié les paramètres indiquant que l'on ne peut plus supporter de vivre "dans la souffrance extrême", on peut soi même "sortir " de l'existence.

Pour preuve, cette dame a bien fini par partir d'elle même sans l'aide du législateur. Il est inutile de soumettre à rude épreuve, les institutions de la République sur ce genre de sujet auxquels, ils n'ont absolument pas compétence...
SJ
2008-03-20 05:36:20 UTC
Moi je dis que la France est très en retard sur beaucoup de chose, rien que pour les personnes transsexuelles telle que moi... mais ce n'est pas le sujet ici. Pour l'euthanasie je suis pour à 100% ! Si une personne veut mourir, elle a le droit d'en faire la demande, évidemment après il faut faire attention aux abus : imaginez un mec qui demande à mourir après une déception sentimentale... les 2 premières semaines on croit que le monde s'écroule, mais au bout d'1 mois ça passe et on s'en fout... donc c'est sûr, c'est pas facile. Mais sérieusement, quand quelqu'un souffre atrocement, et que la médecine ne peut rien faire, on a le droit de mourir, d'en faire la demande, ou de se débrouiller pour trouver la solution de mettre fin à ses jours ! Non mais sérieux, le mec qui dit qu'il faut travailler la douleur, mériterait d'être torturer un petit moment histoire de lui apprendre ce que c'est ! Moi je suis contre toutes les grandes gueules qui parlent de choses qu'ils ne connaissent pas : évidemment, quand on est en pleine forme, on comprend pas celui qui a mal... quand on est un burocrate au chaud dans son fauteuil de pdg on comprend pas les personnes au chômage etc. des exemples y en a plein ! Je dis m**** à tout ceux qui ne pensent qu'à leurs gueules !
jean-louis i
2008-03-20 05:34:10 UTC
La loi sur l'euthanasie doit être révisée. Habitant en Suisse depuis plus de 25 ans j'avoue que la démocratie tant vantée par la France existe mais pas dans l'hexagone. Tout est toujours politisée en France, je ne dis plus mon pays mais votre pays est au moyen âge!!!!!!!!!!
Nel
2008-03-20 05:28:20 UTC
Bien évidemment que la loi doit-être révisée. Pour moi un cas extrême, c'est une personne, quel que soit son âge d'ailleurs, qui présente une maladie incurable et évolutive avec dégradation du corps. Une demande d'euthanasie peut-être demandée par le malade s'il est conscient et s'il possède toutes ses facultés mentales au moment de la signature. J'ai été personnellement concerné par ce problème, avec le décès de ma soeur tant aimée. Nel
ALP
2008-03-20 05:22:30 UTC
D'un point de vue moral, je pense que si l'on est condamné à souffrir atrocement pendant une longue agonie au point que l'on souhaite mourir, ça ne me choque pas.

En revanche ce qui me fait peur dans une loi sur l'euthanasie c'est les dérives que cela pourrait entraîner à cause des changements de notre système de santé. J'ai peur qu'à terme on se trouve face à des gens qui aient le choix entre euthanasie / agonie dans la souffrance, car ils se trouvent dans une région pauvre où les hôpitaux publics ne sont pas équipés correctement pour les soins palliatifs, car les soins palliatifs ne sont plus remboursés totalement, car le traitement qu'il leur faudrait est très cher...

Pour le moment je ne pense pas que de telles situations soient possibles, mais je me dis que peut-être dans cinquante ans, quand je serais vieille, ou dans quatre-vingt ans quand mes futurs enfants seront vieux, cela pourrait arriver et c'est qqch qui me fait assez peur.

Je pense aussi que la légalisation de l'euthanasie, si elle doit se faire, doit être précédée de la mise en place sur tout le territoire français d'un système d'accompagnement des personnes en fin de vie décent, afin que tout le monde ait vraiment le choix.





Comment définir un cas extrême? A mon avis ça doit passer par le cas par cas. Définir un certain nombres de critères objectifs par la loi puis laisser les médecins décider avec la famille et le malade. Laisser la part à l'humain tout en donnant un cadre assez rigide pour éviter les abus, c'est toute la difficulté.
MARTINE B
2008-03-20 05:14:29 UTC
il faut que cela change , car il y a des cancers auquel il n'y a rien a faire ou plus rien ! laissons partir tranquillement les malades.

arrêter de faire souffrir pour rien !!!!
annietta
2008-03-20 05:10:14 UTC
oui,bien sur .quand une personne souffre,nous ne sommes pas a sa place ,alors on ne peut imposer aux personnes de vivre si ils n'en peuvent plus .Et il vraiment besoin de souffrir tout le temps ! faut il attendre l'extrême limite comme ce doit être le cas de cette dame?c'est une honte.
elle
2008-03-20 05:09:58 UTC
Je pense que l'on se doit de laisser les gens mourir dignement lorsqu'ils en font la demande eux-memes comme c'etait le cas de Mme Sebire. Le cas extreme pour moi est celui qui est incurable et qui delabre le corps et l'esprit, devenir un mort vivant me semble etre la pire des choses.
bary
2008-03-20 05:08:57 UTC
Bien sûr qu'il faut réviser la loi et laisser un collège de médecins décider de la validité d'une demande d'euthanasie.



Pour ce qui est des convictions religieuses, il faut être cohérent : "aider son prochain" est écrit dans la bible non ? Quand on a un simple mal de tête, on prend un anti-douleur hors n'est-ce pas là une épreuve envoyée par Dieu ? Lorsqu'on a un cancer, chrétien ou pas, on se soigne et on accepte même les anti-douleurs. Alors, il faut arrêter de nier la douleur d'autrui. Les personnes condamnées méritent de partir dans la dignité.



Un peu de bon sens serait sans doute de mise pour les bons chrétiens.
LEVRON P
2008-03-20 04:33:16 UTC
Comment définir un cas extrême? et avant tout, de quelle définition parle-on? est-elle médicale, déontologique, philosophique ou légale? Il faudrait, tout d'abord, partir de l'état objectif du patient (c'est-à-dire l'évolution de sa maladie comparée à celle que les descriptions médicales prévoient), et de l'état actuel des connaissances. Il faudrait ensuite partir de l'état "subjectif" du patient (ce qu'il ressent, ce qu'il éprouve, son "vécu" de la maladie en somme). Cela veut dire que la définition d'un "cas extrême" doit engager le patient, son médecin habituel ainsi que les spécialistes qu'il aura consultés. Cela signifie surtout que cette notion est d'autant plus fluctuante qu'il faut tenir compte d'éventuels désaccords entre le patient et le corps médical (sans parler des instances politiques, philosophiques ou religieuses...)Dans un cadre plus "institutionnel", elle pourrait se faire par des entretiens réguliers entre le patient et les intervenants médicaux. Je suis moins à l'aise pour le volet normatif, si tant est qu'il puisse exister, à cause de ces conflits éventuels...
hozz42
2008-03-20 13:14:35 UTC
je suis pour evidament tu a bien le droit de decider ca ne devrait pas etre une question de politique tu fait bien ce que tu veut de ta vie.

En tout cas je suis soulager pour cette femme qui a malheuresement bocoup souffert sa mort et sa demande qui a ete rejeter par le gouvernement va faire cuoler bocoup d encres et j espere que sa va aussi faire bouger les choses.

je rend ce soir hommage a cette dame ainsi qu a sa famille a qui je souhaite mes sincere condoleance.
larakraft1
2008-03-20 11:16:08 UTC
si les gens veulent mourir, il faut les laisser. Moi perso je prefere mourir que de trop souffrir ou d'être un légume. C'est notre vie on en fait ce que l'on en veut, pis quand c'est foutu autant partir.
2008-03-20 10:30:31 UTC
pourquoi l etat francais ne legifere pas sur les sujets qui conserne tous les francais comme l aide medical pour mourir
skywhisk
2008-03-20 10:24:27 UTC
Oui cette loi n'est plus bonne,pour les patients dits incurables,ils devraient avoir le droit de se faire euthanasier au lieu d'attendre la mort dans des souffrances pas possible. Si SARKOZY etait dans ce cas il changerait rapidement cette stupide loi !!!
Anthony D
2008-03-20 09:05:08 UTC
Je suis tout à fait pour l'euthanasie et je trouve au jour d'aujourd'hui scandaleux que les politiques ne le permettent pas. En attendant je me demande ou est la démocratie dans tout cela, la république française pronne la liberté, la fraternité et l'égalité et en attendent je ne trouve qu'elle ne l'applique pas du tout. Le pouvoir n'émane t'il pas du peuple, pour le peuple et surtout par le peuple. Il me semble légitime que se soit aux français d'en décider et non à des politiciens qui ne voient que leur intèrêt dans la question. Il me semble qu'ils n'ont pas été élu pour faire enttendre leur propre point de vue, mais celui de leurs élècteurs!!!!!! Aussi je trouve scandaleux d'entendre certains politiques invoquer des questions religieuses façe à la problématique de l'euthanasie. En attendant, la république française est un état LAIC!!!!!!!!!!!!!! le religieux n'a rien a voire dans tout cela...encore et toujours des excuses bidons pour reporter des problèmes pour lesquels nos élus n'ont pas le courage de se prononcer en toute franchise!!!!!!!!!
André B du Havre
2008-03-20 07:48:09 UTC
Il me semble que la question n'est pas si facile pour être tranchée aussi facilement que certains semblent le dire en réponse.



Certains enfants, qui ont un parent à charge, qui a, par exemple, une lourde pathologie qui nécessite des soins constants pourraient exercer de lourdes pressions (même que morales) sur leur "parent boulet" afin que celui ci demande la mort. On aurait donc des situations où une personne demande la mort parce qu'elle est culpabilisée sur sa situation physique de dépendance et non par choix.



La situation qui a été médiatisée nous remplit évidemment de compassion, toutefois, il nous faut mesurer les travers éventuels d'une loi, et surtout enc e qui concerne l'euthnasie. je suis donc contre une loi permettant "le droit de mourir", trop proche à mon sens d'un "droit à tuer l'indésirable".



De plus, c'est la porte ouverte à des dérives comme de tuer les malades mentaux qui sont aussi en souffrance, des autistes, etc...
Fabien64
2008-03-20 06:59:31 UTC
Il n'existe pas de lois en France règlementant l'euthanasie, contrairement à certains pays comme les Pays Bas, par exemple. Ainsi, une personne qui reconnaitrait en France avoir "euthanasié" quelqu'un, serait en théorie poursuivi pour assassinat, même si on a pu apercevoir une certaine souplesse et "compréhension" de la justice, dans certaines affaires vis-à-vis des personnes inculpées dans ce cadre, avec notamment l'affaire Vincent Imbert. Ce positionnement des juges (et du jury populaire des Assises) n'est-il pas en quelque sorte une façon de renvoyer le législateur devant ses reponsabilités?

Ainsi, la dernière loi votée ne concernait que le refus de l'acharnement thérapeutique, notion beaucoup plus restrictive que l'euthanasie ; on peut rappeler que Mme Imbert a estimé que cette loi ne couvrait pas le cas de son fils, et que ce texte avait donc une porté insuffisante.



Parallèlement, on ne peut pas dire que l'euthanasie soit un phénomène nouveau dans les hopitaux français. C'est apparemment une pratique qui existe mais qui ne se nomme pas (illégalité oblige).



Donc je dirais qu'il est nécessaire de réfléchir sur une loi moins "moralisante", plus humaniste qui prendrait plus en compte les droits du patient et qui concilierait la déontologie médicale avec la loi. Ceci nécessiterait bien entendu une encadrement et un contrôle drastique.
Jean-Pierre S
2008-03-20 06:26:18 UTC
L'euthanasie : mettre fin a ses souffrances?

L'euthanasie : droit de tuer ?

Parler uniquement de mettre fin a ses souffrances peut occulter le fait que l'euthanasie donnera un pouvoir plus qu'important aux médecins, un pouvoir inhumain, parce que ces médecins auront le pouvoir de vie et de mort sur leur contemporains. Même si ce pouvoir est encadré par la loi, il sera! et c'est ça qui me révolte. Le cas d'une dame souffrant atrocement est également dur mais est ce que un cas isolé, et sans cynisme, je dirai que les exceptions confirment les règles.

La loi est pour le plus grand nombre. On ne soumet pas la population a une loi visant uniquement une petite minorité. Sinon, je vais demander certains arrangements pour ma vie parce qu'elle est trop dure pour moi. Si vous ne me croyez pas pour ma vie, combien de gens, qui vous font ce mensonge, croirez vous, et combien de loi injuste pour les français promulguerons nous pour des cas jugés effrayants par le tout public.

Donc, la loi sur l'euthanasie ne doit pas être révisée : ce serait ouvrir la boite de pandore!
jimmycarter
2008-03-20 06:06:09 UTC
Quelques cas extrêmes parmi tant d'autre



L'administration pourrait s'autoriser a demander l'euthanasie pour tel patient jugeant son cas désespéré car etant sans famille et dans l'incapacité de s'exprimer. Dans une grande souffrance on est pas toujours maître de nos pensées.



Cela pourrait etre aussi un suicide par procuration pour personne dépressive. Ces dernières décénies notre occident s'est mentalement affaiblit vue le nombre de dépressifs. Dans quelques années ça pourrait être l'hécatombe.
jade
2008-03-20 06:05:31 UTC
Bonjour



Quand on nait, on demande la permission à personne. Le droit de mourir doit suivre la même cohérence. Il s'agit de notre propre personne et la vie ne concerne que nous. Il est normal de demander de l'aide à des professionnels afin de ne pas utiliser n'importe quoi. Les infirmières pourraient aider de la même façon que le médecin qui a une éthique.

Dans d'autres pays comme notamment la Belgique, le droit à l'euthanasie existe. Quand une personne souffre le martyre comme le cas de Chantal Sébire et qu'il n'existe aucun espoir, pourquoi faut-il passer par la justice, et recevoir un non catégorique. La personne qui est saine d'esprit peut, à mon avis, demander de mourir dignement. Pourquoi a-t-on cette hypocrisie en France ? Je suis pour une euthanasie décidée par la personne souffrante et en accord avec le milieu médical et familial.
Sab
2008-03-20 05:39:34 UTC
1:Nous sommes dans une société laïque, il n'est donc pas question de prendre en compte un quelconque idéal religieux pour voter une loi.

2: Laisser mourir un malade en soin palliatifs, en arrêtant de le nourrir et de l'hydrater veut dire le laisser dans la souffrance plusieurs jours avant qu'il ne meurt "naturellement", quelle hypocrisie et quelle barbarie.



STOP, une société dite civilisée a le devoir moral de ne pas laisser souffrir inutilement des mois voir des années une personne en très grande souffrance et sans espoir de guérison.

Pour les sceptiques, allez dans une unité de soins palliatifs et imaginez y être, vous ou l'un de vos parents...

Sans connaître Mme Sébire, j'imagine quelle a due être sa crainte et celle de ses proches a devoir faire par eux même ce que la médecine aurait pu, un geste humain et médical est certainement plus simple à appréhender qu'un suicide!!!

