Question:
La violence à l’école est un grave problème. Les enseignants sont tous les jours agressés verbalement.?
dauphin031
2007-07-09 12:13:29 UTC
comment dominer la situations et quelles sont les solutions
34 réponses:
Etchegorria
2007-07-09 12:16:13 UTC
Je pense que tu exagères, pendant les vacances ils ne se plaignent pas.
2007-07-09 12:23:54 UTC
En apprenant aux parents a eduquer leurs gosses... A mon avis le commencement est là.
Jules
2007-07-09 13:50:21 UTC
La vraie solution passe par restaurer l'autorité de l'enseignant.Et comment la restaurer d'après vous? Eh bien l'idéal serait de donner beaucoup moins de pouvoirs aux parents, en leur interdisant par exemple de pouvoir discuter et refuser une santion donnée à leur petit chéri, sous peine d'aller voir ailleurs.

La violence à l'école vient en grande partie de la bêtise des parents qui s'opposent aux sanctions données.En accomplissant ce geste l'enseignant se trouve completement désemparé.Que va penser l'élève qui lui aura fait sa punition sans discuter quand l'autre, d'un autre côté(pour la même faute) se verra supprimer sa sanction.

Ce cas très fréquent, va provoquer une grosse injustice par rapport à celui qui lui aura effectué sa sanction.........cette disparité va créer inévitablement des tensions.

Et l'enseignant reflechira à 2 fois avant de punir.

Conséquences: l'enseignant perd très vite le contrôle de son groupe ......qui s'oriente très vite vers la violence.Les jeunes ont une tendance toute naturelle à etre turbulents(on l'a ainsi tous plus ou moins été), et si l'adulte ne peut plus intervenir.......la violence en est la résultante.

Alors parents lorsque vous defendez votre petit chéri ( pour une banale punition)n'oubliez pas que vous allez créer le trouble dans le groupe .....mais aussi la violence, dont pourra être victime votre propre enfant(et croyez mon experience ça se voit plus souvent qu'on ne le croit!)

Autre chose aussi dont on parle bien peu est la circulation de la drogue dans les établissements scolaires dont on ferait bien de s'occuper un peu plus.....la aussi source de gros conflits entre jeunes( il n'est d'ailleurs pas rare hélas que ça aille parfois jusqu'au crime!) ......Je suppose que si rien n'est fait à ce sujet .....c'est que certains y ont sans doute de gros intérêts!( ou à moins aussi.....Il n'y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir).
Las Vegas 007
2007-07-09 12:28:58 UTC
Utiliser la methode Russe entre autre. C'est a dire leur en faire baver jusqu'a temps que ces petits cons craques et qu'ils apprennent la discipline et l'autorité.



Il y a pas de dialogue a avoir avec des petits merdeux, juste des coups dans la gueulle comme chez Poutine.



Ca va choquer ces cheres petit gauchiste et démocrate, mais au moins ca a le merite de fonctionner. Après tu vera si ces péteux foutrons encore le bordel. Les coups de pied au cul, il y a que ca qu'ils comprennent.
2007-07-09 12:23:06 UTC
commencer par éduquer les parents !!!
Amibe
2007-07-09 14:43:09 UTC
Bonjour



La violence à l'école est la représentation d'un mal être.



On oblige des enfants ou des jeunes à poursuivre des études lorsqu'ils n'en ont ni l'envie, ni les capacités (pas intellectuelles, n'est-ce pas... un défaut de mémoire est suffisant)... en les méprisant ouvertement.



Un jeune ne devient pas violent lorsqu'il réussit dans une matière, ou lorsque le prof est intéressant (= sait s'intéresser à la personne devant lui, sait déborder ses cours pédagogiques pour s'adapter à son public – et tant pis pour le programme).



A défaut d'être intéressant, un prof devrait être encourageant, comprendre ce qui ne va pas avec un élève et tenter une autre approche pédagogique (et il en existe, la coopération en est une, la méthode Freinet par exemple a fait ses preuves.

Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A9lestin_Freinet pour plus de détails.



Seulement voilà, la coopération n'est pas notable comme le reste (ce n'est pas juste ou faux)... et à l'école on n'apprend pas à noter une coopération.

