Question:
Des bandes de filles plus nombreuses et plus violentes à Paris?
Cindy
2011-04-13 08:52:48 UTC
Discussion: Violences urbaines
il y a 1 heure 2 min
Source : AP

Apparues durant l'été 2009 dans la capitale, les bandes de filles sont de plus en plus nombreuses et violentes, selon une nouvelle étude du service d'investigation transversale (SIT) de la police parisienne.

Le SIT recense aujourd'hui huit bandes de filles, de tailles variables, comptant de 10 à 70 membres âgés de 13 à 20 ans vivant à Paris et en Ile-de-France.

"Des dérives ont été constatées depuis fin 2010, elles sont désormais impliquées dans des agressions sexuelles et des viols", précise mercredi PPrama, la lettre d'information de la préfecture de police de Paris.

En 2010, 24 affaires de phénomènes de bandes impliquant des groupes de filles ont été comptabilisées, conduisant à 149 interpellations dont 123 mineurs, 108 gardes à vue et 42 déferrements devant la justice.

Depuis le début de l'année 2011, six affaires ont pu leur être imputées, 37 interpellations ont été réalisées, dont 24 gardes à vue et 16 déferrements.

Ainsi le 23 janvier, au forum des Halles (Ier arrondissement), une jeune femme se fait voler son téléphone portable avec violences par un groupe de jeunes filles dont deux sont en possession de béquilles. Cinq sont interpellées. Certaines appartiennent aux bandes des Candy-Shop.

Le 10 février, quatre jeunes majeures des Tokyo Girls sont interpellées pour des faits de violences réciproques avec usage de gaz lacrymogène en gare du Nord (Xème arrondissement).

Le 28 mars, à la gare de Tournan-en-Brie (Seine-et-Marne), une mineure de 17 ans est agressée par une quinzaine de filles des Tokyo Girls: contusions au visage, cheveux arrachés, elle tombe dans le coma.

L'enquête menée par les gendarmes de la brigade de recherche de Melun (Seine-et-Marne), assistés du SIT, conduit le 30 mars à l'interpellation de deux des auteurs présumés, des jeunes filles âgées de 14 et 21 ans.

"La délinquance n'est pas la motivation première des rassemblements mais elle fait partie intégrante de leur mode de fonctionnement: violences volontaires, racket, brimades, harcèlement, vols à l'étalage en sont les manifestations", note l'étude du SIT. "En outre, des groupes de petites tailles tendent à se marginaliser par la commission de vols avec violences ou des violences avec armes".

Selon la police, les membres de ces bandes sont "majoritairement originaires d'Afrique sub-saharienne, ce qu'elles revendiquent particulièrement à travers des emprunts linguistiques à des langues locales". "Si l'extravagance caractérisait leurs tenues à l'origine, et l'influence de la culture hip-hop afro-américaine incontestable, elles optent désormais pour plus de sobriété afin de se fondre plus facilement dans la foule", détaille l'étude du SIT.

Les jeunes filles utilisent des pseudonymes qui répondent à des critères allant des marques de luxe (BB Dior, Bbei Prada), aux bonbons et sucreries (Tictak Walen; Caramel), en passant par des comportements sociaux (l'Insolente, Kpriss, l'Explosive..), des attitudes érotiques ou comportements sexuels (Tigresse, Cochonne) et une appartenance ethnique (Blakisha, Tissmé, Misafrow), énumère l'étude.

Sans leader bien défini, la bande est une famille, qui vise avant tout à se divertir et à faire du shopping. "Contrairement à leurs homologues masculins, les filles ne cherchent pas à s'approprier un territoire déterminé mais plutôt à occuper l'espace autour d'elles par l'exubérance et le chahut, causant tapages et nuisances", observe l'enquête policière.

Les filles se regroupent le plus souvent dans les gares, un endroit central et facilement accessible, pour migrer ensuite collectivement vers d'autres sites accueillant notamment des manifestations culturelles comme la Technoparade, où vers des lieux de shopping. Elles se réunissent également à l'occasion de "battles" de hip-hop, se confrontant ainsi dans des combats de danse. Elles gravitent généralement autour des bandes masculines, tout particulièrement auprès de celle des Candy-Shop constituant des sous-groupes, baptisés les "crews".

Ces "crews" servant de passerelle pour accéder à la bande, à charge pour les filles de faire leur preuve notamment en commettant des vols avec violences. Contrairement aux garçons, elles s'affrontent rarement entre elles, privilégiant les attaques concentrées sur une ou deux cibles.

AP
Quatorze réponses:
Kelyn
2011-04-13 09:19:09 UTC
Le fait est nouveau à Paris, depuis l'été 2009 mais il commençait à exister en banlieue parisienne il y a quelques années concernant le même type de bandes de délinquantes filles Africaines qui étaient déjà agressives mais pas à ce point là !

Donc, elles sévissent à Paris, notamment au forum des Halles, dans des gares mais on aimerait savoir lesquels ? Par contre, aucune bande signalée en gare de Paris Montparnasse.