Mme Boutin, (tout comme vous je suis croyante), regardez autour de vous (Pays bas, Belgique, Suisse), ce ne sont pas des peuples barbares, ils prennent la souffrance des malades en considération, vos convictions religieuses n'ont ABSOLUMENT aucunes places dans les décisions que vous êtes amenée à prendre au sein du gouvernement!
2008-03-20 05:16:45 UTC
Oui elle doit être révisée pour permettre aux gens qui le souhaitent de mourir dans la dignité et dans la joie, et non suite à d'atroces souffrances subies. Cette demande doit pourtant, évidemment, être validée par plusieurs comités indépendants pour parer aux abus et ne pas désacraliser l'acte de suicide thérapeutique.
2008-03-20 05:11:30 UTC
Je pense en effet que la loi doit être révisée. En effet, pourquoi n'aurait-on pas le droit de choisir de mourrir ? De quel droit? Au nom de quoi?

Reste après à définir ce qu'est le cas extrême. Selon moi, le cas extrême est quand la personne concernée ne peut plus continuer à vivre car sa souffrance est insoutenable, tant au niveau physique qu'au niveau mental.

J'ai été outrée d'entendre la décision prise à l'encontre de Mme Sébire. Sa maladie a entraîné une déformation insoutenable de son visage. Qui peut vivre ainsi? Qui peut être heureux ainsi..? Le juge, lui, aurait-il pû vivre dans ces conditions??? Et la famille des personnes malades, y pense-t-on? Un enfant a-t-il le droit de souffrir à voir un proche malade?
anna
2008-03-20 05:07:45 UTC
un cas extreme est tres facile à diagnostiquer pour un medecin . de surcroit si un groupe de médecins aussi bien des specialistes en la matiere que le médecin traitant qui en se réunissant à la demande du patient et de la famile et qui au vu du dossier médicale pourraient tirer des conclusions quant au pronostic. donc cela ne sera concevable qu'apres etude du dossier par une commision.competente .et je pense que dans ce cas la fin serait plus douce et humaine pour la personne qui demande à partir avec l'aide d'un médecin. ne dit on pas que la mort parfois est une délivrance?
vincent b
2008-03-20 05:07:15 UTC
quand quelqu'un est condamné et qui lui reste plusieurs mois à vivre, on doit le laissé souffrir ?!

chacun est libre de choisir entre la vie et la mort. Donc je suis pour le droit a l'euthanasie.
2008-03-20 05:06:59 UTC
On marche sur la tête ?

La France qui croule sous les charges et les impôts, et la chèreté du logement doit payer des milliers d'euros par jour pour une personne qui souhaite mourir dignement ? Dans le cas d'une maladie incurable entraînant le malade vers une mort irréfutable et la véritable souffrance, souhaitant mourir sainement et mettre un terme à sa souffrance, on l'oblige à vivre et de mettre la société à conttibution ? Tandis que beaucoup, travaillant et ayant des enfants, à la base bien portants, en arrivent à devenir malades et à se jeter sous les trains dans l'indifférence générale pour travailler et toujours payer. Ces malades coutent des milliers d'euro à la société et tout le monde doit en mourir ? S'il existe des médecins qui assurent le suicide assisté dans l'anonymat, c'est justement que ce sont des professionnels de la santé qui connaissent leur métier et le bon sens général.
zek
2008-03-20 05:03:41 UTC
je pense personnellement que le fait d'aidé quelqu'un dans la soufrance a finir ses jours devrais etre légal puisqu'il en va de la santé moral de tout l'entourage de la personne mais aussi de la sécurité de tout le monde!!! imaginé le nombre de scucide qui entraine egalement des inconnues qui n'ont rien demandé a personne. en plus l'euthanasie permettrais a ces personne de mourire dignement et surement sans risque de ratage ou autre probleme.



pour se qui est de la loi, comme toutes les lois je dirait que cela m'importe peux puisque de toutes facon elle sont en grande parti illisible par la population et ne sont faite unquement pour les hommes de loi (bien quelles s'aplique a tout le monde)



condoléance a toute la famille de cette dame bien courageuse!!! la vie doit continué
Kraverlake
2008-03-20 05:01:55 UTC
Moi je suis Français vivant au Luxembourg. Chez nous la loi permet d'être euthanasié, comme beaucoup d'autres pays européens.

Moi je suis pour le choix de sa mort si l'on souffre d'une maladie, les gens ne demandent pas la permission pour se suicider donc ça serait plus intelligent que cela soit reconnu pour des gens en grande souffrance physique et/ou morale.
2008-03-20 04:40:02 UTC
cette personne etait vaillante. Elle souffrait et bien qu'elle se suicide au lieu de demander à d'autres de lui donner la mort. Je suis pour l'euthanasie lorsque la personne a perdu les moyens de se donner la mort elle meme. Sinon y'a le suicide.
kwolf
2008-03-20 04:37:24 UTC
déjà pour répondre à cette question prenons un peu d'étymologie: euthanasie : la bonne mort. Il s'agit d'une assistance à la mort tant passive (en arrêtant les soins), ou active (en donnant la mort).

A l'heure actuelle, seule l'euthanasie active est interdite. Mais dans les cas extrêmes à savoir quand les connaissances médicales sont insuffisantes pour sauver la personne, et que ses souffrances sont telles qu'elles deviennent insupportables, il semblerait contraire à la dignité humaine de refuser l'euthanasie dans ce cas.

En revanche, il faut pour l'admettre encadrer l'acceptation par la personne par le biais du conseil de deux médecins soit un généraliste et un spécialiste, ou autre. Il faut également s'assurer que la décision d'euthanasie soit le fait d'une décision libre et réfléchie et qu'elle ne fasse pas suite aux pressions de la famille.

Elle doit notamment pouvoir être envoyée dans des établissements d'accompagnement de fin de vie, qui permettent de vivre. Dès lors, le cas extrême pourrait se concevoir comme le cas où la souffrance et l'incapacité de la médecine à réduire cette souffrance sont telles que maintenir la personne en vie s'analyse en un acharnement thérapeutique.

Il faudrait également revoir le code pénal qui incrimine l'assistance au suicide, et le meurtre pour le rendre compatible à ce cas

Contre cette idée d'euthanasie active, on peut cependant faire valoir les pensées religieuses: ainsi le catholicisme considère l'euthanasie comme contraire au respect de la vie.

Mais ne serait-ce pas contraire également à la compassion du Christ de refuser de considérer une personne dont la souffrance est telle que la mort est la seule solution. D'autant que le maintien en vie de ces personnes n'est due qu'à l'amélioration des connaissances techniques de maintien en vie des personnes?

accepter l'euthanasie active serait dans ces cas "extrêmes" admissible. Mais il ne faut pas oublier que la pratique doit être encadrée.
2008-03-20 14:37:30 UTC
Oui, la loi sur l'euthanasie doit être révisée pour les cas extrêmes et conscient de leur situation. Il faut leur laisser le droit de mourir s'il le désire, c'est une manière de mourir dignement au lieu de se suicide par défenestration par exemple...
karen
2008-03-20 12:11:00 UTC
S'agissant de Chantal Sébire, c'est honteux de laisser souffrir cette femme qui demandait dignement l'euthanasie. La France est un pays évolué et civilisé et je ne comprends pas pourquoi le gouvernement n' a pas accepté la demande alors que Chantal avait une maladie incurable. Maintenant on fait des prélèvements voire une autopsie c'est incroyable !!! qu'on la laisse tranquille, elle mérite de reposer en paix.



Je me suis posée la question suivante.... si cette épreuve arrivait à certains membres du gouvernement , comment réagiraient ils ? .... il y aurait sûrement une solution



En France on fait des lois et des lois.... administrativement on est champion mais humainement on est à la traîne !!!



J'espère qu'un jour on suivra l'exemple de la Belgique et de la Suisse.
2008-03-20 11:17:16 UTC
lorsque la vie ne veut plus animer un corps humain et que la souffrance est le seul quotidien, alors oui il est nécessaire de recourir à l'euthanasie, pour qu'Humanisme et Dignité ne fasse qu'un.
casimirfransousky
2008-03-20 10:18:00 UTC
Oui bien sûr!

La France et les Français ont, en général, beaucoup de mal à changer certaines choses qui sont anciennes et ne correspondent pas à l'actualité d'aujourd'hui mais à l'actualité de nos parents ou de nos grands-parents.

Les conservateurs sont au pouvoir et freinent en refusant le modernisme. Un classique!

Comment pensent-ils gérer les nouvelles données de la démographie s'ils refusent déjà d'aider quelques personnes à mourir, comme on le pratique sans tabou au Pays-Bas?

Ce ne sont que de grands parleurs incapables, victimes du centralisme français qui fait c.... tout le monde!

Encore une fois et comme toujours, avant qu'une décision soit prise, il faut remuer une administration lourde et lente et attendre des mois, des années ou voir jamais!

C'est cela qui m'inquiète le + dans ce pays qui a les moyens de progresser mais qui ne fait rien par esprit soit-disant nationaliste!!!

Un cas extrême c'est une maladie incurable, des douleurs insurmontables et une mort certaine, tout simplement!
tacha67
2008-03-20 10:11:33 UTC
Moi je suis pour l'euthanasie, car je vois pas pourquoi on dois laisser souffrir les gens qui on des maladies tres lourdes et douloureuses! Alors oui pour l'euthanasie
Rej
2008-03-20 09:07:36 UTC
personne ne souffre à la place du malade. les proches souffrent de leur impuissance et de voir l'être aimé souffrir. le malade doit pouvoir choisir quand et comment il veut mourir.

c'est scandaleux qu'on ne puisse pas laisser le choix.



signé : la fille d'une maman décédée d'un cancer incurable.
Sri_Lumpa
2008-03-20 09:02:20 UTC
La question de l'euthanasie n'est pas neuve... La question se pose toujours. Faut-il ou ne faut-il pas accepter ca.

D'un point de vue moral, et humain, une personne devrait avoir le choix... D'un autre côté il faut faire attention aux abus... Certaines maladies "endommagent" trop certains patients pour qu'ils puissent de manière consciente prendre cette décision, et malheuresement dans certains cas, la famille "préssée" de se "débarasser" des "boulets" vont eux mêmes "tenter leur chance" au près du médecin de famille. (en general pour une question d'heritage, de "raz le bol" - s'occuper d'un "légume" matin midi et soir, ...).

Fils de médecin, je sais que ce problème se pose, demande de la famille, demande de la personne elle-même, suicide de personnes agées ne suportant plus la solitude ou la maladie... Le médecin qui "théoriquement" à les moyens "d'agir" se doit cependant de respecter la loi. L'euthanasie "controlée est malhereusement une utopie qui au dela d'un suicide assisté médicalement pourrait se transformer en meurtre maquillé - commission ou non...

Nénamoins la souffrance sans lumiere au bout du tunnel n'est pas humaine. Je dis donc oui à une révision de la loi, mais ATTENTION...
homelbier
2008-03-20 07:47:56 UTC
Non Non et Non et je dénie au droit toute capacité en ce domaine comme d'autres!



Toute la presse parle à nouveau du droit à mourir et encore une fois je suis attéré.



Comme affirmé plus haut, je dénie au droit la capacité à définir l''intérêt de l'être vivant tout comme je lui dénie le droit de définir l'intérêt de l''enfant. Pourquoi?



Le droit est par essence un raisonnement binaire pour arbitrer des situations compliquées. S'il faut des limites et des règles à la vie sociale, la complexité de la vie personnelle n'est pas accessible au raisonnement du droit. Pourquoi? tout ce qui concerne l'être relève de la complexité.



Il faut donc des lois cadre larges et des garde-fou en même temps qu'il est nécessaire de faire confiance aux individus et aux compétences (médecins, éducateurs, psy etc.).



En tout domaine, l'excès de Loi tue la Loi, l''excès de règle tue la règle (essayez aujourd'hui d''organiser une sortie pêche à vélo au bord du canal avec des jeunes de banlieues tout en respectant les règles de jeunesse et sport et vous verrez!!!!! ). Ouvrir la question de l'euthanasie par le droit c'est ouvrir une brèche supplémentaire dans ce qui constitue l'intégrité personnelle et les avocats mercantiles ne manqueront pas de si engoufrer si bien que la prudence va prévaloir sur la décision.



Refusons simplement de condammner ceux qui décident d'une euthanasie et créons une loi cadre large pour laisser aux individus les plus compétents le droit d'agir en leur âme et conscience. Pour mieux situer mon propos, je me réfère à la protection de l'enfance: à force de légiférer et de respecter des logiques contradictoires, on a non seulement provoqué un phénomène de judiciarisation excessif mais aussi un phénomène d'injonction paradoxale préjudiciable à l'en,fant et parfois proche de la maltraitance administrative.
v
2008-03-20 06:05:21 UTC
Jusqu'à présent, le suicide n'est pas un délit! Lorsqu'une personne valide souhaite mourir, rien ne l'en empêche. Une personne très handicapée ne peut commettre cet acte par elle-même, je pense qu'il faut l'aider si elle le souhaite. En tout cas, on n'a pas le droit de juger cette volonté, comme la fait cette chère réac Mme BOUTIN qui estimait que Mme SEBIRE souhaitait mourir parce que son visage était difforme. Ce jugement de valeur est inacceptable.

Il est nécessaire d'encadrer cette procédure, pour éviter les abus, par exemple en reccueillant la volonté express de la personne par écrit, ou vidéo quand la personne ne peut écrire.

paix à Mme SEBIRE et à ceux qui vivent le même type de calvaire qu'elle.
Boutentouche
2008-03-20 05:58:05 UTC
C'est très intéressant... Toutes les réponses sont dirigées vers la souffrance et la liberté de choix... des personnes exterieurs... Dans les cas extrêmes, nous réagissons par compassion : elle a l'air de tellement souffrir...elle DOIT souffrir, alors. Je ne voudrais pas souffrir autant... Si j'étais à sa place , je mettrais fin à ma vie, je voudrais qu'on me laisse mourir...

Et pourtant, quand la chose nous arrive, le regard des autres nous deviens insupportable : vous ne savez rien de ma souffrance, elle est à moi, en moi, et vous ne pouvez que l'imaginer! Alors vous la transposez sur moi, et c'est la que je souffre. Je me sens tellement plus seul encore... Je voudrais mourir...

Je me souviens de ce témoignage fait par un médecin à propos de ces vieille personnes qui souffrent tant... C'est leurs proches qui les conduisaient à vouloir mourir, par culpabilité... Ou est le choix?

Aujourd'hui, notre société c'est : cachons notre vieillesse par la cosmétique... Refusons la mort... Refusons la douleur qui nous rappelle tant la mort. C'est tellement plus confortable d'oublier qu'un jour on ne sera plus là...
kwemou gilbert
2008-03-20 05:56:48 UTC
la loi sur leuthanasie doit etre abolie parceque nul ne connait la duree de vie de son semblable et dieu nous proscrit de tuer je pense que tuer c est oter la vie a autrui de meme que l euthanasie
monique
2008-03-20 05:34:36 UTC
je pense que la loi sur l'euthanasie doit etre revisée si seulement nous prenons l'exemple de madame sébire qui ets un cas extreme pour quoi lui refuser la paix le repos. il est vraie que le suicide est un délit et un peché mortel mais alors si c'est pour une bonne cause vaudrait mieux abréger les souffrances. mettons nous chacun dans la peau de cette femme qui a souffert pendant plus de 08 ans avec cette horible maladie. si elle a pu dire aurevoir à ses proches et causer avec son Dieu accompagnons la dignement dans sa dernière demeure.
marie lise d
2008-03-20 05:33:01 UTC
Oui, elle doit etre révisée. Une ou un malade est une personne à part entière. Nul n'a le droit de décider pour elle en quoi que cela soit
delta
2008-03-20 05:29:08 UTC
OUI, favorable, évidemment...si on ne possède qu'une chose certaine sur terre, c'est bien notre propre vie ( et donc notre mort), et la mort accompagnée, c'est tout de même + sympa psychologiquement que de devoir se suicider,avec la peur de se rater.
toinou
2008-03-20 05:20:38 UTC
Je pense que les personnes souffrantes, à vie, doivent avoir un droit de suicide. Mais que ce droit doit etre accordé par un juge apte. Car cette pratique ne doit etre appliquée uniquement aux personnes repondant à ce critère.
marcus b
2008-03-20 05:13:17 UTC
mettre fin a ça vie est vraiment une question trés personnelle

la question d'officialiser le meutre sur demande est une autre demarche

mais quand une dame qui ressent tant de soufrance nous explique qu' il faut se poser la question

alors là ça devient different

je comprends sont envie d'en finir mais est ce que d'en finir est une envie?
Elphaba
2008-03-20 05:03:49 UTC
oui la loie doit etre révisée

les medecins doivent definir les criteres des cas

extremes
Elsa P
2008-03-20 04:59:47 UTC
Je pense que tout le monde doit avoir le droit de choisir de mourir dignement et de dire stop à la douleur lorsqu'elle devient insupportable. La religion et la politique ne devrait pas intervenir là-dedans.

