Vaste sujet. En résumé, non, bien sûr.
Existe-t-il des médecins intègres ? Oui, bien entendu, l'immense majorité, fort heureusement, qui, généralistes, spécialistes divers, font un métier parfois difficile, avec un courage qui confine au sacerdoce, et dans des conditions, parfois, de complexité technique, parfois d'environnement socio-judiciaire difficile. Ce ne sont pas l'ensemble des médecins qui sont en cause, ce sont quelques brebis galeuses – oserais-je dire quelques chameaux - et, au-delà, tout un système.
Votre serviteur est handicapé physique. Parce que ce handicap se voit peu, on a feint de le prendre pour un valide, et l'on a goupillé, au plan professionnel, un harcèlement moral indigne. Parce qu'on niait l'invalidité, et en conséquence d'un contentieux financier et fiscal qui découlait de ce malentendu, on a prétendu réduire sa rémunération au RMI. Parce qu'il prétendait dénoncer un crime, on a voulu lui fermer la gueule - pardon, le faire taire. Enfin, sur ces trois premiers dossiers ou contentieux, et parce qu'on voulait, bien entendu, lui ôter tout moyen de défense ou d'action, on l'a placé sous tutelle... en arguant d'une pathologie mentale absolument imaginaire.
Si le système le permet, je vais coller ci-dessous, en annexe, la copie d'un courriel à la Police Judiciaire, - sans les annexes ! - courriel que j'ai expédié depuis ma BAL il y a déjà plus d'un an, le 22 octobre 2007. Depuis, j'ai fait mieux : comme je suis, paraît-il, toujours malade, et que partant je ne peux pas travailler, je viens souvent sur Internet, et puis je bricole. J'ai même écrit au Président Sarközy, mais sur cette dernière correspondance, qui date d’à peine quelques jours, je vous rappelle simplement qu'une jurisprudence constante de la Cour de Cassation nous enseigne que le courrier appartient de jure au destinataire : c’est donc, en principe, au Président SARKÖZY de vous la communiquer... si toutefois vous la lui demandez !
L'UDAF d’AGEN, s'apercevant que, muni de trente euros par semaine, je ne mangeais pas à ma faim, ne trouva rien mieux...que de m'hospitaliser en psychiatrie ! C'était le 10 novembre 2005. À la suite de ce coup de force : il fallait bien une farce : la farce, ce fut la saisine, à PARIS, du Comité Consultatif National d’Éthique…et, par suite, le débarquement, le 15 décembre 2005, à l’hôpital psychiatrique, de Monsieur le Procureur de la République ! Pour une farce, c’était une farce…
Depuis, eh bien forcément, je suis chez moi, puisque je ne suis plus en psychiatrie. J’ai même immédiatement arrêté de prendre leurs drogues – je veux dire le neuroleptique prescrit - et je m’en porte très bien : mais je suis toujours officiellement sous tutelle, et c’est l’UDAF qui me donne ce qu’elle veut, quand elle veut…Tout à l’heure, ce mardi 30 décembre en fin de matinée, je suis allé à ma banque : 150.-- € cette semaine ! C’est Byzance…enfin, disons, c’est Noël… Cela commence à bouger, à mon avis…
Vous voulez que je vous raconte le reste en détail ? Écrivez un mot, ou appelez moi ! En attendant, bon réveillon à tous, et ne vous inquiétez pas : on les aura.. les vaches…
Ou alors si vous coulez, visitez ma bal : chedeville.maxime : accès philip : allez au dossier Administration, et remontez au 22 octobre 2007 : ”Mon appel de ce matin” : tout y est…
Meilleurs sentiments à tous,
Maxime Chedeville
Chedecbille.maxime@yahoo.fr$
05 53 77 48 71.
………………………………………………………………………………………ANNEXE
CHEDEVILLE Maxime,
59, bld Scaliger, appartement 28 – 47000 AGEN
tél. dom. 06 82 88 98 73
tél. bur. 05 53 77 51 75 (actuellement hors contexte…)
mél chedeville.maxime@yahoo.fr
AGEN, le lundi 22 octobre 2007, vers 14 :00.
À l’aimable attention de Madame Martine MONTEIL,
Directrice Centrale de la Police Judiciaire :
Additif rajouté en dernier lieu, depuis le Point Jeunes,
ce lundi 22 octobre 2007, vers 15:05.
Madame MONTEIL et les honorables correspondants de la Police Judiciaire ne m’en voudront pas, je l’espère, pour les quelques imperfections de forme d’un envoi somme toute assez complexe, que j’aurai, conséquence d’une invalidité physique en tous points médicalement patente, tapé entièrement moi-même, d’une seule main, avec quasi pour seule aide juridique un accès à www.legifrance.fr… Sur les témoignages et recoupements afférents à l’enquête de moralité, j’ose espérer, bien entendu, que l’on épargnera les quelques amis cités au contexte, en limitant leur interrogatoire éventuel à l’enquête de moralité de routine, sans les mêler forcément, bien entendu, au fond même d’un fatras socio-judiciaire, auquel ils ne peuvent mais, chacun l’imagine. Sur le fond des griefs exposés ici, et des conséquences esco