Dommage, le travail dans une entreprise n'est pas autre chose que de la coopération pure et simple.



La seule chose que l'on apprend à l'école, c'est à être le meilleur. (et combien de fois mes profs m'ont bassiné avec le mot élite : vous êtes en Terminale C, vous êtes l'élite de la nation ! Ouais, super... et les autres sont quoi ? ai-je pensé tout bas.)



Le meilleur pour ne pas être le plus nul... soit le souffre douleur des autres.



Ce qui me ramène à ta question.

Suppose que je sois le souffre douleur des autres, pendant un an, deux ans, trois ans... et quoi que je fasse, que je m'applique et que je bosse comme un malade, le prof continue à me saquer parce que je viens de la cité, ou parce que je suis interne !

(oui, j'ai été interne, et c'était connu dans mon établissement, les internes n'étaient pas bons, donc deux points de moins au minimum, que tu rendes un devoir de la même qualité que le copain qui est externe, tu as deux points de moins... à la gueule du client. En plus, je l'ai vécu devant toute la classe !... Alors j'imagine sans peine ce qu'il en est de gens qui n'ont pas la bonne gueule de l'emploi, et pas le bon quartier d'habitation)



Et c'est un fait connu dans l'éducation, quand on projette quelque chose sur ses élèves, en bien ou en mal, les élèves s'y conforment automatiquement et de manière inconsciente. (Il y a eu des expériences scientifiques menées à ce sujet. Un prof qui croit en ses élèves les amène toujours à de meilleurs résultats que celui qui n'y croit pas !)



Donc pendant trois ans, quatre ans, cinq ans, tu es le souffre douleur, tu fais partie des nuls. Tu redoubles, tu triples. Etc.

Tu fais partie des nuls.



Faire partie des nuls, c'est une violence quotidienne... et tu voudrais qu'à une violence quotidienne les jeunes ne deviennent pas fous à leur tour, qu'ils n'en aient pas plus rien à foutre de l'école, et qu'ils ne rendent pas la monnaie de leur pièce à ceux qui les méprisent.

Parce que ça change quoi au final ?



On ne se penche pas sur le cas des nuls, ça prendrait trop de temps, et puis il y a les bons dont il faut assurer les chances, et le programme à terminer.



Reste dans ton coin le nul, et crève. (pas de boulot à la sortie de tes études = crève)

Voilà ce que lui dit inconsciemment le prof au bout de la troisième banane.

Crève !



Oui, c'est dur à entendre et à lire, mais c'est la réalité.





Et si seulement ça s'arrêtait à l'école, mais ça continue plus tard dans les entreprises et dans la vie. Que de mépris pour la femme de ménage, ou pour l'éboueur, ou même pour la caissière que l'on considère comme une machine, à peine différente de sa caisse (combien ne disent jamais bonjour à la caissière ou seulement la regardent ?)





Tu veux moins de violence à l'école ?



Dans l'état actuel de notre système éducatif, ce n'est pas possible.



Ou alors on remet en place les systèmes de sévices corporels qui ont fait leur preuve par le passé : le bonnet d'âne pour les plus petits, les coups de règle sur les doigts, des proviseurs, censeurs et directeurs durs comme le fer : tolérance zéro !



Exclusion !

Dommage, c'est exactement ce que souhaite certains jeunes : être rejetés une bonne fois pour toute pour ne plus aller "souffrir" à l'école, pour rien. Donc pour eux, il s'agit d'une sanction salvatrice et non pas d'une sanction pénible. (valeur éducative ? Zéro.)



Dommage aussi pour la société, puisqu'on sait pertinemment ce que des enfants élevés dans la rue deviennent.



Dommage une troisième fois, puisqu'on le sait, là encore, sans respect des uns et des autres, il ne peut y avoir aucun respect du tout.

