2014-07-28 02:49:51 UTC
Par contre, ses « conclusions », elles, ne seront pas très claires ni explicites, à l’image de celles de l’accident du Rio-Paris : elles devront ménager toutes les sensibilités concernées, le Burkina, le Mali, l’Armée française en « pacification anti-djihadiste » dans le secteur des débris, l’Algérie commanditaire du vol sous-traité à des sous-compagnies d’aviation, les Espagnols concernés par un équipage d’amateurs plus ou moins retraités, l’IATA qui ne semble « pas au courant » de ce qu’il se passe dans le domaine de ses responsabilités.
Allons-y ! Aucun gros morceau de l’avion n’existe (jusqu’à plus ample informé). Où sont donc les ailes et la queue de l’appareil ? Puisqu’il ne se trouve que des « miettes » l’avion allait donc vite, très vite même. L’enquête découvrira certainement que les réacteurs étaient à pleins régime et « poussaient » donc toujours l’avion. Situés à l’arrière du fuselage ils sont arrivés à vitesse grand V, comme des suppositoires … Au vu des images qui ont été données d’un des moteurs aucun doute à avoir, ça allait vite !
En outre, la trace au sol ne s’étend « que » sur 300 mètres. L’avion a donc percuté sous une trajectoire très pentue.
Pourquoi un avion de ligne fonce-t-il vers le sol à plein régime, quasiment à la verticale (selon certains journaleux il a créé un « cratère »)?
L’impact d’un