De toute façon les personnes s'indignant sur l'euthanasie sont soit très hypocrites, soit très naïves, cela fait des années que l'euthanasie existe dans les hôpitaux elle est connue mais pas criée sur les toits, en Suisse il y a même "Exit" qui accompagne les personnes souhaitant s'en aller.

La vie nous appartient, à nous et à nous seul. On a le droit de choisir comme la vivre, alors pourquoi ne pas pouvoir choisir quand dire stop?
cat c
2008-03-20 04:58:45 UTC
les cas extrêmes sont les cas incurables qui finissent de toute façon par mourir dans des conditions inhumaines.

c'est le choix de chacun, si le patient demande d'abréger ses souffrances, il n'y a que lui qui peut le demander et seulement lui.
DIDIER
2008-03-20 04:44:50 UTC
Le cas extrême est le moment ou après multiples examens médicaux.La médecine est impuissante et qu'il n'y a plus rien de possible pour sauver le malade à quoi cela sert de laisser vivre un personne qui souffre au lieu d'accorder son désire de partir. A ce moment cela n'est pas un crime. C'est un soulagement pour elle et la famille.
Jacqueline Bonzai
2008-03-20 14:50:22 UTC
Oui, cette loi doit être révisée dans le sens de nos pays voisins- Belgique, Pays-Bas, Suisse - Chacun doit prendre ses responsabilités dans la vie... et donc devant la mort. Chaque personne doit avoir le droit de décider pleinement de sa mort comme la liberté - garantie par notre constitution- lui a permis d'agir en son âme et conscience dans le respect des lois au cours de sa vie....et la vie c'est la mort. Donc la logique DOIT permettre à chacun d'être maitre de son destin comme il l'a été de sa vie. Il n'a y aucune différence la mort étant la conséquence inévitable de la vie.

J'espère avoir le courage de vouloir mourir dans un cas "extrème".
Badin E.
2008-03-20 12:14:33 UTC
Il est évident que la dignité de l'homme est une question essentielle. Et comme le soulignait déjà Marc Aurèle, ce n'est pas la quantité de vie mais la qualité qui fait une vie d'homme. Outre ces considérations, par lesquelles il est un devoir que de protéger l'homme de la souffrance, il reste à déterminer en quoi consiste la dignité humaine.



Assurément, la liberté en est constitutive. Et nous disons d'un être qu'il est libre en tant qu'il accomplit des "choix". Pour autant, celui qui se suicide affirme-t-il vraiment sa liberté? La société ne saurait reconnaître le suicide, en tant qu'il s'agit d'un "crime" contre soi-même. Mais, eu égard à l'euthanasie, n'est-ce pas préserver la dignité de l'homme que de lui accorder le droit de choisir ce qui préserve la qualité de sa vie?



La dignité de l'homme n'a jamais consisté dans la crainte de la mort. Et par la conduite des médecins qui se refusent à concevoir l'euthanasie comme un droit, c'est leur propre crainte de la mort qu'ils mettent en priorité devant la dignité de l'homme. N'est-il pas incohérent que de maintenir en vie des malades, contre leur grés, au seul motif d'une passion morbide par laquelle nous oublions justement de penser à la vie?



Partir dignement n'est certes pas le fait des animaux - pas plus des citoyens de France actuellement. Et malgré des siècles de réflexion, nous tardons à comprendre que: "respecter la vie, c'est aussi respecter la mort". Comprenons que enfermer autrui dans la durée ou dans l'état de simple vivant, c'est l'enfermer dans une condition animale. C'est oublier la pitié, la bienveillance, constitutives du lien social. C'est donc ne plus reconnaître le malade comme un membre de la société.



Ainsi, l'euthanasie suppose de penser la mort provoquée, non plus comme un crime, mais comme une interruption. Et cette interruption volontaire doit trouver ses fondements dans les termes qui définissent la dignité de la vie, mais aussi la dignité de l'homme.

Reconnaître à autrui le droit de mourrir dignement, c'est lui reconnaître autre chose qu'une condition animale. C'est aussi mettre en priorité la bienveillance, et non plus la crainte de la mort (à quel point il est désolant de voir des médecins respecter davantage leurs propres angoisses plutôt que le bien-être de leurs patients). Toute question éthique suppose que l'on pèse ce qui fait priorité (notre crainte de la mort, qui n'est qu'une passion, ou le bien-vivre des patients, qui est un devoir?).

N'oublions jamais que l'éthique est la discipline par laquelle les hommes mettent leur conduite au service du bien vivre de la condition humaine.



Amitiés,

Emilie BADIN (LEMAIRE).
pascale c
2008-03-20 11:54:21 UTC
Etant belge, quand j'entend que les pays qui ont dépénalisé l'euthanasie en reviennent ... je suis très sceptique sur cette observation.

Le nombre d'euthanasies n'a pas augmenté depuis notre loi de 2002, ce qui prouve bien que cette loi n'a pas ouvert une boite de pandore mais a seulement répondu à un besoin d'accompagnement juridique de personnes en détresse et de mise à l'abris des médecins qui les aident.

En Belgique le système est très règlementé:

1) La personne doit faire une demande volontaire réfléchie et répétée, il faut donc convaincre des médecins de l'opportunité de l'euthanasie (les médecins peuvent toujours refuser en raison de leurs convictions): la personne doit donner son avis, on ne peut pas prendre la décision à sa place. Il s'agit d'un CHOIX.

2)La personne doit être majeure, dans une situation sans issue, souffrir physiquement ou psychiquement de façon constante et insupportable.

3) L'euthanasie ne peut être pratiquée que par un médecin: pas le personnel d'une maison de repos, ou un membre de la famille et consiste en une injection léthale fournie en pharmacie (les pharmaciens peuvent refuser de délivrer cette solution en raison d'une clause de conscience).

4) Le médecin remplit des formulaires qu'il envoie à une commission chargée d'évaluer les conditions qui ont conduit à cette euthanasie (8 médecins et 4 juristes). Si une des conditions n'est pas remplie ou qu'il y a irrégularité, le dossier est transmis au procureur du Roi pour enquête.



Sur les 2038 euthanasies pratiquées et répertoriées depuis 2002 aucune n'a fait l'objet d'une enquête.



Le suicide n'étant pas incriminé pourquoi empêcher des personnes qui souffrent et qui se dirigent de façon irrémédiable vers une mort douloureuse de choisir le moment de leur départ et surtout que celui ci se fasse dans de bonnes conditions? A un moment, il faut arrêter d'être hypocrite!
fanny
2008-03-20 11:42:31 UTC
dans ce cadre-là seulement,la loi sur l'euthanasie doit etre révisée,car elle ne correspond plus à une époque de progrès scientifique et d'avancées morales ,et pour définir un "cas extrème",je dirais quand la dignité de la personne humaine n'est plus respectée,quand la souffrance physique et morale sont devenues tellement insupportables que la vie n'a plus de sens..et quand les limites de la médecine ont été atteintes et qu'il n'y a plus rien à faire..alors oui,il faut admettre qu'on peut abréger la vie de quelqu'un qui le souhaite et qui n'a plus le désir vital de continuer ..à vivre une vie qui n'en est plus une..
seb_91_14
2008-03-20 11:32:20 UTC
On euthanasie les animaux lorsqu'ils souffrent et on n'est pas capable de permettre au gens d'en finir lorsqu'il n'y a plus d'espoir ! J'ai honte d'être Français quand je vois ca !! Si Mme Boutin veut souffrir en fin de vie, c'est son problème, mais nous avons le droit de décider par nous même et de le faire dans des circonstances dignes ! je comprends la position des medecins, mais à la limite, si nous avions au moins acces à la dose qui nous permet d'en finir et que l'on puisse se l'injecter soi meme devant un medecin sans que le medecin n'est à faire le geste, je ne vois pas ou est le probleme, c'est un suicide assisté, c'est quand même mieux que de se tirer une balle dans la tête !! Apres, pour ceux qui ne peuvent pas se l'injecter eux meme, c'est le gros probleme, il faut faire une loi pour que nous puissions faire une demande d'euthanasie si l'etat atteint un niveau à definir !! (comme pour le don d'organe)
2008-03-20 07:53:36 UTC
Je pense que chacun doit avoir le droit de décider de son sort ! Si l'on commence a nous dire (dans ce cas) ce que l'on à pas le droit de faire, qui sait ce que l'on nous imposera par la suite ????
?
2008-03-20 07:23:31 UTC
oui elle doit être réviser quand vous prenez cas de chantal sébire qui a du je suppose .m'être fin a ses jours .puisque la loi a rejeter sa demande qui n'était pourtant pas compliquer elle demander juste le droit de mourir dans la dignité et non dans des souffrance inhumaine c'est seule avec elle même quelle est parti alors quelle aurais pue partir avec ses proche a ses cotés , je suis pour le euthanasie comme dans se cas et surtout ont n'a tous le droit de choisir sa mort et l'endroit ainsi que comment ,c'est notre vie et notre liberté, je trouve sa bizarre que il ni est pas eu plus de chose de dite sur sa mort , comme si ont nous cacher quelque chose et peut être que c'est le cas
François C
2008-03-20 07:12:25 UTC
2 choses:

1- La légalisation est toujours la voie de la banalisation! Alors, la loi est un garde-fous nécessaires pour empêcher n'importe qui de tuer ou de se faire tuer. Beaucoup de gens disent avoir déjà eu envie de se suicider et bien des années plus tard, ils pensent à l'énorme erreur qu'ils auraient faite...



2- Pensez aux médecins qui ne pourront plus refuser la mort à leurs patients et deviendront les bourreaux du 21ème siècle! S'ils ne veulent pas tuer, seront-ils condamnés...



Triste monde où l'on massacre les nouveaux nés, où l'on veut tuer les personnes âgées ou souffrantes et où bientôt on tuera tous ceux qui ne rentreront pas dans les critères du moment. C'est le retour des spartiates!



En ce qui concerne Mme Sévire, elle a vécu une histoire monstrueuse que je ne souhaite à personne. Cependant, d'autres auraient retrouvé espoir si on avait su leur faire comprendre qu'ils ont encore une place parmis nous. Même défiguré et malade, on fait partie de la société, et à ce titre on peut (et on doit) encore vivre, rire et faire le bien... N'est ce pas à nous changer notre regard sur les mal-portants plutôt que de les laisser comprendre qu'il sont de trop...?



François C.
dauphin34_fr
2008-03-20 06:15:29 UTC
OUI, cette loi doit être réviser pour les cas "extrêmes" et surtout si elle émane directement du patient contient et en possession de ses pleines facultés mentales. Tout être humain a le droit de choisir sa vie mais aussi sa mort dans la dignité s'il pense que son état le fait ou le fera trop souffrir et par delà, fera souffrir sa famille.

Un cas extrême est celui dont a été victime Vincent HUMBERT, c'est à dire rester à l'état végétatif, aveugle, mais ayant toute ses facultés mentales.
koné s
2008-03-20 05:59:59 UTC
Je pense que le plus grand problème de la société occidentale (pour ne pas dire européenne) de no jours est qu'elle tourne le dos à la réligion. contrairement à ce que beaucoup d'entre nous pensent nos vies ne nous appartiennent pas car c'est Dieu dans son infinie bonté qui attribue la vie. elle t'a été donnée par Dieu et à ce titre aucune loi sur terre ne peut décider de te la retirer sous prétexte de souffrance. Si elle doit t'être rétirée, l'islam l'autorise par voie judiciaire mais à condition que la personne ait aussi ôter la vie d'un autre. le christianisme non plus n'autorise l'euthanasie. Revenez vers Dieu vous les européens. aucune souffrance ne peut justifier l'euthanasie. donc je suis contre la révision de la loi sur l'euthanasie.
id
2008-03-20 05:57:37 UTC
Oui la loi d'être modifiée. Nous n'avons pas le droit de laisser des personnes souffrir. Prendre une décision aussi importante, la personne concernée a du réfléchir et souffrir sur son choix. Mais lorsqu'il est trop dur de vivre dans un état de souffrance continu nous devons laisser cette personne aller jusqu'au bout de son souhait. Car sinon la science et nous même sommes responsable de cette souffrance. Chacun à le droit de faire ce qu'il veut de sa vie si cela ne met pas en danger autrui, sinon nous devenons égoïste. D'autres questions peut être posées jusqu'où pensez vous supporter la douleur ? Que souhaiteriez vous si cela vous arrivez ? Devons nous être des cobayes pour la science ?
Nicolas B
2008-03-20 05:44:42 UTC
comment quelques mots sur un bout de papier peuvent decider de notre vie.... c'est vraiment lamentable. Je suis pour l'euthanasie pour tout les cas concernés apres reflexion des medecins, de la famille et surtout du malade. L'affaire Humbert n'a t-elle pas assez débattue sur le sujet pour se reposer la question aujourd'hui? Messieurs les ministres, laissez un peu vos lois de coté pour une fois, et prenez cette affaire comme si elle vous concernait directement, votre choix n'en sera que meilleur. a bon entendeur.
laderabi83
2008-03-20 05:43:24 UTC
OUI, il peux y avoir des cas extrèmes,lorsque c'est le désir absolu de la patiente,lorsqu'elle souffre,lorsque plus aucun espoir n'est perçu au niveau médical,avec l'accord de la famille et avec le consensus d'un conseil médical de plusieurs membres, je suis pour l'Euthanasie
2008-03-20 05:31:03 UTC
Le cas extrême: quand il n'y a plus d'espoir.

Il n'y a plus d'espoir quand la médecine à reconnu son insuffisance de connaissance pour rétablir la santé d'un patient, ou éviter une aggravation des souffrances.

Alors encore faudrait-il que tout ai été tenté, même l'impossible. Si une opération, même donnée sans espoir devait échouer, il n'en résulterait que la volonté du patient celle de mourir.

L'euthanasie ne deviendrait elle pas la solution à un coût prohibitif de soins pour un cas isolé?

Si, au vues des réponses le recours à l'euthanasie semble ne plus choquer autant que par le passé (après une médiatisation soignée et inévitable TV, Presse, internet.... impossible d'avoir échapper à l'histoire de Chantal Sébire),

va t-on passer à l'étape suivante après une médiatisation tout aussi soignée d'un cas bien choisi et voir sur yahoo d'ici quelques années la question:

Un cas sans espoir peut-il être euthanasié pour le coût qu'il représente à la société?