Sans espoir, avec le mépris par dessus, tu ne peux obtenir que la révolte ou le suicide. (les infos ne te montrent que la révolte, parce qu'elle fait du bruit, les suicides beaucoup moins, parce qu'ils ont lieu ailleurs et pourtant ils sont en hausse)



http://www.u-bourgogne.fr/ode/_dl.php?file=1157035368&name=Resultats_Enquete_Sante_LMDE_2005.pdf

"D’autres signes sont remarquables: 15 % des étudiants ayant répondu à notre enquête ont eu des idées suicidaires au cours des douze derniers mois, ce qui dépasse le chiffre donné par le Baromètre santé(3) sur la population jeune en 2000. 50 % de ces étudiants n’en ont parlé à personne.



5 % des étudiants ont déjà fait une tentative de suicide, et là encore pour près d’un étudiant sur deux, les proches n’en ont pas eu connaissance. Le recours aux professionnels de la santé mentale à la suite de cette épreuve ne concerne qu’un tiers des étudiants.

[...]

50% ont peu ou pas confiance du tout en l’avenir."





Bref, on sort de ces systèmes répressionnaires. Y retourner ne paraît pas la bonne solution. Parce que la répression sans but n'apprend rien, si ce n'est la peur.

Et la peur engendre la contre peur : pour avoir moins peur, je dois te faire encore plus peur, disait l'Abbé Pierre.





Alors il n'y aurait pas de solutions ?



Si.



Car que nous apprend le Net, que nous apprend Q/R ?

Que tout le monde a sa place, que tout le monde peut apprendre quelque chose aux autres et que plus nous coopérons, plus nous sommes intelligents.





Si l'école reprenait la structure d'apprentissage du Net, même les élèves les plus indisciplinés y reviendraient parce qu'ils ont quelque chose à dire, parce que tout le monde est fort dans un domaine, même si ce n'est pas un domaine "académique".



Et parce qu'il est possible d'obtenir de bonnes notes quelque part, on peut accepter d'en recevoir de mauvaises ailleurs...



Et la coopération a l'avantage suivant :

Face à un prof, un élève est face à une autorité. Avec tout ce qu'il y a de négatif dans le mot autorité. Lorsque la coopération oblige chaque membre du groupe à agir et à participer... C'est encore plus vrai quand les groupes sont choisis par le professeur.



Si ça marche dans les équipes sportives, dans les entreprises, pourquoi ça ne marcherait pas dans les classes ?



Quand on entendra nos enfants dire : "Nous" avons réalisé ceci, plutôt que "j'ai", alors notre société aura fait un grand pas.



Parce que le monde de demain est un monde de coopération

Parce que je ne vais pas insulter ni agresser celui qui demain va m'aider

Alors la violence tombera d'elle-même.



Personne n'agresse ses amis en permanence.

Seulement ses ennemis.



Mais si demain l'ennemi vient m'aider, est-il encore un ennemi ?



Bien Amicalement

L'Amibe_R Nard
nokia
2007-07-09 12:26:12 UTC
Des bonnes tartes dans la g... à ces fouteurs de m... ! qui n'ont plus aucun respect.

Et les envoyer à l'armée, réapprendre les règles de base de l'éducation !
Wasabi
2007-07-09 12:23:56 UTC
Peut être doivent-ils être plus respectables ?

N'as tu jamais remarqué que ce sont toujours les mêmes professeurs qui sont victimes d'attaques verbales, et que ce sont rarement les plus sévères mais plutôt ceux qui veulent se la jouer copain/copain avec les élèves?
marie
2007-07-09 12:22:11 UTC
il n'y a pas que les enseignants , les élèves aussi sont agressés (par d'autres élèves biensurs pas par les enseignants)
?
2007-07-09 12:45:24 UTC
Tous les jours, je ne pense pas. je fais des remplacements (mon dernier a duré 6mois). Je n'ai jamais été agressée une seule fois, et pourtant je n'ai pas beaucoup d'expérience. Ok, je n'ai été que 3 semaines en zep, le reste du temps dans un collège assez calme, mais avec quand même quelques élèves difficiles à gérer (problèmes familiaux graves, sentiment d'échec...)

L'école reflète la société dans laquelle on vit. Donc forcément, il ya de la violence. Je trouve les élèves courtois avec les professeurs, mais violents, très durs et moqueurs entre eux. C'est surtout cela qui me préoccupe.