Si elles n'aiment pas la France, qu'on les arrête, et direction Le Bourget par avion militaire (système d'expulsion des clandestins) et retour en Afrique !
?
2011-04-13 09:36:57 UTC
Puisqu'il a été formellement établi que ces bandes de filles violentes sont (-comme par hasard-) issues de l'immigration sub-saharienne, la solution est très simple : l'expulsion immédiate des filles et de leurs parents permissifs hors de France sans possibilité de retour. À partir du moment où ces délinquantes ne respectent pas la France et ses institutions, c'est tout à fait normal et sain de s'en débarrasser sans ménagement. Pas de pitié pour ça. Ce que je dis vaut également pour les garçons, naturellement ! Y'en a marre !
qui a tué ségo ?
2011-04-13 09:09:36 UTC
Pour s'en convaincre, il suffit de regarder cette video :

http://www.youtube.com/watch?v=SJwyU5d1w44



Les mecs ne parlent pas de façon aussi crus !



La video : Une ado des banlieues est embarquée par la police pour des délits commis. Dans le fourgon, du haut de ses 14 ans, elle se met à insulter une femme flic de la façon la plus éhontée qu'on puisse imaginer. Des grossièretés d'une violence inouie : "Tu me suces la chatte", "Salope de mes fesses", "Bande de salopards de mes fesses", "Elle pue la merde, ta France de pédé", "On vous a niqué vos mères", etc...
anonymous
2011-04-14 05:48:29 UTC
.



Qu'attendent les pouvoirs publics pour infiltrer et démanteler ces bandes....?



Incurie de l'état...!



.
anonymous
2011-04-14 00:53:30 UTC
ce que je ne comprends pas c'est pourquoi un certain nombre de Français n'ouvrent pas les yeux et acceptent tout et je dis bien tout de ces étrangers !? en majorité, ils foutent le bordel, ils vivent aux frais de la princesse, ils touchent des alloc à n'en plus finir, des aides au logement, à la santé... et nous on paie, on paie, on paie... mais put1, jusqu'à quand allons-nous nous faire emmancher par toute cette racaille !?
anonymous
2011-04-14 00:25:03 UTC
"Super Soupe au lait" ta solution est juste. Ces filles revendiquent leur origine. Elle crachent sur la france et la "saccagent. Ils faut des sanctions exemplaires! J'vous met au défis de faire ça chez eux!Y'a un MALAISE





@Martine d'accord avec toi
anonymous
2011-04-13 09:19:08 UTC
Une bonne bi.e dans le cul et tu verras qu´elles se calment toutes seules.
le savant fou
2011-04-13 09:45:37 UTC
Elles cherchent à se "divertir" ?

Se divertir en tabassant quelqu'un à plusieurs ?

se divertir sur la souffrance d'autrui ?



J'ignore si c'est là le terme employé par des sources ou si ça sort directement de la bouche de ces filles. En tout cas, c'est là un mot évidemment inapproprié, pour un article.



J'ai beau savoir que ce phénomène n'est pas nouveau, et que souvent, c'est la misère éducative qui est à l'origine de ces dérives, mais tout de même ! Ca me choque toujours autant et on ne peut pas tout excuser.



Et malgré tout mes efforts pour rester modéré, je me dis quand même, quand on cherche à imiter les mecs en les rejoignant dans leur bêtise (tiens, je croyais pourtant que les filles cherchaient surtout à se dissocier d'eux) , ou qu'on cherche à se mettre en "valeur" par des actes négatifs, ou à se divertir par le pire des agissements, bref, je me dis quand même si une ou deux neurones ne manquerait elle pas à ces "charmantes" créatures ?



Car enfin de compte, c'est moins le respect et l'admiration que le mépris et le dégoût qu'on suscite par de tels actes.



Bonne soirée
?
2011-04-13 14:09:45 UTC
Après ça, qui osera encore parler de 'sexe faible' ...



Et bien dis-donc, si même les filles s'y mettent, on n'est pas sortis de l'auberge ... Il est vrai que la connerie n'a pas de sexe ...



J'espère que les juges ne se laisseront pas prendre par des sourires faussement angéliques au tribunal et que les condamnations seront sans discrimination Vis-à-vis des gangs masculins ....





@ Fritz le Kat :



Envoie-moi le lien du forum 'la maison' ...

merci

bonne nuit ... ou bonne journée car les chats dorment aussi la journée ... LOL
Gabrielle cavalière intrépide !
2011-04-13 10:17:32 UTC
l'étude sociologique est intéressante, en particulier le paragraphe sur leurs "noms".



En lisant ça, je suis une fois de plus heureuse de vivre à la campagne.
Auréliane
2011-04-13 13:08:52 UTC
C'est une des conséquences de l'égalité homme-femme : les filles deviennent aussi C***ES que les mecs !
?
2017-02-21 04:51:03 UTC
bonjour bonjour ministre SoDoucette !!!! :-) alors... tu vas aller dans l. a. section homosexualité et tu vas poser une question avec les mots : vache, vaseline, bloodbath et hémorroïdes !!! ok ?? bizzzz @ministre : superb !!!!!!! :-)
anonymous
2011-04-13 08:56:23 UTC
Elles veulent que Domenech reste! Et elles continueront de saccager le pays tant que cet imposteur de Christian Blanc ne retournera pas entraîner la sélection nationale de Cuba!
anonymous
2011-04-13 08:55:13 UTC
elles se calmeront tout seules c'est interditpar la loi


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