Le moral d'un chirurgien qui tente l'impossible pour sauver la vie d'un patient sera t' il aussi affecté en cas d'échec que s'il avait injecté la dose mortelle?

Qui va prendre la responsabilité de donner la mort?

Je ne parle pas là de signature en haut lieu, mais de celui qui va exécuter; Et peut-on demander au patient de s' auto-exécuter ?

Je ne pense pas qu'une simple loi suffise à répondre à ces questions.
2008-03-20 05:25:03 UTC
OUI cela doit etre revisee.

Definition a mon avis personnel, quand il n'y a plus d'espoir de vie vraiment en fin de vie peut etre quelques jours voir un peu plus si la personne souffre physiquement et bien sur moralement car je pense qu'elle est consciente de son etat.

Partir en douceur sans ce rendre compte



Voila j'essaie de donner un point de vue parmi

d'autres.

Bon courage pour prendre cette dure decision!
Benedicte P
2008-03-20 05:19:21 UTC
Une personne qui souhaite l'euthanasie oblige son entourage à devenir meurtrier, est-ce acceptable?

Un homme (ou femme) a-t-il droit de mort sur un autre à cause de ses souffrances?

A-t-on le droit de tuer par compassion?

Faut-il aider à mourir toutes les personnes ne supportant plus leur vie (notamment celles faisant une tentative de suicide)? Et la vie dans tout ça?
louloute
2008-03-20 05:14:42 UTC
c'est un problème extrêmement délicat et douloureux. En effet si on légalisait l'euthanasie, ne faudrait-il pas craindre certains abus ? Il n'est pas aussi facile que cela de demander, même au corps médical, de participer à l'euthanasie. Mais nous avons la ressource d'aider à soulager la souffrance et je crois que c'est dans ce sens qu'il faut évoluer. J'ai travaillé^plus de 40 ans dans le milieu médical pour être certaine que l'euthanasie n'est pas l a solution aux souffrances.
degri b12
2008-03-20 05:04:19 UTC
elle doit etre autoriser car le refut des institutions dans notre pays doit ertre revu
gordon
2008-03-20 05:01:49 UTC
l'hopocrisie ne résoud rien, certains docteurs se protogent derrière le code de déonthologie tout en restant impuissant devant l'agonie incurable du patient, tandis que d'autre docteurs osent le pas

même si l'euthanasie est immorale pour certains alors aidont les malades incurrable en surdosant les morphines et en ne s'acharnant pas sur leur cas

Amis docteurs vous n'êtes pas infaillibles imaginez que ce soit votre enfant et que toutes les solutions ont été utilisées

avez vous encore le droit de vous acharner?
Mehra a
2008-03-20 04:55:59 UTC
oui, ce gens souffre, il faut pas les abondée
eridan_404
2008-03-20 16:41:02 UTC
Malheureusement je suis contre l'euthanasie mais il est clair que des individus tels que Chantal Sebire, Vincent Humbert et tous ces anomymes, affectés par une souffrance morale & physique paroxystique, pourraient et devraient bénéficier d'une euthanasie active en accord avec le corps médical/paramédical, le conjoint et/ou les membres les plus proches de l'intéressé qui reste bien evidemment au centre de la décision.

Hélas même si des commissions seraient instaurées pour définir ce qu'est un cas extrême, j'ai bien peur que sur le long terme il y ait des abus, des dérives et surtout je crains qu'il y ait inconsciemment un manque de motivation à vouloir sauver un individu en situation d'état critique.

Je suis infirmier dans un service de soins intensifs post-chirurgicaux, ils nous aient déjà arrivé de laisser mourir un patient en accord avec le chirurgien, l'anesthésiste et bien evidemmment la famille de ce patient plongé dans un état comateux. Je précise que nous n'avons administré aucune substance qui aurait pu provoquer le décès brutal du patient. Nous avons arrêté toute surveillance et actes purement médicaux au profit de soins dit de confort accès sur le bien-être et le traitement de la douleur. Le patient est décédé 72 heures plus tard apres 1 mois de thérapeutiques et de soins destinés à lui rendre un bon état général.

Pour ma part l'euthanasie se résume en une seule phrase : il faut toujours essayer mais il ne faut jamais s'acharner.

Pour prendre la bonne décision, je pense qu'il faut bien connaître l'historique de la souffrance vécue par l'individu, mais il faut aussi savoir évaluer sa souffrance actuelle et savoir faire preuve de clairvoyance pour savoir si celle-ci va évoluer de mal en pis. D'où l'intérêt d'avoir de multiples avis.

Vous l'aurez compris, je préconise une euthanasie passive et je refuse une quelconque légifération & légalisation de l'euthanasie dans son sens propre pour se préserver des dérives. Il n'empêche que je garde à l'esprit que bien des personnes mériteraient que l'on abrège leurs souffrances.

C'est pour cela que je crois plus au développement et à l'amélioration des soins palliatifs que ce soit dans les services ou à domicile plutôt qu'à l'administration d'une injection de potassium fatale.
2008-03-20 13:28:11 UTC
Je pensse que la mort est la meilleure solution dans de tel cas de souffrance malheureusement ...
lydie a
2008-03-20 12:47:41 UTC
je pense que chacun est libre de choisir dans des cas comme la maladie pour partir dans la dignité et sans souffrir surtout et que bien sûr qu'il n'y ait plus rien à faire personne ne doit émettre de jugement dans ces cas .
bouallaga.rachida
2008-03-20 11:47:01 UTC
oui, on doit autoriser la loi sur l'euthanasie.

souffrir avec une maladie incurable c'est inhumain.

c'est nos vies, pourquoi la justice veut d'elle tout contrôler.

Nous sommes assez grand pour choisir si on veux mourir ou pas, surtout si on sait que notre vie est finie. Laissez nous choisir et rejoint l'au delà sans demander la permission de mourir. il faut que la justice tranche du bon côté et qu'elle fasse une loi juste et honnête envers les familles et la loi.
yaladin
2008-03-20 11:28:41 UTC
Et quid de la souffrance morale ? la personne qui a perdu ses enfants et qui doit se lever tous les jours pour souffrir de leur absence ? Peut-elle, elle aussi, prétendre à "partir dignement" ?

Si on légifère sur l'euthanasie active, comment pourra-t-on en définir précisemment "l'éligibilité" ?
Christelle R
2008-03-20 11:06:32 UTC
Je pense tres sincerement qu'il est preferable de revoir la loi sur l'euthanasie pour les cas extremes.

En effet,il y a 2 ans mon pere est decede d'un cancer de la gorge, il a souffert atrocement durant 3 longues annees.J'essayais d'etre le plus possible a son chevet.Il n'avait plus l'usage de sa voix et communiquait de ses mains tremblantes sur une tablette a feutre.

Sa souffrance etait telle que durant ses derniers mois de calvaire, mon pere a reclamé a plusieurs reprises d'etre euthanasié mais en vain car personne ne pouvait faire quoi que se soit pour le soulager un peu...La morphine ne faisant plus effet...

Mon pere est decede le 28 Novembre 2005 et lorsqu'il s'est eteint, est apparu sur son visage et ce pour la premiere fois depuis longtemps un leger sourire, comme pour nous dire: "J'ai fini de souffrir."

Alors pour repondre a votre question, OUI! il faut revoir cette loi car personne ne merite de souffrir ainsi!

Un cas extreme est tout simplement reconnaitre une personne capable de prendre sa propre decision.

Pas une decision prise par un menbre de la famille, ami, ect mais par la personne elle meme tant qu'elle en est encore consciente.C'est leur choix et ce n'est pas a vous ou a d'autres d'en decider autrement...
nyanco
2008-03-20 08:05:04 UTC
On n'a paschoisi le jour de notre naissance et on ne choisira non plus le jour de notre décès . A abolir cette loi sur l'euthanasie ,ce n'est pas de notre compétence de supprimer une vie que nous n'avons pas créer.
ben
2008-03-20 06:48:45 UTC
Je suis totalement contre.

Il n'y a, pour moi, aucune dignité à mourir euthanasié.

Je le ressent plus comme un suicide assisté, due souvent à une souffrance morale alimentée de manière exponentielle par une souffrance physique. Je crois que le rôle de chacun est bien plus d'aider ces personnes souffrante a vouloir vivre et surmonter les épreuves que de les encourager à provoquer leur mort. Personne ne peut décider de naître, de connaître ce don de la vie. je ne vois pas pourquoi on pourrait se permettre de décider de notre mort.
AnneCath
2008-03-20 06:10:15 UTC
L'homme n'a pas le droit de vie ni de mort sur son égal, que ce soit avant naissance (avortement), après (suicide, euthanasie, condamnation à mort, meurtre) et ceci car c'est un principe de vie et de loi naturelle contre lesquelles l'homme ne peut agir sans en subir les conséquences dans les fondements de la société toute entière (enfanticide, fratricide, homicide et.......deicide !!) L'homme doit sortir de son égoisme en vivant pour les autres et non pas pour lui. C'est ce que nous rappelle cette semaine des fêtes de Pâques : victoire de la VIE sur la mort et ceci éternellement !!
ali r
2008-03-20 06:04:08 UTC
pour moi ,non

y a que dieu qui donne ou qui hote une vie humaine,malgrès les soufrances,et pas les hommes.

et tout acte contraire à ça est un suicide pour moi
omallstars1384
2008-03-20 06:04:01 UTC
c trés clair, si quelqu'un prend la vie d'autrui c'est à dire l'assassine, cette acte sera considérai comme un crime et puni d'une peine de prison mais dans le cas où la personne elle même décide de mettre fin à ses jours cela change tout,pour avoir étais dans plusieurs centres pour personnes handicapé,croyez moi cela peut etre dégradant et horrible de vivre avec un lourd handicap.

Je suis pour la révision de la loi sur l'euthanasie,je suis pour légalisé leuthanisie mais pour cela les conditions suivantes devront etre remplis à savoir:

1 - Une bonne raison d'avoir pris cette décision

2 - Constaté par plusieurs professionelles de la santé si une

évolution est possible.

3 - Estimé de maniére précise la souffrance endurer

3 - pratiquer l'euthanasie dans de bonne conditon



je suis pour légalisé l'euthanasie mais cependant donner un accés restrait et etre intransigeant sur ça
liyiah94
2008-03-20 06:03:56 UTC
Dès l'instant où le malade souffre il est en droit de demander la fin de vie. Sa vie et son corps lui appartiennent. Je trouve injuste que l'on refuse d'abréger une souffrance, c'est du pur égoïsme.
2008-03-20 06:01:38 UTC
oui, je pense que cette loi doit être modofiée, quand la maladie est irréversible. le systhème suisse me parait être une bonne définition pour les maladie incurable, respecter la dignité humaine en évitant la trop grande déchéance.
lily6914
2008-03-20 05:57:45 UTC
OUI, oui et encore oui !



De toute manière on ne peut empêcher une personne de mourir si tel est son désir alors autant le faire dans la dignité comme ces gens là le demandent !



Respectons leurs douleurs et aidons-les à partir en paix pour eux mais aussi pour leurs proches. Le suicide fait très mal à ceux qui restent, ce n'est pas une mort naturelle, elle est très difficile à digérer.



Alors oui.
Fishie
2008-03-20 05:40:17 UTC
Seulement pour les cas extrêmes où il n'y a plus aucun espoir et où la douleur est impossible à réprimer.

Si une réforme sur l'euthanasie doit se faire il faut que son application soit très encadré et réserver vraiment à quelques cas.



La vie c'est important la médecine est la pour la protéger, cette loi ne devra s'appliquer que quand la médecine sera impuissante et le malade souffrant énormément... Et encore, beaucoup de malades souhaites ce battre jusqu'au bout, malgré la douleur.
katya k
2008-03-20 05:36:16 UTC
oui je suis d'accord c'est sa vie mais le dieu refuse de se tuer
movewoman03
2008-03-20 05:33:27 UTC
bien sur que oui c'est n'importe quoi cette loi, quand on souffre, le pire c'est de ne rien faire, c'est affreux, il faut que chacun ait le choix pour l'euthanasie. ca se voit que ceux qui ont fait cette loi ne sont pas concernés.

oui le droit à l'euthanasie
jorund
2008-03-20 05:29:35 UTC
Il faut la réviser, c'est certain, il ne faut pas abuser de la loi, il faut l'adapter, mais en même temps qui peut se permettre de juger jusqu'à quel point une personne qui souffre à le droit de mettre fin à sa vie? c'est une décision qui revient à la personne concernée.
Sabrina F
2008-03-20 05:26:12 UTC
Pour moi la loi doit être révisée car laisser les gens souffrir c'est dégoûtant surtout que si sa arrivais a quelqu'un de l'heure famille il voudrai le faire
tanari s
2008-03-20 04:58:03 UTC
on se doit de respecter la vie, on se doit de respecter la mort

Il est toujours dramatique de perdre un être, mais quel drame d'assister à la souffrance d'un être humain. il est d'un devoir universel d'aider de soulager les personnes desirant le passage vers .... De quel droit devant un tel cas de souffrance pouvons interdire à une personne qui a donné la vie, qui a été aimante qui est entouré des siens de partir dans la dignité..ne serions nous pas inhumain, je souhaite de tout mon coeur que cette courageuse Maman soit enfin heureuse ou elle se trouve, et que sa famille puisse être soulagé de cette torture quotidienne, que toutes vos pensées vous unissent à tout jamais...
kiloulouki
2008-03-20 13:10:48 UTC
oui je pense que nous devons la réviser. Comment pouvons nous nous satisfaire de la solution moins radicale mais plus atroce que propose la loi leonetti. Quand il n'y a plus d'espoir, que la medecine a épuisé sa science, que la souffrance devient intorable, quand la personne condamnée exprime le souhait de partir dans la dignité et entourée de ses proches, comment peut t-on lui répondre que sa seule option est d'attendre dans la douleur physique et psychologique le dernier souffle.

Je pense à Chantal Sébire et regrette qu'elle n'ai pas eu le temps de mener son combat à la victoire. En l'honneur du courage de cette femme nous devons faire évoluer les choses et déranger les convictions de certaines personnes en bonne santé qui se permettent de parler à la place des gens desespérés.
twanny
2008-03-20 11:19:20 UTC
c'est évidemment!!! j'ai eu ce cas dans le milieu hospitalier il y plus de 40 ans La pauvre femme souffrait, la nature à fait son oeuvre en rongeant la carotide ...Celle ci a explosée le jour de noël, en plein repas!!! l'horreur pour la malade et son entourage...Il est préférable que l'on arrête les souffrances avant d'en arriver là! ne faisons pas ce que nous avons reproché à certaines équipes médicales nazis
Maurice B
2008-03-20 11:06:54 UTC
Je suis pour que la loi reste telle qu'elle est , même si certains veulent une autorisation legale de "tuer", il y a trop de risque de dérapage
Michel B
2008-03-20 05:26:03 UTC
Non la loi Novelli ne doit pas etre revisee mais appliquee.

On ne legifere pas sur des cas extremes. Il y aura toujours des cas limites dans quelques domaines que ce soit.



Michel bernard
herylae
2008-03-20 05:09:00 UTC
Il me semble que quand la personne demande à mourir et qu'elle sait que de toute façon sa maladie est incurable, la société à le devoir d'aider cette personne à partir dignement.