C'est vrai que c'est un métier difficile et qu'il y a souvent des risques de conflits. Il faut à la fois s'imposer et être à l'écoute, être ferme tout en évitant les rapports de force, tenir compte des différences des élèves sans être injuste... on n'apprend même pas cela à l'iufm, alors que c'est l'essentiel du métier.
Fatiha H
2007-07-09 12:35:41 UTC
On dit bien que la première école est la famille.Aussi ce sont les parents qui sont concernés en 1er lieu,mais là le problème est si complexe car les raisons de la démission des géniteurs sont multiples et variées.

Quant au milieu scolaire,il est affecté souvent par la différence du milieu social dans lequel évolue l'enfant.et il appartient aux enseignants de savoir se comporter avec chacun .De la diplomatie,de la compréhension sont nécessaires,et bien sûr les résultats ne sont pas acquis à cent pour cent mais au moins l'enseignant aura fait le maximum pour éviter ce genre de comportement fâcheux et déplorable.Les contacts réguliers avec les parents sont conseillés.
Blue.Phoenix13
2007-07-09 12:52:19 UTC
Question simple mais réponse compliquée.



Je crois que tout le monde a une part de responsabilité et la solution en même temps. Je m'explique :



-Certains enseignants sont désagréables avec les élèves sous de faux prétextes ou alors par discrimination.



-Certains enseignants se croient tout permis et ne considèrent pas les élèves comme des êtres humains.



-Certains élèves se défoulent à l'école parce qu'ils subissent des pressions dans leurs familles ou dans la rue.



-Certains élèves sont violents mais ce n'est pas pour autant la faute des parents qui sont désemparés et ne savent plus quoi faire.



-Certains parents ne savent pas éduquer leurs enfants et se moquent d'eux.



-Certains parents battent leurs enfants et même pire.



-Certains jeunes commettent ces actes de violence pour se faire remarquer alors que d'autres le font pour s'intégrer.



Je pourrais encore vous donner d'autres exemples et raisons mais je pense que ça suffit.

Les raisons qui motivent ces comportements sont parfois évidentes et dans d'autres cas, très floues.



Le milieu de vie; de l'école, des élèves, des professeurs et des parents; joue beaucoup sur l'intensité du problème.



La solution est très complexe mais elle doit surtout pouvoir "s'attaquer" à toutes les branches du problèmes en même temps sous peine de voir une autre branche se développer et finalement revenir au même.



Il faudrait selon moi :

-Sensibiliser les parents;

-Surveiller les enseignants " à risques";

-Mettre en place des écoutes pour les enfants, parents et enseignants;

-Trouver une solution aux problèmes de rue;

Et bien plus encore...



A m'entendre, ça parait impossible mais en persévérant et en octroyant les moyens de lutter aux personnes et institutions concernées, ce problème finira par diminuer.



Bien sur, déjà commencer par apprendre les bonnes manières à ses enfants, se soucier d'eux et les respecter est déjà un très bon départ.
LIBRA
2007-07-09 12:39:45 UTC
Absolument d'accord avec toi;



L'éducation, est à la base de tout, et sur ce point, je ne t'apprends rien ...



Dans un ordre croissant, les parents sont "hautement" responsables, puis le mimétisme de celui qui crie plus fort que l'autre, (dans la cour de récré), vient en dernier ceux pour qui cela profite, je veux parler de ceux pour qui l'anarchie est un but (pléonasme absolu...),



La société n'est pas prête à se pencher véritablement sur ce type de problème, c'est à chacun de se responsabiliser, les parents en premiers, tout part de là !!!



@ nokia : pourquoi pas , ta réponse est empreinte de bon sens, mais le ton n'y est pas, façon comme une autre de se faire envoyer paitre ....
2007-07-09 12:30:45 UTC
je suis sur que vous êtes un enseignant ma mère et enseignante et c vrai je croie que la meilleur solution serré de suspendre les étudiants (agresseur) pendant au moin 15 jours
Goshits Hunter
2007-07-10 01:29:51 UTC
Les solutions sont de remettre le coté strict des années 70, là au moins, on respectaient les profs, maintenant c'est du grand n'importe quoi le rectorat et sa fiotitude n'autorise même pas sous peine de blame ou de licenciement aux professeurs de se defendre en cas d'agression!!! si ce n'est pas de l'absurdité j'ignore ce que c'est.