Je pense que la loi doit être révisée dans ce sens, là il ne s'agit pas de choisir pour la personne mais d'accéder à sa demande. Il n'y a rien de pire que de voir quelqu'un que l'on aime souffrir alors qu'elle demande à s'en aller.
?
2008-03-20 05:02:34 UTC
oui cette loi est indispensable. Une personne saine d'esprit et gravement atteinte d'une maladie incurable devrait pouvoir demander sa mort pour abréger ses souffrances, mais aussi, pour éviter une hospitalisation (cout d'une semaine !!!). c'est un suicide assisté. Le mot euthanasie fait "animal", suicide assisté sera plus toléré. J'ai connu une dame, dans une maison de retraite qui a vécu plus d'un an dans son lit, transfusée pour manger, elle ne parlait plus, n'entendait rien, passée son temps a regardé le plafond, si c'est ça la fin de ma vie autant mourir quand je le veux.
2008-03-20 04:44:52 UTC
oui, on doit réviser la loi, lorsque des personnes souffrent et qu'elles souhaitent partir dignement, je pense qu'il faut les aider. De plus je pense personnellement que certaines personnes servent de "cobaye" pour la médecine et c'est guère mieux !
stephanie
2008-03-20 06:56:10 UTC
Chacun a le droit de vivre dignement sa vie comme sa mort, d'où le droit de choisir de mourir:je suis pour la dépénalisation de l'euthanasie pour les cas extrêmes déterminés par le corps médical, ou à la demande du patient face aux souffrances physiques et morales.
2008-03-20 06:05:06 UTC
...............................

Quelle question .....

Pourquoi vous posez-vous cette question?

Quelqu'un qui veut mourir meurt, c'est à lui de décider, c'est sa vie...! Vous êtes un peu bêbête je crois (sans vouloir vous offenser...). Comme on dit,.. il se suicide! Faut qu'ils arrêtent de demander l'aide des autres pour mourir, bordel. Non, mais sérieusement. On est où là?... S'il veut mourir, il meurt, il se tue... Tout simplement.. C'est dommage pour lui, mais il fait ce qu'il fait ce qu'il veut de sa vie.. C'est la sienne. Personne ne peut/doit décider pour lui..

Désolé pour mon ton, mais toujours poser des questions dont vous avez la réponse (peut-être inconsciemment), me paraît un peu, .. bon.., décalé,. je dirais..

Cordialement,
danyce
2008-03-20 05:52:01 UTC
Oui la loi doit-être révisée lors d'un cas extrème afin que la dignité du malade -si tel est son choix et conforté par les éléments du corps médical- soit respectée.

Tout être a des devoirs envers la communauté mais a également le libre arbitre de sa vie donc de sa mort , si souffrance et mort sont irréversiblement proches.

Acceptons d'envisager l'euthanasie si telle est la demande 'consciente' et voulue de l'être humain qui désire rester droit et digne devant les siens et devant soi-même .



Arriver à vouloir sa propre mort quand on préfèrerait rester avec les siens et être sain est une requête certainement difficile parce que sans possibilité de retour aussi nous nous devons de comprendre et de réviser notre loi sur l'euthanasie .

Et cessons -comme la France c'est à dire les francais savent si bien le faire 'les parlottes, l'analyse en profondeur du nombril, bref de faire du vent .. ' nous pourfendeurs des Droits de l'Homme' !

.
le20e
2008-03-20 05:48:04 UTC
je ne suis pas pour l'euthanasie et il n'y a pas de cas extrême.

Si quelqu'un veut mettre fin à ses jours, il peut le faire, et ce, de différentes façons, sans avoir besoin d'une loi spécifique pour cela.



En outre, si l'on considère que le cas de C. Sébire est extrême, il reste grave de donner la mort comme solution. En effet, sa maladie était incurable, car elle était rare. Or on donne du budget de recherche pour les maladies les plus fréquentes.

Alors si on donne la mort comme solution à cette maladie rare, on hypothèque toute recherche sur cette maladie à l'avenir, ainsi que pour toutes les autres maladies rares.



En outre, nous sommes dans un monde qui a de moins en moins d'espoir. La mèdecine est un des derniers espoirs des hommes, les guérissant en cas de pépin. Si on propose la mort comme solution, on retire un des derniers espoirs humains.



La honte, c'est de ne penser qu'à la mort comme solution.

L'hypocrisie, c'est de demander une loi pour quelque chose qui n'en a pas besoin.
awesome
2008-03-20 05:06:57 UTC
oui surement mais alors bien ficellée...
patrice a
2008-03-20 05:06:54 UTC
Oui sans aucun doute, qu'on nous laisse au moins le choix de disposer de notre vie dans ce monde d'interdit. Quand ces politiques décident de faire la guerre, ils ne se préoccupent pas des victimes. Y en a marre de "faites ce que je dis et pas ce que je fais"
pedro60570
2008-03-20 05:05:54 UTC
oui je pense qu'il faut absolument revoir cette loie et traiter les cas un a un
Jujuthequeen
2008-03-20 05:03:46 UTC
Pour ma part, je suis pour l'euthanasie dans une certaine mesure. Comme tu dis, la loi pourrait être révisée de façon à éviter des douleurs et souffrances au malade. Je ne demande pas de pouvoir tuer quelqu'un mais de soulager sa souffrance. Si en tournant un bouton et en augmentant la dose de morphine d'un patient il s'endort et ne se réveille plus, cela ne me choquera pas. En effet, bien sur, je parle dans le cas ou par exemple le patient le souhaite, et ne peut plus vivre autre part que dans un lit d'hôpital et surtout qu'il souffre.

Il y a eu un livre intéressant il y a quelques années en rapport avec ce sujet (je me demande même si un film n'est pas sorti) : le scaphandre et le papillon. Un homme après un accident cardio vasculaire, est resté quelques années alité, ne pouvant bouger que la paupière d'un œil, mais ayant toujours ses facultés mentales. Je ne me rappelle plus exactement le bouquin mais c'était rempli d'émotion.

Moi par exemple, si j'avais été dans son cas, je crois que j'aurais souhaité mourir. Les proches souffrent autant que nous si nous sommes souffrants. Et on nous laissant partir, on les soulage d'un certain poids également.
Adriana F
2008-03-20 05:02:49 UTC
Il faut reviser la loi ça c est sur!!!!! rien ne sert de se voiler la face et de faire les hypocrites sur ce sujet...suis tres peinée pour Chantal qu elle n ait pas pu terminer sa vie au milieu des siens

Messieurs et dames responsables de notre pays prenez vos responsabilités pour une fois.....
aidiop
2008-03-20 04:50:12 UTC
je pense que cette loi ne doit pas etre revisée;la médecine doit sauver la vie et non donner la mort!

Nous souhaitons simplement que les recherches se poursuivent pour trouver des traitements à toutes ces maladies qui dégradent l'etre dans sa chair et sa structure humaine.
chti
2008-03-20 04:44:45 UTC
C'est terrible pour cette femme qui a souffert le martyre. Mais il est vrai que c'est assez délicat comme question. Personellement, (j'ai perdu mes parents qui ont aussi souffert), je me serai pas vu en train de leur supprimer la vie même s'ils me l'auraient demandé, d'ailleurs, c'était contre leur volonté. Je suis resté près d'eux et continuaient à leur parler, leur tenir la main pour afin qu'ils ne partent pas seuls . Je pense que celui qui le fait, peut-être portera-t-il le poids toute sa vie d'avoir abrégé les souffrances d'un proche même si c'est fait dans un but de dignité et d'amour. Il ne faut pas oublier que le personnel soignant entoure les proches du malade du mieux qu'ils peuvent mais leur vocation est de sauver des vies et non de les supprimer! Sujet à longue discussion !
2008-03-20 04:36:40 UTC
Tout à fait pour l'euthanasie



Quand la personne est condomnée, et qu'il n'y a vraiment rien à faire, cette personne devrai tout à fait avoir le droit de mourir par euthanasie, et je dirai meme qu'elle devrai pouvoir choisir si elle le souhaitée son "jour J"



Le seul truc qui me gène c'est que sa vas devenir un vrai buziness juteux, et l'injection létal ou la boisson mortel coutera la peau des fesses.



Je sais plus ou c'est, mais dans un pays l'euthanasie coute à la personne concerné la baguatelle de 7000 euros !!



Il faut arreter de déconner et prende les gens pour des cons ! Ou va-ton si faux encore payer pour mourir en paix !! Un peux de déscence quand meme !



A se prix là je preferais me jeter d'une falaise, au moins sa pardonne pas et surtout c'est gratuit !!!
veronique b
2008-03-20 04:14:09 UTC
un seul mot "OUI" si on ne choisit pas le jour de sa naissance, on doit avoir le droit de décider de son Départ !
selminou
2008-03-20 05:51:48 UTC
Oui

La souffrance est personnelle, personne ne pourra la ressentir a ta place.

Oui, mais attention a la législation mourir dans la dignité a SA demande et non celles d'autrui
liline085
2008-03-20 05:51:47 UTC
bien sur qu il faut prendre des mesures de quel droit laissent ont souffrirent des personnes qui ne demandent qu a mourir laissons leur au moins se choix l euthanasie est utilisée pour des animaux mais que sommes nous "des mammifères" arrêtons de s acharner dans des cas extrêmes et surtout si le patient le demande laissons leur au moins la dignité de mourir en paix sans souffrance
2008-03-20 05:48:47 UTC
je suis100 /100 pour quand un animal est malade on ne se pose pas temps de question tout le monde trouve cela normal
christian b
2008-03-20 05:45:40 UTC
A l'heure de l'Europe n'est il point temps de coordonner les législations ? Belgique , Suisse , Pays-Bas .Nos animaux de compagnies en fin de vie sont mieux traités . C.B.
cocotier
2008-03-20 05:08:17 UTC
Quelle honte d'avoir refusé à cette femme le droit de mourir dignement ! Mesdames, Messieurs, vous tous qui dites NON, je ne vous souhaite pas la moitié de la souffrance que Chantal Sébire ainsi que toute sa famille a subit.



Il est temps d'évoluer !!
l'hermine
2008-03-20 04:53:42 UTC
je pense que la Vie n'est pas un jeu, nul ne peut savoir ce que Autrui ressent vraiment... Souvent dans la soufrance vient la désespérance...

Personne ne peut prédire des progrès de la Science, et des chances de guérison.
Arphidan M
2008-03-20 04:50:05 UTC
Bonjour.

Au lieu de parler de "réviser la loi sur l'euthanasie", ne pourrait on pas, pour apaiser la polémique, se tourner vers les solutions 1) d'une autorisation faite aux médecins de soulager un patient, quelle que soit la dose de médicaments à prescrire et même si cette dose s'avère léthale (la loi autorise d'ailleurs je crois cette pratique) ;

2) et de la non exposition aux poursuites judiciaires et pénales, d'un médecin appliquant un traitement conduisant au décès du patient, et pouvant être requalifié par la législation en vigueur, d'euthanasie.

En tout état de cause, il faut renforcer la lutte contre la douleur surtout dans les cas extrêmes comme celui de Madame SEBIRE, paix... enfin, à son âme, cas dont l'issue fatale est mainte fois avérée.
daniel m
2008-03-20 04:49:41 UTC
Non , certes les lobby proeuthanasie veulent profiter d'une souffrance rélle et de cette mort pour remettre le débat et imposer leur vue. La loi léonetti a déja fait ce qui est mieux en cette matière. De toutes les facons chaque cas est une souffrance pour la personne et la famille , donc une extreme. Ou on n'autrorise pas l'euthanasie ou l'autorise. Qui appreciera les cas extreme: les medecins? la personne ou les Familles? Le risque c'est d'ouvrir une vanne qu'on ne saura pas fermer. Jusqu'ou on peut aller avec ces notions de liberté? finalement les gens seront libres de tout faire meme de tuer leurs propres enfants . Il faut arreter!Mes condoléances à la famille de la disparue.
lunacy
2008-03-20 04:46:20 UTC
Vraiment difficile...d'un coté il est vrai qu'une vie de souffrance reste aux yeux de celui qui la vit inutile, du moins je l'imagine, et apres tout elle lui appartient.

Mais créer une loi pour permettre de mourir...c'est delicat, rique de derives, risque d'evaluation juste, et puis, une envie n'est pas forcement durable, alors que la mort ...quand c'est fini c'est fini on e peut plus changer d'avis.

Une loi je suis contre, mais je suis contre l'acharnement therapeutique quand on sait que c'est perdu d'avance ou que la vie d'une personne se reduira à une souffrance ou à neant.
2008-03-20 04:46:00 UTC
Il n'y a pas de cas extrême, c'est une gageure. Comment pourrions-nous définir un cas extême dans un domaine aussi sensible, qui relève presque exclusivement de la sensation de chacun face à la souffrance.

Accompagnons les souffrants, posons des regards humanisés, donc simplement humain sur les personnes et leur souffrance.

Tuer quelqu'un, même qui le réclame, c'est évidemment perturber tout son entourage et empêcher que le chemin s'achève là où il doit s'achever pour les uns et les autres. Nous ignorons tout de cequi peut se jouer dans les dernières heures de la vie de quelqu'un, pour lui-même et pour son entourage. De quel droit stopperions-nous le processus avant son terme propre ?
Sam 19
2008-03-20 04:45:45 UTC
En tout cas moi je ne peux pas dire oui à une loi qui permet de tuer une personne même si ce dernier le veut .Et personnellement je crois qu'on doit s'accrocher à la vie jusqu'au dernier moment.
cibousse
2008-03-20 04:42:18 UTC
pour moi je dis non tout simplement par ce que c'est pas a nous de decider de vivre ou de mourir, dieu seul peut decider si on doit mourir ou vivre , ya des gens qui sont arrivés au point de mourir et il sont revenu a la vie comme si de rien n'etait , donc lorsque on est malade on sait pas si on peut s'ensortir ou pas, meme dans les cas les plus extreme!! car sinon avec le temps ça va pousser les gens a pratiquer l'euthanasie de plus en plus !! ce qui veut dire arreter d'essayer de trouver une solution aux malade tres grave
alex
2008-03-20 04:41:33 UTC
être ou ne pas être?
jojo
2008-03-20 04:41:04 UTC
Bonjour,

Grave question qui nous dépasse de très loin.

Un sondage, simplement: 95% des personnes qui désirent mettre fin à leur jour y renoncent dès lors qu'on leur apporte des soins paliatifs...Tout cela me semble encourager la solution finale : on bute les enfants qui gênent, on bute les vieux qui gênent et on garde les meilleurs....sur quel critère d'ailleurs? bel exemple de tolérence française et occidentale!

Au lieu de réfléchir à la meilleure façon de vivre (à mon sens, c'est dans ce sens que va la médecine), on est dans un environnement où tout est fait pour encourager la mort, ce qu'on appelle une culture de mort....dès lors, comment en vouloir aux malheureux qui se suicident, ils sont désespérés!

Bien à vous
petitevague
2008-03-20 04:36:43 UTC
oui bien sur a quoi ça sert de laisser quelqu'un souffrir en sachant que cette personne va obligatoirement mourir ;quant la personne est consciente on peu lui demander son avis faire bien sur des con troles avec les médecins analyse et autres .quant il n'y a rien a faire pourquoi mourir dans des souffrances atroce.
2008-03-20 04:36:36 UTC
oui la loi doit être révisée pour les cas extremes. Assez d'hypocrisie.

Un cas extreme est un cas incurable provoquant d'énormes souffrances physiques qui ne peuvent être réduites par la pharmacopée actuelle si ce n'est le sommeil artificiel type anesthesiant. Autant dire la mort.

Dans ces conditions le malade en toute connaissance de cause doit pouvoir décider.

Si le malade n'a pas toute sa conscience c'est un conseil de famille aidé par des médecins spécilistes qui doit pouvoir prendre cette décision.
2008-03-20 04:36:24 UTC
il est évident qu'il faut faire quelque chose ! tous les soignants le savent ! il est dommage que la France est autant de retard que cela ! respectons la dignité des malades incurables ! il faut que les politiques aient des "couilles" encore dans ce domaine ! quelle société où tout le monde se cache derrière la Justice si injuste !! ce n'est pas une question d'étiquette mais de COURAGE pour eviter le MAL A DIRE .......
Laroque C
2008-03-20 04:36:19 UTC
J'estime à mon avis, que si l'on demande à mourir quand on souffre, est la moindre des choses que l'on puisse accorder au malade pour lui laisser une part d'humanité dans ses derniers moments. C'est un choix personnel qui doit être accepté quand il n'y a aucun recours. Pour le cas de Chantal Sebire, je trouve que le gouvernement français et les lobbys des laboratoires devraient avoir honte de ne pas l'avoir aidé à mettre fin à ses souffrances. Comme le dit justement Mme Humbert on l'a laissé se "suicider" moralement puis physiquement (même si on ne connaît pas à l'heure actuelle les causes de sa mort). On a le droit comme Chantal de vouloir mourir dignement. Laissez les gens souffrir est beaucoup plus immoral que de les aider à mourir quand ils le demandent de leur plein gré.
2008-03-20 04:35:38 UTC
Je pense que l'on doit éffectivement révisée la loi pour les cas

extrêmes et sans espoir.

Quand la personne souffre depuis tant de temps, doit-on encore

définir ce cas? Nous voulons l'Europe, mais nous n'appliquons

pas tous les mêmes lois, pourquoi ?

Quand il ne reste plus que la souffrance et la mort certaine au

bout, ne pouvions nous laisser au moins la dignité à une personne qui ne lui reste plus rien d'autre.
Tizemt
2008-03-20 04:15:55 UTC
il serait bien temps, aumoins il n'y aurait pas eu autant de souffrance pour cette pauvre Mme SEBIRE. Je ne souhaite pas que les personnes de l'état souffrent un jour comme elle ou tant d'autre, car là ils comprendront peut être ces naïfs qu'ils veulent mourir et abréger leur souffrance et LA il faudrait leur dire non pas possible!
Skouish
2008-03-20 06:03:28 UTC
vous êtes beaucoup à dire, en gros, que l'on peut faire ce que l'on veut de sa vie. Et donc que cette lois doit être révisée.



Je ne vais pas donner mon avis de manière absolus, je suis pour l'euthanasie mais contre la révision de la lois.

Je vais essayer de donner une piste parmis d'autre qui justifie selon moi l'interdiction de l'euthanasie.



A mon avis, vous prenez la loi dans le mauvais sens. Dans l'absolu, les lois sont la pour protéger les gens.

Il ne faut donc pas se demander si chacun peut faire ce qu'il veut de sa vie, il faut se demander si modifier la loie sur l'euthanasie diminurais la protection qu'elle nous apporte.



Je m'explique : imaginons que m Toutlemonde à une maladie incurable qui le défigure.

Ce M Toutlemonde à une famille et des amis qui l'entoure et lui redonne le gout de vivre. Tout ce passe bien, il ne pense pas à l'euthanasie.



Maintenant, imaginons que M Toutlemonde à le malheur d'avoir sa famille et ses amis qui lui font sentir, même involontairement, qu'il n'ais plus utile à rien sur terre, que personne ne voudra de lui. Meme indirectement, cela peut arriver, par exemple, ses parent ne l'ambrasseront plus, plein de petite choses comme ça.

Imaginez cette situation durant des années, et bien monsieur Toutlemonde va souhaiter mourir.



Ces 2 cas qui sont tout à fait réel, nous montre que c'est son entourage qui peut pousser monsieur Toutlemonde à souhaiter vivre ou mourrir.



Pour le second cas, c'est l'entourage de m Toulemonde qui le pousse à souhaiter la mort.



Aujourd'hui, la lois protège m Toutlemonde (je dis bien que la lois le protège dans le sens ou il est interdit à qqn de le tuer et qu'il n'a pas le droit de se suicider, dans les fait, il n'est biensur pas protégé)



Si on change la lois, meme pour des cas extrème, il sera impossible parfois de savoir si la personne à qui on autorise la mort, la souhaite vraiment, et surtout mérite vraiment le droit de mourir.



Le réel problème aujourd'hui, c'est que des gens souhaite mourrir parceque leur environnement les y pousses, alors que s'il était accompagné ou sortit de leur environnement, il ne le souhaiterais peut etre plus.



A mon avis, le parallèle doit être fait avec la peine de mort, la question n'est pas la, mais certains argument en faveur de l'euthanasie pourraient être repris en faveur de la peine de mort, et inversement.



Notement l'un des fondement qui dis qu'il vaut mieux épargner 1000 coupable et ne tuer aucun innocent, que de tuer 1000 coupable et tuer un innocent.



Ici, il vaut mieux enpècher 1000 personne insauvable d'être euthanasier et d'en sauver une qui pouvait l'être, plutot que d'euthanasier une personne qui aurait put être sauvée.
Emmanuel B
2008-03-20 05:43:09 UTC
la vie est sacrée, n'y touchons pas !
Sing Lung
2008-03-20 05:42:51 UTC
Absolument NON !!!



Protégeons la vie !!! Personne n'a le droit de décider de l'heure de sa mort. Cela ouvrirait trop d'abus, quand quelqu'un tombe dans le coma.



La solution : développer les soins palliatifs, ne plus soigner la maladie, mais éviter les douleurs.
siberiatiger
2008-03-20 05:02:05 UTC
La question est très complexe d'un point de vue juridique. Il ne s'agit pas de s'exprimer pour ou contre en faisant parler son côté sentimental. Avant de répondre, il ne faut surtout pas se mettre à la place d'une personne en fin de vie, sans espoir et pleine de douleurs.

Il faut tout d'abord distinguer deux cas très différent : le droit de se laisser mourir et le droit de se donner la mort. Le premier est légal mais pas le second. Le débat sur l'euthanasie pose la question de savoir si quelqu'un peut légalement tuer quelqu'un d'autre. Personnellement, je suis opposé à cette mesure. Personne ne peut avoir d'emprise sur la vie ou la mort de quelqu'un d'autre, quelque soit sa place auprès de lui (médecin, famille...). Par contre, jene vois pas ce qui ne permettrait pas que la personne puisse se suicider dans des conditions dignes et sans souffrance avec le conseil d'un corps professionnel de médecins qui pourraient prescrire les "médicaments" permettant à une personne de se les administrer librement. Ceci implique plusieurs mesures de rigueur : la personne souffrante doit être dans un cas très grave irrémédiable et provoquant des douleurs intenses qui la conduieront tôt ou tard à la mort ; un corps de médecins (et éventuellement la famille) doivent se choisir de permettre à cette personne de mourir dignement.
tommy d
2008-03-20 05:00:50 UTC
un cas extreme, c'est une pathologie qui évolue en empirant et pour laquelle il n'existe pas de protocole médical..

Il ne faut pas se voiler la fâce; certaines lois françaises sont obsolètes car la société a changé, l'emprise de la religion a décliné et il est nécessaire de les adapter comme dans d'autres pays.

Cette dame aurait pu mourir dignement, entourée des siens...elle est morte seule...c'est triste...
2008-03-20 04:54:21 UTC
C'est une question trop délicate... donner la mort à quelqu'un ce n'est pas simple, et légiférer en sens ne doit pas être simple... C'est vrai que quelque devrait dans ce cas administrer un médicament ou une seringue mais personne ne veut de cette responsabilité et ça se comprend... moi même je ne sais pas, en même temps on ne peut pas savoir jusqu'à quel point ces gens souffrent pour opter pour la mort forcée... on ne souhaite la mort à personne et encore moins à soi-même et pour ma part, je sais que ça doit être très très difficile de décider de mourir, d'aller vers l'inconnu en laissant famille et enfants... C'est déjà pénible et difficile quand elle frappe un proche, de là à la choisir parce que la souffrance est énorme, c'est que nous n'avons vraiment aucune idée de la vrai souffrance des autres... c'est vrai que tous nos maux (Dieu merci) s'arrête après un traitement simple voir même après une opération mais savoir qu'aucun traitement ne pourra atténuer la douleur et surtout vu le monde dans lequel on vit (où le physique est important et la moindre imperfection est mal vue par les gens qui nous entourent, c'est pathétique !!) une personne qui n'a pas un physique soi-disant normal n'a pas sa place. Non seulement le regard des autres devait être pénible pour elle mais en plus il y a la souffrance physique et le fait que cette maladie soit évolutive n'arrange rien... pauvre dame, elle a toute ma sympathie... même en tant que croyante et pratiquante, je suis censée être contre ce genre de pratique, même si on nous dit que Dieu teste ses adorateurs avec la maladie, la souffrance... je ne peux pas juger son geste parce que pour choisir la mort, la souffrance devait être invivable.
pierreelbe
2008-03-20 04:52:33 UTC
L'humain n'est pas assez raisonnable pour que l'on autorise , même pour des " cas extrêmes " , l'euthanasie : certains mal intensionnés trouveraient forcément un passe-droit pour commetre ainsi un assassinat .
mpm
2008-03-20 04:50:01 UTC
La question ne devrait même pas se poser. Que cela plaise ou non : seul Dieu est maître de la vie, l'euthanasie ne devrait même pas exister. Bien des gens souffrent à cause d'une maladie et sont contre ce principe. Le problème est qu'aujourd'hui on veut décider de tout et tout maîtriser, sa carrière, sa famille, sa vie ... on oublie juste Dieu. S'il était remis au centre de nos vies, sans tomber dans les extrêmes, le monde irait beaucoup mieux. Peut-être faudrait-il se demander à qui profite l'euthanasie : ne serait-ce pas plutôt à ceux qui restent parce qu'on n'a pas envie de voir et/ou d'entendre la douleur du malade ?
guillaume v
2008-03-20 04:48:50 UTC
Je suis solidaire et conscient des souffrances endurées par cette dame et ses proches mais philosophiquement et religieusement il est impossible d'inscrire dans la loi la possibilité de faire mourir un être humain. C'est le même débat que pour la peine de mort. La situation actuelle, certes imparfaite, doit rester en l'état.
wifi1234
2008-03-20 04:45:53 UTC
à mon avis il s'agit d'un sujet qui doit échapper à la loi.

chaque cas est différent d'un autre et doit être examiné en particulier.
memailler
2008-03-20 04:36:47 UTC
La réponse me parait simple pourtant ....

Une personne peu en faire la demande au corps médicale : si l'avis 3 médecins jugent que cliniquement aucune évolution positive n'est possible, et que les soufrances du patient sont importantes alors une injection létale doit être accordées.



Après peu importe qui effectue cette injection : Un médecin spécifique attaché à ce type cas ou autre ...
Sébastien B
2008-03-20 04:33:57 UTC
Bonjour,

voilà simplement mon avis. Etant soignant, j'ai pu être confronté à diverses reprises à la souffrance et à la mort.

Cette loi doit selon moi être révisée, en effet chaque individu devrait posséder le droit en toute conscience de décider de sa mort quand la maladie menant irrémédiablement à mort entrainne trop de souffrance malgré les traitements administrés.

Chaque cas devrait être étudié par plusieurs médecins et psychologues suite à la demande d'une personne saine d'esprit et en pleine conscience.

Imaginez vous et je ne le souhaite à personne souffrir d'une maladie dont vous ne pourrez échapper que par la mort, la souffrance devenant intolérable malgré les traitements.. fatigué, puis alité ,à la charge de votre famille vous voyant dépérir.

Me concernant ce n'est pas l'image que je souhaiterait laisser de moi, subir la douleur et n'attendre qu'une chose, la fin de la vie alors qu'on pourrait je le répète en toute conscience émettre le souhait de partir un peu plus vite que prévu et dans de bien meilleurs conditions...



Cas extrêmes, cancer , maladie incurable menant vers la mort et engendrant des douleurs insoutenables.

Chaque cas doit être étudié par plusieurs médecins différents et des psychologues pour écouter aider patient et famille.



Bonne journée et merci et merci d'avoir lu ce message.

N'oublions jamais que la vie est un cadeau et qu'il faut savoir en profiter :-)
Catoudi
2008-03-20 04:21:53 UTC
Cette loi doit être révisée, l'hypocrisie actuelle ne peut décemment continuer. Il est impossible d'imposer à des personnes une mort dans d'intenses souffrances physiques et morales, sans parler de la souffrance des proches impuissants et condamnés à regarder des êtres chers s'épuiser dans une lente et douloureuse agonie.

Par contre, je considère que chaque cas doit être traîté séparément et que rien ne doit être généralisé afin d'éviter toute dérive.

C'est juste une question de respect: une personne a le droit de mourir dans la dignité.
Laurence B
2008-03-20 05:50:19 UTC
Je pense que le cas extrême doit être celui qui a épuisé tous les recours de la médecine. Il est anormal de laisser souffrir les gens qui ne peuvent plus être soignés et qui demandent à partir dans la dignité. Pourquoi donnerait-on aux animaux la possibilité de ne pas souffrir et qu'on la refuserait aux êtres humains !
michel r
2008-03-20 04:41:06 UTC
mais Filou n'a rien compris !!!!, cette dame avait tout a portée de main pour mourir si elle le voulait , alors pourquoi impliquer d'autres personnes dans sa decision de mettre fin à ses jours ? Pourquoi faire une affaire politique (au sens noble du terme) d 'une affaire privée ? Chacun dispose de sa vie , pas la peine d'aller impliquer d autres personnes dans cette affaire. D'autant qu'il existe des sédatif qui soulagent la douleur (et dont la conséquence secondaire est de raccourcir la durée de vie), Mme Sebire a refusé les sédatifs et elle l 'a dit , alors pourquoi ?

Le problème qui ne pose n 'est ni simple ni simpliste... pas autant que certains le croit. La morale , l'ethique (peut importe le terme utilisé est une caractéristique de l 'identité d'un Etat d'une nation. Alors evitons les jugements hâtifs, je pense
mzungu
2008-03-20 04:34:00 UTC
Bien sûr !

Quand il s'agit de nous limiter, nous obliger, en bref nous emm..., nos "gouvernants" savent bien nous dire qu'il faut copier sur ce qui se fait dans d'autres pays.

Ici, nous avons deux exemples de législations qui paraissent bien plus adaptées et qui sont celle des Pays-bas et de la Suisse.

Alors pourquoi une fois encore "réfléchir" et perdre du temps pour ensuite accoucher d'un texte bien de chez nous comme d'habitude insuffisant ou inapplicable ?

Faisons comme pour les radars où nous avons copié la Grande-Bretagne sans se poser de questions et copions donc ceux des pays dans lesquels ce type de problème semble avoir été mieux résolu que chez nous.