Il faut retablir l'ordre et le respect du professeur, faire valoir qui est le professeur et qui doit être ecouté.
2007-07-10 00:51:51 UTC
le problème n'est pas récent, il a commencé il y a des années, lorsque mon fils de 34 ans était en primaire.

mais à cette époque la violence n'était qu'envers les autres élèves et les enseignants ne réagissaient pas, "c'était pas grave".

c'est tout le corps enseignant qui est un peu responsable de cette escalade de la violence et des incivilités, et depuis quelques années ce sont eux qui en sont aussi victimes, alors là "c'est très grave".

il fallait réagir dés le début et ne pas accepter et tolérer ces comportements chez des enfants du primaire, ils auraient du comprendre que ça ne pouvait qu'empirer.

actuellement les problèmes commencent en maternelle.

il y a très peu de solutions, il fallait prendre des sanctions dés le début, c'est un peu tard maintenant.
Miss TNZ !!!!
2007-07-09 13:37:50 UTC
C'est grave et ça fait peur!!!

tous les jours les mêmes histoires!!

On ne se rend pas compte de la chance qu'on a : pouvoir étudier ce qu'on veut gratuitement (presque)c'est pas le cas dans tous les pays et si on en était conscient , on n'agirait pas de la sorte!! L'éducation est très importante pour l'épanouissement!!

Ces gens là ne se disent pas qu'ils le regretteront un jour et peut être qu'il sera trop tard!! Ne pensent ils pas que les prof ont construit leur avenir et essaient de transmettre quelque chose, pour qu'à leur tour les jeunes puissent construire leur avenir !!

Ils ne réfléchissent pas assez, c'est bien dommage pour eux!! encore heureux qu'il en reste des gens sensés!!...mais combien!???
mohamed a
2007-07-14 05:53:33 UTC
L'education commence à la maison. Si les parents ne peuvent pas donner une éducation de base à leurs enfants, et en premier lieu le respect d'une personne plus agée c'est un phénomène qui ira en s'amplifiant, d'autant plus que le maître n'a plus le droit de corriger l'élève. Aussi, je pense que les enseignants devraient avoir recours à la plainte en justice contre les parents.
2007-07-13 11:23:23 UTC
Les enseignants récoltent ce qu'ils sèment,Amib a trés bien exprimé ma pensée.Or,il existe des alternatives au "dressage d'enfants"ex:freinet.Je trouve qu'un nettoyage au karcher s'impose dans l'éducation nationale,certains profs n'ont rien à y faire,et ils ne se gènent pas d'agresser verbalement et parfois mème physiquement leurs élèves.Mais,ce sont toujours les enseignants que l'on entend se plaindre dans les médias et qui se protègent derrière des règles moyennageuses et leur syndicat .Le recrutement par l'iufm est totalement inadapté.On apprend aux apprentis flics la déontologie et la diplomatie mais pas aux apprentis profs.Un comble!Les profs sont recrutés sur leur niveau d'études mais pas sur leur capacités à enseigner.Un prof qui a compris son métier et dont les cours sont intéressants n'a pas besoin de se faire respecter,les élèves le respectent naturellement.Mais trop souvent,un cours se résume pour l'élève à lutter contre le sommeil...Il faudrait que les profs soient payés au résultat;1 point au dessus de la moyenne donne 1euro de salaire en plus pour l'enseignant,et tant mieux si la leur donne envie de mettre 20sur20 à tous les élèves!Et pourquoi pas en finir avec les notes,les classements stupides et les examens traumatisants?Cela enseigne surtout la haine sociale et l'individualisme.Or,le rôle de l'école n'est-il pas de faire des citoyens responsables et solidaires?Et si les lycées avaient une taille plus humaine?Non,on éduque pas en humiliant,car c'est de l'humiliation que nait la violence.
Alexandre le Grand
2007-07-09 13:59:25 UTC
reprendre l'instruction civique, on n'aimais pas ça qu'on

on allait à l'école, on n'en n'est pas mort ,d'ailleurs le

président Sarkozy l'a inscrit dans son programme , et cela

peut-ètre au retour des vacances.