Et, de grâce, évitons les considérations religieuses: une fois de plus, elles vont à l'encontre du bon sens et de la charité qu'elles prônent.
2008-03-20 04:30:09 UTC
Oui à certaines conditions :

maladies graves en fasse terminale

volonté de la perdonne sous controle du medecin traitant

si possible accompagné par un membre de la Famille
2008-03-20 04:27:48 UTC
oui, il y a des cas extrêmes ou nous n'avons pas le choix je vous parle en temps que mère de 3 enfants, je suis d'accord avec Mme imbert, et très triste pour cette dame qui n'a pas eut le choix,nous avons un président sans coeur, qui j'espère n'aura pas a faire de choix extrême un jour pour les siens,et une justice très hypocrite qui se cache derrière des textes et des phrases ,je leurs souhaitent de ne pas passer par la.

Mme puillon aurore.
MANU
2008-03-20 04:22:41 UTC
Cette loi doit être révisé, l'euthanasie légalisé. Une personne victime d'une maladie incurable qui la fait souffrir doit pouvoir mourir tranquillement si elle le décide. C'est un belle exemple dans le fait que nous ne sommes pas un pays réellement laïc.



Monsieur le président de la république, si vous voulez faire une réforme qui touche tous les français, légalisé l'euthanasie.
ti05fe
2008-03-20 04:19:42 UTC
Oui elle doit être adaptable, nous sommes maître de notre destin, mais il est parfois horrible, si la maladie est avérée irréversible, avec des souffrances extrèmes, et la fin demandée par le malade, alors on doit pouvoir agir dans son sens. Par contre, je ne trouve pas normal que ce soit à la justice de trancher, elle n'a pas la capacité face à la maladie ! Les medecins devraient être un peu plus présent, et surtout, prendre des initiatives !

Cette loi peut être révisée si tout le monde s'en donne les moyens...
Komiks
2008-03-20 05:50:54 UTC
OUI! si la personne le demande en ayant toutes ses facultés pour le cas extreme je ne sais pas qui doit prendre la descision, je pencherais pour le corps medicale.

Bernard
gerardjumelin
2008-03-20 05:49:30 UTC
oui

pour moi le droit de disposer de sa vie est la première des libertés

ce n'est pas aux politiques de définir ce choix
bandit78
2008-03-20 05:49:20 UTC
oui, bien sur. quand on vois la détresse et la souffrance de cette femme (et d' autres) il vaut mieux mourir. J'ai eu le cas avec mon père, donc, je pense savoir de quoi je parle.
Josée D
2008-03-20 05:38:01 UTC
L'euthanasie, comme l'avortement, est un meurtre, si une personne désire mourir suite à une maladie grave et condamnante, qu'elle se suicide, mais qu'elle n'entraîne personne dans son choix, car tuer est un crime.

D'aucun n'a le droit de vie ou de mort sur qui que ce soit .
benot
2008-03-20 04:41:56 UTC
non , il ne faut pas légaliser cette loi fratricide mais plutot améliorer l'utilisation des anti douleurs , favoriser la recherche dans ce domaine et accompagner les personnes .Ce n'est pas parce que certains pays ont légalisé cette loi qu'il faut le faire.

Je trouve déja abhérant qu'il existe une loi pour tuer son bébé !!!

Je suis écoeurée .
ETOILE
2008-03-20 04:39:11 UTC
Bonjour William, et Toutes, Tous de Télématin



Comme promis, la suite....



Je devais vous parler de l’euthanasie, et ce que je pensais de l’émission, et en même temps vous raconter …..Une Histoire ; j’ai préféré utiliser le Word, de ce fait vous allez recevoir le texte en pièce jointe.

Avant toutes choses, Journalistes…Animateurs…Ministres…Présidents…Etres Humains…Médecins…Chirurgiens…Juges…Procureur…etc…sachez ceci, si vous permettez, la création d’une loi , pour l’Euthanasie…..alors vous devez mettre à nouveau en application la loi, pour la peine de mort. Aujourd’hui, dite moi combien d’individus…méritent 1000 fois la peine de mort…combien d’individus, arrivés en âge, méritent d’être euthanasié ???

Lorsque vous les croisez, sur un trottoir vous ne savez pas. ( Soutenez Michel Roussel, et vous allez comprendre…..bien entendu, vous supprimez le mot Ethique)

D’autres, parce qu’ils ont eu un accident, parce qu’ils sont Handicapés, ou très Agées, ils vont leurs faire une piqûre. ??? Demain, !!! dans pas très longtemps, parce que vous avez une agréable retraite….donc vous bénéficiez, du travail de toute une VIE, afin que l’on prenne soin de Vous. VOUS… c’est toutes les Personnes que j’ai cité………Vous allez voir une main arriver vers vous, elle tient entre le pouce et l’index……La piqûre de votre Mort. Votre seul recours….  « Une larme »

Regardez !!! l’Homme, ou la Femme qui a la maladie de Parkinson…..lorsque cette maladie, avait une intensité importante, l’être humain n’avait pas envie de vivre, il devait dire « Ma vie ne sert pas à grand-chose »……et pourtant sa vie était nécessaire, car des Scientifiques, des Vrais Médecins, des Vrais Chercheurs….aujourd’hui ont reçu l’énergie….pour transmettre un tout petit peu d’énergie, pour cet Homme, ou cette Femme….qui avaient besoin de cette Compassion. D’un seul coup…..Ils ont tous entendu….. « OUF » puis « J’ai bien fait de rester sur cette Terre, en respectant Mon état d’être » Aujourd’hui, une frontière, une porte est ouverte, pour utiliser ce savoir, à d’autres fin, d’autres maladies…..pour sauver l’Homme. Sa mort…ou son Départ…ne sert à rien, si on n’a pas fait le maximum, au niveau du soin, et au niveau du conseil..



Il y a bien longtemps maintenant, environs 500 ans avant JESUS, des Hommes ayant le Nom, d’ Hippocrate, ont laissé des écris…des œuvres éthiques, ils témoignent d’environs cinquante siècles d’expériences humaines.

Ecoutez, par l’écriture une toute petite partie de ce mémorable, SERMENT D’HIPPOCRATE(s). J’ai mis un (s) car plusieurs Médecins, au nombre de Sept, ont porté ce Nom. Les écris que ce « Père de la Médecine » à transmis, un code de déontologie qui formulent, des règles de la moralité professionnelle……a été mis sur un parchemin. Dite Moi, ??? combien de Médecins, ont dans leurs couloirs…dans leurs salles d’attentes….qu’une seule phrase, des écris qui ont traversé, les siècles….mais surtout, !!! pour faire honneur à LA MEMOIRE ? (cf. pièce jointe)



(2)

« Je Jure par Apollon, médecin, Asklépios, Hygèia et Panakèia……..prenant à témoin tous les Dieux…..d’accomplir selon mon Pouvoir et mon Jugement ce serment »



« Je jure de considérer à l’égal de mes Parents…celui qui m’aura enseigné l’art de la médecine…….. de regarder ses Fils comme des Frères, s’ils veulent étudier cet art, de leur apprendre sans salaire ni contrat…de communiquer les préceptes généraux…..etc etc . »

« Je ferais servir le régime diététique à l’avantage des malades »

«  Pour leur dommage et leur mal….non »

*** « Je ne donnerai pas, quiconque m’en prierait, une drogue homicide ni ne prendrai l’initiative de pareille suggestion »

« Je ne donnerai à aucune Femme un pessaire abortif »

«  Par la chasteté et la sainteté, je sauvegarderai ma vie et ma profession »

«  En quelque maison que je doive entrer, je m’y rendrai pour l’utilité des malades »

«  J’éviterais tout méfait volontaire, et corrupteur »

«  Particulièrement, aucunes entreprises lascives ne sera effectuées sur le corps des Femmes ou des Hommes, qu’ils soient libres ou esclaves. »

«  Les choses…que, dans l’exercice ou même hors de l’exercice de mon art, je pourrai voir ou entendre sur l’existence des hommes, et qui ne doivent pas être divulguées au dehors je les tairai, estimant que ces choses-là ont droit au secret des mystères »

Puis le plus important :

« Si j’accomplis jusqu’au bout ce serment et lui fais honneur, qu’il me soit donné de jouir des fruits de la vie et de cet Art, honoré à jamais parmi tous les hommes. Mais si je viole et si je me parjure, qu’il m’arrive tout le contraire »



Les écris de nos Anciens, ont été adapté et rédigé à l’époque révolutionnaire, par M. Lallement, doyen de la Faculté de médecine de Montpellier.

Le Conseil National de l’Ordre des Médecins , en application de l’article 78 du code de Déontologie, demande à tout Médecin, lors de l’inscription au tableau, d’affirmer qu’il a eu connaissance du présent Code, de s’engager sous serment, et par écris à le respecter.

Etant donné que c’était l’époque de La Révolution…..La Faculté de Paris, a fait supprimer, l’allusion à L’ETRE SUPRÊME… (Voir le document en pièce jointe) ce n’est pas grave, étant donné que c’est Lui qui décide à la fin.

Ce qui est important…on voit « deux originalités… »

1er Originalité

1)« Le Médecin s’engage d’une manière solennel de consacrer sa vie au service de l’humanité »

2)«  De ce fait il faut mettre d’accord, des praticiens appartenant au moins à une cinquantaine de Nations, ayant des idéologies les plus variées »

Ne sachant pas au sens exact du terme….  « A quel Dieu se vouer » le rédacteur c’est efforcé à « Diviniser l’Humanité »

2eme Originalité

1)«  A la fin du serment, dans les derniers paragraphes ils impliquent la condamnation formelle de tous Errements et de tous Crimes.

2)«  Pourtant la médecine actuelle, se laisse entraîner depuis ses dernières années, à des agissements totalitaires voir criminels »

(3)



Maintenant je vais essayer de me souvenir, de la fameuse émission…. consacré à Vincent Humbert et à l’individu qui a dit « Mon cher confrère »

( Mon magnéto, est tombé en panne donc je transcris de mémoire, et de notes, je n’ai pas tout)



Acte 1

Il faut trouver une solution, pour tous les crimes, et les meurtres…..génial « L’Euthanasie »

Acte 2

Une chance nous avons Vincent….  « Tu te rends compte une loi va porter ton Nom »

Acte 3

Utilisation des médias….on fait écrire par le malheureux un livre.

Acte 4

Ce n’est pas suffisant, on va mettre dans le coup, le Président de la République.

Acte 5

On fait venir des Médecins, avec du poison de la suisse…à plusieurs reprises.

Acte 6

Le Petit Vincent, (je l’appel Petit car il aurait pu être Mon Fils) il est fatigué, d’entendre, de voir un peu….. peut-être ?…..il est lucide…il cherche « l’Amour »

Acte7

Vincent dit au Médecin Rigoux  « Bon, je vais sortir, je vais rentrer à la maison », puis il dit la même chose, à une personne, qui est en principe…Sa Maman.

Acte8

Vincent a attendu la réponse…et la réponse est venue… « Non, non tu ne peux sortir, tu le sais bien »

Acte9

La Maman n’avait pas envie qu’il sorte…et Vincent l’a ressenti… Il dit « C’est un Gag »

Acte 10

Alors Vincent écrit….  « Ne la jugez pas, ce qu’elle a fait est la plus belle preuve d’Amour du Monde »

Acte 11 

Préméditation…c’est encore pire que cela.

On fait venir des médecins de la suisse….ils sont intéressés…ça existe déjà chez eux.

Le pire que l’on pouvait entendre : Mme Arlette Chabot, dit : « S’il s’était réveillé ???»

Réponse : « Pas du tout, les Médecins qui m’ont donné cela ne sont pas des Rigolos, et ils ont affirmé qu’il ne pouvait s’en sortir »

Acte 12

Le centre c’est l’hôtel des courants d’air…des médecins étrangers, entres et sortent, font ce qu’ils veulent, personnes ne voit, personnes ne conseil, tout le monde est aveugle.

(4)

Acte 13

Pas de chance pour les rigolos…..Vincent se réveil !!!!!

Acte 14

Tout le monde prend peur…..est-ce que Vincent souffre ???

Acte 15

Prévenu…le Dr Chaussoy arrive, il se réfugie derrière son équipe…il faut que ce soit une décision collégiale.

Acte 16

Vincent peut-être hurle !!! se débat….Alors le Médecin n’à plus qu’une solution…abréger la souffrance… Il prend deux seringues, et effectue deux injections mortelles, d’une substance chimique différente. (Barbiturique, puis Chlorure de Potassium)

Acte 17

Au départ c’est Mme Humbert la responsable…..puis d’un seul coup, le Dr Chaussoy change son fusil d’épaule : « C’est Moi, pas Mme Humbert qui à donné la mort à Vincent »

Acte 18

Le pire de ce qu’il a pu dire : « On aurait pu dire que Vincent a fait une complication….On sait très bien mentir…on le fait régulièrement »

On ne sait pas si Vincent aura de
BERNARD V
2008-03-20 04:38:06 UTC
Je ne vois pas pourquoi l'euthanasie doit être une affaire de "LOI". Je pense que la décision du patient devrait être examinée par une commission de médecin qui jugerait au cas par cas. C'est inadmissible de refuser à quelqu'un qui souffre d'abréger ses souffrances.
2008-03-20 04:37:22 UTC
je pense que oui.



il y a d autres pays comme la suisse par exemple( si je ne me trompe pas ) qui ont adopté ce genre de loi.



j ai toujours eu l impression au vu des reactions de certains comme M sarkozy, que le premier reflexe etait de nier ce droit, et que de ce fait ils ne savaient pas reconnaitre la souffrance insuportable des autres dans le cas de la maladie de Mme sebire.



je crois de ce fait la qu il existe un fosse profond entre le debat legislatif et l humanité, alors je crois qu il ne faut pas se comporter comme un faux cul, et de temps en temps reconnaitre qu il vaut mieux accompagner quelqu un dans la mort, d une maniere digne, que de ne jamais avoir envie de se salir les mains parce que cela ne plait pas a l electorat.



cela evite d avoir a mettre fin a ses jours soi meme..
lugio75
2008-03-20 04:34:39 UTC
en effet cette loi doit être révisée.

elle permet actuellement de plonger quelqu'un dans le coma sans lui donner à manger ou à boire ce qui revient à une euthanasie.

mais ce procédé est beaucoup plus barbare puis qu'il s'agit de laisser mourrir de faim et de soif une personne dans le coma.

l'idée d'un collectif de médecin se réunissant dans des cas extremes est une bonne idée mais cela implique tout de même une modification de la loi sinon ce collectif serait "hors la loi".

quant a ne pas modifier une loi sur l'euthanasie pour ne pas choquer telle ou telle culture, je rappele que nous sommes dans un état Laïc avant tout.
steph_vegas
2008-03-20 04:33:54 UTC
Entièrement pour l'euthanasie. On ne peut pas laisser des gens souffir, surtout si c'est leur volonté.



Quant à Boutin, il faudrait arrêter de lui laisser des responsabilités politiques. Elle est ignoble cette femme !!! Elle devrait plutôt rentrer dans un couvent en tant que bonne soeur car elle rapproche tous à la religion (le pacs, l'euthanasie ...)



Pour finir, toutes mes condoléances à la famille de Chantal et reposez en paix petit ange.
troptendre69
2008-03-20 04:30:37 UTC
Je crois que le cas Chantal est un cas extrême ..A mon avis dans ce cas on doit laisser la personne responsable je dis bien responsable prendre sa décision. c est cela la liberté de la personne ! il n y a rien de pire au monde de se voir dégrade devenir une larve, un légume,un montre dans ce le cas de Chantal...oui pour l euthanasie dans ce cas ...
lydie l
2008-03-20 04:27:58 UTC
OUI comment à l'heure actuelle peut on laisser des malades dans des états comme cette dame. Mais attention ne pas laisser faire n'importe quoi car tout le monde n'est pas foncièrement bon, on ne vit pas chez les bisounours. Prendre l'exemple de la suisse pourquoi pas?
sabalkis
2008-03-20 04:27:48 UTC
Quel courage Chantal ........!!!!!!!

je vous admire ,

qui peux décider pour cette belle ame ? si ce n'est elle ........

condoléances à toute cette famille ...

et puis le pouvoir des hommes va jusqu'ou ? quels droits ont-ils sur la dignité ,

la politique c'est bien joli , mais elle doit etre logique, humaine , impartiale et égale et ne pas s'approprier les bienfaits que pour les élus ....

la loi sur leuthanasie doit etre révisée tout simplement par une application "franche " et non pas détournée comme aujourd'hui ..........
stuart k
2008-03-20 04:27:27 UTC
Légiférer ne sert à rien.

Si tu veux en finir avec ta vie personne ne peux t'en empecher. Pas besoin de loi pour ca.

Dans les cas de ce type, combien de fois des médecins de famille ont apporté des soins permettant d'arreter de souffrir mais raccourcissant l'espérance de vie... Il suffit de ne pas le médiatiser et tout se passe dans le respect et la dignité.

Ce débat est inutile.
suzanne
2008-03-20 04:27:21 UTC
il faut absolument faire quelques chose pour les hommes et les femmes qui souffre d'une maladie comme il faut aussi prendre en considération leurs famille cela n'est pas facile a vivre en ce qui me concerne j'ai attendu 18 ans pour que ma mére me quitte et la vérité est ni dans la loi ni a travers la médecine elle appartient a chacun d'entre nous de choisir pourquoi dépendre du systeme cela reste notre vie et pour vie veut dire voix invisible eternelle .
franck p
2008-03-20 04:25:46 UTC
il me semble indispensable que cette loi complètement d'un autre âge soit abolie ou fondalement remaniée, je pense que le droit à une mort digne et avec le moins de souffrance possible est légitime. ces politiques n'ont aucun droit de dire à des malades sans aucune rémission possible, "vous allez mourrir dans des souffrances inhumaines, vos familles vont vous regarder souffrir à l'agonie..."

Espérons que ça change très vite
Bérénice
2008-03-20 04:25:12 UTC
Oui elle devrait l'etre.

J'habite en Belgique, ou l'euthanasie est autorisée, et je pense que c'est une avancée fondamentale.

Je pense qu'une personne doit pouvoir y avoir recours dans un cas extreme, c'est-à-dire lorsqu'elle est atteinte d'une maladie évolutive, incurable, et qu'il n'est pas possible de retarder sa mort dans des conditions décentes et psychologiquement supportable.

Pourquoi obliger les gens a souffrir? Je ne pense pas que ca soit au médecin de décider quand il convient d'euthanasier un patient, mais s'il le demande et que sa famille le soutient, pourquoi le lui refuser? En Suisse, c'est meme autorisé lorsqu'on n'est pas gravement malade. Nous devons avoir droit de vie ou de mort sur nous-même.
ratatouille
2008-03-20 04:21:23 UTC
bien sûr qu il faut legiferer en faveur de l euthanasie. les douleurs tant physiques que morales incurables qui empechent un individu de vivre dignement doivent , s il le souhaite, pouvoir etre abregees par le corps medical.(donc sans risque de finir legume)

les politiciens sont hypocrites et ne cherchent qu à se mettre bien avec les differentes eglises qui estiment que l euthanasie demandée equivaut au suicide. ils savent qu on peut aller mourir dignement de l autre coté des frontieres, c est pour ca qu ils refusent de rendre legale l euthanasie;
linda sh
2008-03-20 04:20:16 UTC
cette loi doit être révisé bien sûre pour le respect de la volonté des victimes.

évidemment, on ne décide pas de venir au monde, alors pourquoi refuser à une personne "souffrante extrêmement" de renoncer à sa vie?

réviser la loi sur l'euthanasie.
secaud0
2008-03-20 04:26:54 UTC
ABSOLUMENT OUI .

Définir un cas extrème ? La souffrance a plus finir sans cure
Piduchette
2008-03-20 05:51:04 UTC
Je suis pour l'aménagement de la loi, je pense que c'est un devoir moral et un acte d'amour de permettre à un être humain atteint d'une maladie incurable et souffrant terriblement de partir dans la dignité, si tel est son choix.



Les critères ? Une demande très claire de la part du patient + état de survie (maladie incurable + grande souffrance physique et/ou morale)
2008-03-20 04:34:25 UTC
oui ,tout à fait ,je trouve trés difficile de ne pas autoriser des personnes comme le cas de Mme Sébire Chantal de devoir mettre fin à sa vie ,seule
Dominique P
2008-03-20 04:34:12 UTC
Oui cet à nous de décider et non aux politiques.

L'euthanasie devrait être un choix personnel dans un pays qui se dit respecter les droits de l'homme. Celui qui n'a pas souffert ne peut comprendre et encore moins se mettre à la place de la personne qui souffre. Je sais de quoi je parle !! je vie avec la douleur au quotidien.
MisterK
2008-03-20 04:34:02 UTC
Différencier un cas "extrême" et un cas non extrême ça revient à dire que le patient va être jugé. Jugé par une commission, la morale, la religion ou la société. Tout ceci n'est que du subjectif, quelqu'un qui souhaite mourir doit pouvoir le faire dans des conditions décantes.

La loi devrait prévoir une administration qui enregistre les demandes des patients pour encadrer l'acte et éviter toute action "sauvage" : elle donne son aval et il se produira ce qu'il doit se produire.

Nous sommes dans un pays laïque ! ! ! et la pseudo éthique qui entoure des affaires comment celle ci, reste liée quoiqu'on le dise à la religion.

Donc pour moi, pas de différence : euthanasie pour tous sans "commissions" déclarant dans tel ou tel cas euthanasie ou non
Christiane B
2008-03-20 04:33:38 UTC
Pour moi un cas extréme c'est le cas de Imbert ou de Mme Sébire quand il n'y a plus rien a faire que la médecine ne peux plus rien pour nous et quand en plus il a y d'atroce souffrance.

JE DIS OUI pour finir dignement
2008-03-20 04:33:00 UTC
oui , absolument quand il n'y a plus d'espoir et que le patient est conscient et demandeur . je suis pour , il est inhumain de laisser des gens souffrir .
2008-03-20 04:32:40 UTC
chacun doit être libre de choisir sa mort, lorsqu'il n'est plus possible pour la science de guérir un patient et que celui-ci demande à abréger ses souffrances ou arrêter sa déchéance il doit être en mesure d'être satisfait. C'est la morale religieuse qui interdit de mettre fin à ses jours, lorsqu'on est athée on ne doit pas être concerné par les dogmes religieux et libre de choisir sa fin. Si on ne peut pas le faire pour des raisons de déficience mentale où un coma , un médecin, un notaire, un membre proche de la famille doit prendre le relais.
bobytyloo
2008-03-20 04:32:10 UTC
Bien sur que ca doit être révisé et même sérieusement et urgemment!!

Comment ne pas réagir à la souffrance de Mme Sebire qui dans son combat pour une mort digne a même su reveiller en nous cette necessité d'arreter l'hypocrisie, faisons le maintenant, pour C. Sebire mais aussi pour tout les autres, dans un environnement sains et securisé par des medecins et autres (on sait le faire en France pour d'autres theme).

Quant aux bien-pensants religieux, reflechissez donc à la hauteur de l'amour (sentiment ô combien prôné) qu'on du avoir les enfants et l'entourage de Mme Sebire pour faire toutes ses demarches.....

et si demain c'etait nous....

boby
2008-03-20 04:30:27 UTC
Oui elle doit être révisée. Nos animaux en bénéficient, alors pourquoi pas nous ? L'être humain souffre physiquement et MORALEMENT... Je pense que ces personnes qui nous régissent n'ont pas connu ces cas dans leur famille, sinon, ils changeraint peut-être d'avis.
anny f93
2008-03-20 04:29:45 UTC
la loi doit être révisée, nous devons réfléchir à une nouvelle approche de la mort, étant appeler à vivre de plus en plus vieux, mais dans quel état ? il est normal que nous puissions décider nous-mêmes de notre fin de vie, avec les souffrances que nous sommes seuls à supporter en cas de maladies lourdes et incurables, qui, tous les jours vont s'aggraver et être une charge pour notre entourage et nous-mêmes, lorsque, avec les personnels compétants, il s'avère que l'issue est irrémédiable et dans des souffrances terribles, le malade doit avoir le choix de sa fin dans la dignité!!
stephe2defr
2008-03-20 04:28:18 UTC
elle doit etre revisee , cette loi sert a rien . une personne souffre et elle doit pouvoir faire ce qu'elle veut de sa vie . Le gouvernement souhait quoi ?!?! que ces gens se jettent sous un train ??? c tellement plus propre ...........
edibos
2008-03-20 04:28:08 UTC
Oui.

Bien sur, seul les cas extrêmes, il ne faudrai pas que les suicidaires, ou personnes âgées sous contraintes puissent en bénéficier.
Eloïse André
2008-03-20 04:27:51 UTC
J'estime que si l'on ne choisit pas de venir au monde, on devrait avoir le droit de choisir sa mort dans des cas extrêmes! Qui sommes nous pour juger la vie d'une personne qui souffre seule, car personne ne peut comprendre sa douleur! Est-ce aux politiques qui sont en bonnes santé de décider ou nom de la souffrance, mentale et physique d'une personne?!! Toute ma reconnaissance à ces personnes qui osent passer à l'acte car il faut énormément de courage et être vraiment au bout du rouleau pour y arriver.
2008-03-20 04:27:48 UTC
oui car ci c'est pour souffrir et que la médecine ne peut plus rien faire alors mieux vaut partir
2008-03-20 04:27:46 UTC
je suis pour et g suivi chantal durant ces toute dernière heure et maintenant elle ne souffre plus la loi et pourri et la politique aussi c tt se ke g a dire .

toute mes condoléances a la famille .

chantal et parmi les anges un endroit merveilleux ou el pourras veiller sur sa famille el et ds leur coeur et tout se ki compte mintenan !!!
svaboda
2008-03-20 04:27:14 UTC
oui elle doit etre revisee.



le cas extreme c'est celui on l'on sent "en conscience"

apres avoir pris avis aupres des medecins, qu'il faut faire

quelque chose !!!!
dupont y
2008-03-20 04:26:43 UTC
oui il faut laisser a toute personne ayant une maladie incurable le choix de partir dignement et sans douleur
2008-03-20 04:25:33 UTC
oui chacun est libre de sa vie
totette
2008-03-20 04:23:34 UTC
un peu de dignité,de respect!!!! SVP

si un homme politique etait concerné par ce choix,les souffrances terribles,le dessaroi des proches peut etre que l'on reviendrait à un peu de raison

que dire de l'IVG qui est en forte progression malgré les moyens de contraception, je sais c'est un autre debat mais la MORT est là aussi et on en fait pas cas

Soyons moins hypocrites, en Suisse le suicide assisté et meme present dans les hopitaux par l'association EXIT qui prend en charge cette demarche avec infiniment d'amour et de respect,est surtout que l'on vienne pas nous parler de religions!!!!!!!

c'est un sujet que je connais pour avoir vécu en tant que proche la fin de mon compagnon qui avait le meme cas que madame SEBIRE donc je sais ce qu'elle as souffert alors BORDEL DE MERDE à present elle ne souffres plus

FOUTEZ lui la paix qu'elle merite, quelle honte cette enquete judiciere depuis ce matin

voila c'etait mon coup de gueule
L'ami du peuple
2008-03-20 04:19:14 UTC
Avec une loi sur l'euthanasie, il va être possible de zigouiller son voisin sous prétexte qu'il souffre de quelque chose. Et en plus s'il a du pognon... Génial en effet l'idée d'une loi sur ce sujet! Je sens que je vais pouvoir envoyer un certain nombre d'emmerdeur au casse-pipe, avec juste une petite injection! Comme c'est pratique!
B F
2008-03-20 05:50:49 UTC
La vie ou la mort représente un libre choix dont la loi ne devrait pas se mêler
Marie
2008-03-20 04:33:11 UTC
un cas extrême c'est peut-être avoir la face en forme de masque à gaz
JODI
2008-03-20 04:32:39 UTC
Je suis tout à fait pour l'euthanasie quand on sait qu'il n'y a plus rien à faire pour sauver la personne et qu'elle souffre. Notre vie nous appartient et aucun gouvernement ne devrait interférer dans ce choix crucial.
audioman
2008-03-20 04:31:51 UTC
OUI OUI et OUI !!!!

je trouve cela inadmissible que l'on puisse laisser quelqu'un souffrir comme cela !!! elle était consciente, elle souffrait et demandait d'être aidé dans son suicide !

après je pense qu'il n'y a pas de définition du cas "extrême", je pense que cela se voit au cas par cas en fonction des demandes .
serge a
2008-03-20 04:30:29 UTC
Le cas de Chantal Sebire est malheureusement encore une fois la preuve que cette loi mérite d'être révisée...

D'autres pays européens l'ont fait... Pourquoi la France doit être toujours en retard sur des questions si importantes???
JA P
2008-03-20 04:23:46 UTC
Oui elle doit être révisée. On a quand même le droit de mourir sans trop souffrir. D'autant + que seulement 15 % de malades ont accès aux soins palliatifs. Les autres souffrent terriblement. Moi je veux pouvoir choisir..et la Mère Boutin la catho devrait réfléchir avant de parler.
2008-03-20 04:23:08 UTC
oui personne n'a le droit de laisser souffrir quelqu'un dans des pires souffrances si la personne arrive en fin de vie et quelle désir mourir c'est son droit et personne d'autre ne peut le refuser et surtout pas le gouvernement ni l'église c'est notre vie pas la leur...
patoketchup
2008-03-20 04:29:48 UTC
La vie d un etre humain vaut moins que celle d un chien ...



en effet ton animal domestique (ou non d'ailleur) chéri souffre on lui injecte une dose de dolétal

un cheval de course se casse une jambe on labat



mais toi pauvre humain que tu es, avec tous les progrets que tu fais en science , en automobile, en nutrition ou bien la derniere mode en matiere d'écologie (et sans etre écolo je roule en velo et fais la plu par de mes courses au marché bref je suis hor sujet) ,

tu progresse aussi en médecine MAIS n'importe quelle autre etre vivant aura plus de compassion que l'humain



on a les moyen de ne pas laisser souffrir un caniche mais un humain .... on le laisse CREVER



le suicide asisté est un crime , du moins au regard de la loi francaise, mais alors pourquoi toutes les personnes qui ratte leur suicide ne vont elles pas en prison, elles commete un crime non?







et pitié assumer vos choix et vos conviction mais ne faites pas chier les autres avec des histoire de religion
2008-03-20 04:24:52 UTC
Oui elle doit être révisée dans le sens "simplifiée" et son application ne doit pas être une exception car dans " cas extrêmes" il faut comprendre "expert donnant son avis, puis accord, puis signature....", et bien sûr cela prendra encore trop de temps.

Donc si il y a souffrance intenable et incurable et une volonté indéfectible du patient à vouloir "en finir" alors il faut appliquer cette loi et le laisser partir avec le peu de dignité qui lui reste.



Tout ceci parce que la loi existe aujourd'hui, mais à mon sens ce n'est pas une loi qui devrait nous donner ou non l'autorisation d'abréger nos souffrances !


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