ça peut-ètre un vaccin pour les jeunes qui iront à leur nouvelle

école.

Nous avons eu nous aussi des turbulences, mais cela ne se

passait pas comme aujourd'hui, il y avait sanction des 2

parties, avec le respect vers les maitres et les maitresses,

Et les parents n'avaient pas de mot à dire et tout devenait

comme avant.
2007-07-17 11:41:03 UTC
c'est eux qui ont commencé en 68, les etudiants d'alors, les profs de maintenant jetaient des pavés sur les CRS, mettaient le feu aux voitures alors comment peuvent-ils se plaindre???

Et puii soyons serieux la violence a l'ecole ça derange qui? Pas les riches puisque ils mettent pas leurs enfants dans les zones a risques.

Donc c'est les pauvres ou les gens modestes qui sont emmerdés par les enfants difficilles des banlieues et cités
danou_49
2007-07-17 10:08:52 UTC
oui le probleme est grave deja a la primaire il y a un manque de respect alors au college ils ont deja pris l habitude helas!!il faut refaire l education des parents malheureusement qui laissent tout faire a leur gamin et remettre en primaire les cours sur la moralité sinon quoi faire d autre les expulser mais ils vont faire quoi dans la rue encore plus de violence peut etre mais dans tous les cas je ne leur vois pas un brillant avenir
rolli
2007-07-17 07:59:43 UTC
Casser l'école ! Même si je généralise : Les enseignants ont perdu leur amour propre, ils n'ont plus la foi, ils n'inspirent plus le respect, et ne cherchent pas forcément à se faire respecter !

Les directions d'établissement font plus de social que de discipline..

Comment les élèves découvriraient-ils un sens si le corps enseignant n'en est lui-même pas sûr ?

Je suis favorable aux uniformes : uniforme pour les élèves, avec distinction par classe, uniformes pour les maîtres et les surveillants !

Transformer l'enseignement en le confiant à des établissements privés, supprimer le statut de fonctionnaire des enseignants, demander un temps de travail effectif plus normal : moins de vacances, moins de congés...

Ce qui est bizarre, c'est que c'est toujours dans l'enseignement public qu'il y a des problèmes !
denis e
2007-07-16 05:42:45 UTC
demandes à la mounky familly de t'envoyer l'avocat; tout le monde s'occuperat à lui pourir la vie ainsi vous aurez la paix
CESETTE
2007-07-16 04:28:32 UTC
Avec la famille l'education commence dés la naissance et doit de poursuivre jusqu'à la majorité

A l'école elle commence dés la maternelle pour se terminer à la fin des études secondaires.

Aujourd'hui ces deux fondamentaux ne sont plus respectés la faute à Mai 68 . EH oui , c'est malheureusement vrai! L'enfant est devenu "l'enfant roi" à qui ont laisse tout faire depuis le plus jeune age .



La demission est totale tant dans les familles que dans l'enseignement !



Il y a peu encore il y avait le service militaire qui permettait de rattraper une partie des négligences passées en obligant au respect et à l'obéissance . Cela n'existe plus non plus



Alors peut on s'étonner du résultat ?
Gabrielle
2007-07-15 23:04:16 UTC
une majorité d'enseignants ne se laissent pas insulter. Mais comment font-ils ?
soumbol
2007-07-15 04:59:23 UTC
l'École est une suite de l'éducation et cette dernière n'exige jamais la violace sur l'enfant :ce n'est pas une solution efficace pour l'éduquer mais elle vient d'augmenter la me-chance d'enfant : pour le bien traite il faut le garder comme un fils d'enseignant!loin de la relation maître et élève près de père et son fils !il y a beaucoup des solution pour obtenir une génération très développée et la meilleure est :

la punition d'écrit ,conserver au rattrapage,l'interdire et le séparer de ses proche amis.!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Xonia
2007-07-15 01:07:18 UTC
De "mon temps" pas si éloigné que çà ,l'instituteur nous apprenait la discipline et la politesse et ceci depuis les petites classes ,on disait bonjour ,SVP et merci sinon c'était la réprimande et les parents ne s'interposaient pas ;on ne se vantait pas d'une punition sinon à la maison rebelote ........cela s'appelle du respect et les bases de l'éducation primaire

Les enseignants en 1968 ont largement optés pour leur tutoiement ,combien arrivent en classe pas rasés,débraillés ?

Aujourd'hui "ils" paient et c'est un juste retour des choses et beaucoup de parents ne veulent surtout pas de punitions de redoublement ......pour revenir en arrière ,il faut tout reprendre au début:dur dur
2007-07-12 23:42:40 UTC
La violence a l ecole vient du laxisme des parents et des

enseignants, avant les enfants etaient punis sans que les

parents aillent pleurnicher, aupres des profs, pour leurs

petits cheris, on ne disait pas non plus aux enfants, bien sur

c est parceque ton prof est raciste, c est par la qu il faut deja

commencer, arreter avec ces histoires.

Perso, lorsque le prof me punissait, je n allais pas me plaindre a mes parents....car 2eme punition.

Maintenant c est eux qui font la loi.
papy2
2007-07-09 14:29:09 UTC
et voila un chef d'établissement scolaire qui prône la diplomatie avec les petits merdeux.

la fermeté est le seul dialogue possible .je suis le chef et tu obéis. le bâton et la carotte.

et si les enseignants étaient soutenus par leurs supérieurs ,les sanctions exécutées et pourquoi pas le bannissement de l'établissement, il y aurait moins de petit merdeux.

je ne suis pas pro Sarko mais j'espère qu'il durcira les lois régissant le fonctionnement des établissement scolaires et je lui suggère même la révocation des enseignants manquant d'autorité.
Jacky12
2007-07-17 06:39:32 UTC
Dominer Quoi,Toi-même dans tes jugements ,ton Égoïsme comme le fait tout le Monde.Tant que vous continueraient a vous bouffer le nez pour 1 voiture,maison ,vacances etc sans prendre consciences que + de 50% de gens crèvent de faim a petit feu,qu'1jeune génération d' immigres ne recherche pas a vivre avec les Valeurs"Française".Sans jeux de mots vulgaires:"le beurre et l'argent du beurre" que la France leur doit (hist:colonies etc).Tu vas en poser des Q/R, la France est belle mais ses Partisans ne savent + ce que veut dires éducations et respects de soi et des autres!!Alors bon courage ,la violence on la vit tous de façons différentes!!
Lectrice
2007-07-16 07:06:33 UTC
Sarko va nous régler tout ça, il est sur tous les fronts!!!, et à l'école violence il va l'arrêter , ah si il a promit....



Trêve de plaisanterie, Ok il faut faire quelque chose, mais tu ne crois pas que beaucoup de parents ont démissionnés depuis longtemps d'éduquer leurs gamins , et je ne fais aucune différence entre les parents français et ceux issues de l'immigration, ils sont tous pareils, se repose sur l'école et la société pour "élever leurs enfants" , ils ne se font même pas respecter eux mêmes alors comment veux tu que leurs gamins soient autrement, et là il y a beaucoup à faire de la part des différentes autorités., parce que "les racailles" ils ne se sont pas fait tout seul
Micdal
2007-07-16 03:21:15 UTC
D'abord que les hommes politiques donnent l'exemple et pas le pitoyable spectacle retransmis; qu'aucun fonctionnaire, policier, magistrat et autres ne puissent tutoyer ou insulter qui que ce soit (je pense aux procureurs)

Que les adultes (en particulier automobilistes) montrent l'exemple
2007-07-09 12:28:27 UTC
Ah bon, t'a vu ça où ?



C'est comme Sarkozy qui voulait faire une loi pur rendre obligatoire le vouvoiement des instituteurs, et professeurs, loi qui laisse entendre que les éleves sont irrespecteux.

Eh bien après enquêtes(france culture) on a trouvé aucun professeur qui se faisait tutoyer par un éleve ou plusieur.



Faire croire que tout va mal pour mieux faire passer des réformes autoritaires et sécuritaires !


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